Vos coups de coeur PAS musicaux (mais que vous devenez fous si vous en faites pas un morceau!)
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Heldon jazzyTron

Qu'en voyant cette "oeuvre", vous ayez soudain des convulsions psychotiques qui vous hantent jusqu'à ce que vous en fassiez l'illustration musicale.
Pas trouvé d'intitulé de forums pile adapté à ma demande.
La découverte d'un texte peut faire cet effet.
"Les chants de Maldoror", "Les contes cruels", "Hypérion"...tant d'oeuvres de littérature qui vous auraient marqués au point que d'en faire "la" musique soit devenu une obsession.
Un texte qui me hante "Un rêve - Les Gaspards de la Nuit - A.Bertrand.
Certaines peintures peuvent également procurer cet effet..

Entre autres...
On peut ressentir ça sur un endroit, au détour d'une rue ou d'un virage...
Ou pour un film dont le scénario et les images nous donnent la fièvre parce qu'on a pas fait sa B.O.F ("Cube", "Le dernier combat"..)
Je voudrais qu'ici vous mettiez les flashs autre que musicaux, que vous auriez mis en musique ensuite. Ou tenté..
Pour les textes, ça serait sympa de les écrire..
En fait, on parle d'influences autre que musicale servant pour notre musique (je répète on sait jamais).
En guise de

Merci de déposer que les grands "flashs".
Pour les co...rie y'a le pub.
La vie, c'est comme un train de montagne

Heldon jazzyTron

Hors sujet : A oui ! Cernu je te conseille d'y aller, il y a en fond musical un dérivé de "Dark side of the moog". Ca me rappelle un peu le "choc" quand j'ai vu Blade Runner avec quelques perspectives technologiques (bien flaiblottes maintenant) qui faisait rêver... En revanche, je me suis retrouvé avec une vidéo sur Anna Nicole Smith ! ...Comment j'ai encore fait ?...en cliquant dessus certes, mais qu'est-ce que ça foutait là ???
La vie, c'est comme un train de montagne

Heldon jazzyTron



La vie, c'est comme un train de montagne

Heldon jazzyTron


La vie, c'est comme un train de montagne

Anonyme



Heldon jazzyTron




Mais c'est pas vraiment de l'art.
Plutôt du cochon dans la plupart des cas de prostitutions (ouais, facile je sais).
Ceci dit l'envie de tuer m'inspire souvent.
En musique, car là c'est légal.
Chrisitan Vander : (je cite) "Quand je mets une pêche dans une cymbale, j'ai l'impression de tuer le mec qui est derrière".
La vie, c'est comme un train de montagne

Anonyme

Citation : Plutôt du cochon dans la plupart des cas de prostitutions
prostitution? bof, ici on faisait recemment dans la vente d'armes a l'IRA. des mecs font fortune en menacant des petits paysans et en gerant donc le marche du fruit et legume. d'autres font dans l'immobilier sur la mer noire, heritage des residences du parti. d'autres dans la drogue. et pendant ce temps des gens survivent a peine en lavant les voitures ou en construisant les barraques de ces encules. ben ca c'est une inspiration. et vu toute la rage que ca amene, si, ca peut etre de l'art...
la mort d'un mec comme ali farka toure ou quelqu'un d'autre qui m'est cher d'un point de vue "culturel" peut aussi amener une creation. mais ca marche pas a tous les coups.

Heldon jazzyTron


La vie, c'est comme un train de montagne

Head Minerve

Le contact s'établit peu à peu entre les deux civilisations(=elle et la famille d'"accueil" )et je vois à travers sa vision de cet univers l'essence même de la relation homme à homme, en enlevant tous les repères sociaux que l'on a. Des deux côtés il faut s'adapter pour entrer dans une bulle de neutralité, symbole de ce qui rejoint les deux types de population.
On arrive donc à l'essentiel de ce que deux êtres humains peuvent se communiquer, en limitant la culture sociale. Ca en revient à des discussions d'enfants, essentielles.
Ca m'inspire pas dans un thème, mais plus dans une réflexion de composition.
Composer pour tous les publics, essayer de trouver une musique qui touche l'être humain dans son renfoncement sensoriel ou sensitif le plus ancré et intouchable. Atteindre non pas le musicien, la ménagère ou l'occidental, mais l'être, tout simplement.
Ca demande de se sortir de sa culture(mentalement à défaut de physiquement), d'ouvrir sa créativité à cette partie humaine de nous, trop peu utilisée dans le quotidien. En plus clair, c'est créer à partir de rien, à part sa condition génétique.

Anonyme

Citation : ...euh...tu fais parti de METAL URBAIN par hasard ??
j'avoue n'avoir aucune idee de ce que ca peut etre


j'avoue que mon dernier post etait assez pessimiste... mais non je ne passe pas ma vie a pleurer les morts et a gueuler parce que le monde me degoute, si c'etait la question


Heldon jazzyTron

Punks froids bannis de France, produit par Pinhas, qui ré-enregistrent en ce moment après 25 ans de vacances.
Désolé de ne pas doner beaucoup de suites en ce moment (pas d'ordi et cyber-café obligent!)

La vie, c'est comme un train de montagne

Anonyme

Citation : Oui, une forme de dégoût social décrivait bien l'univers du groupe Metal Urbain.
Punks froids bannis de France, produit par Pinhas, qui ré-enregistrent en ce moment après 25 ans de vacances.
je les ai zappes alors

n'empeche, encore un groupe qui revient... les come backs ca devient la grande mode


Sir Kouni


Anonyme



Anonyme



Heldon jazzyTron



La vie, c'est comme un train de montagne

Anonyme

Citation : oisson d'avril

allez. je vais faire une chanson sur le nouveau AF, anarchique et beau. en fait ca sera une reprise de the end.
juste une question: actuellement, le CPE est-il une source d'inspiration pour certains d'entre vous


Heldon jazzyTron

Sinon, je ne pense pas qu'un "Blues de Devaquet*" aurait subsisté à l'histoire..
* comment ça, ça vous dit rien ? 86 ?
La vie, c'est comme un train de montagne

Heldon jazzyTron



Bon, bin c'est pas spécialement de l'art..mais y'a une grosse partie de tout ce que je fais qui vient de là. Même si c'est un peu loin, pas simple de gérer un p'tit rêve de temps en temps comme si on y était encore...et coté musique je dérive les thèmes sur 110 à l'infini. premier morceau "technoïde", morceau guimauve..en fonction des moments d'explosions intérieures de joie ou de désespoires. Et puis..ça reste les souvenirs..

La vie, c'est comme un train de montagne

cernu

C'est qui ces 2 nenettes ?? sorry pour mon indélicate ignorance !!!
Sinon, ce qui m'a inspiré ces dernièrs jours, c'est cette histoire du gamin de 4 ans mort parce que son beau père l'a pris pour son défouloir.
C'est un peu gros de parler d'inspiration, car c'est plutôt le genre de truc qui me bloque complétement.. qui me révulse, qui m'anéantit, m'applatit... je sais pas quoi dire en fait !!!
Ca me gache tout !!! Le reste des malheurs du monde à la limite je m'en fou à côté de ce genre de truc...

Heldon jazzyTron


Sinon c'est pas DEUX nénettes mais UNE seule ! !
Plusieurs facettes, plusieurs faces cachées, et donc plusieurs façons d'en être fou, puis malade, puis nostalgique.
Malgré ton post, dans un élan d'égoïsme pur, je sais.
La vie, c'est comme un train de montagne

Anonyme


dernierement un enterrement


Anonyme

[url]
http://www.ccsparis.com/[/url]
les ^programations artistique de cet endroitest vraiment geniale...respect pour le boulot fourni...


Heldon jazzyTron

Mias j'au quelques trucs pas mal du tout (les méduses).
I'll back
La vie, c'est comme un train de montagne

Heldon jazzyTron

Je le mélange volontier avec "Affieh" de Offering/magma, je trouve les deux ambiances très complémentaires.
Bref, voici le texte.
Aloysius Bertrand, "Un rêve" / Gaspard de la Nuit
(autour de 1830, première édition sortie en 1842, un an après sa mort)
Il était nuit. Ce furent d'abord, -ainsi j'ai vu, ainsi je raconte, - une abbaye aux murailles lézardées par la lune, -une forêt percée de sentiers tortueux, - et le Morimont grouillant de capes et de chapeaux.
Ce furent ensuite, -ainsi j'ai entendu, ainsi je raconte, -le glas funètre d'une cellule, -des cris plaintifs et des rires féroces dont frissonait chaque feuille le long d'une ramée, -et les prières bourdonnantes des pénitents noirs qui accompagnaient un criminel au supplice.
Ce furent enfin, -ainsi s'acheva le rêve, ainsi je raconte, -un moine qui expirait couché dans la cendre des agonisants, -une jeune fille qui se débattait pendue aux branches d'un chêne. - Et moi que le bourreau liait échevelé sur les rayons de la roue.
Dom Augustin, le prieur défunt, aura, en habit de cordelier, les honneurs de la chapelle ardente, et Marguerite, que son amant à tuée, sera ensevelie dans sa blanche robe d'innocence, entre quatre cierges de cire.
Mais moi, la barre du bourreau s'était, au premier coup, brisée comme un verre, les torches des pénitents noirs s'étaient écoulée avec les ruisseaux débordés et rapides, -et je poursuivais d'autres songes vers le réveil.
La vie, c'est comme un train de montagne

Jr0001

Tout m'inspire, les formes désorganisé, la detrusturationde l'ensemble, le mélange et paradoxe de pure foideur indutrielle et de nature séculaire, contrastant étonament dans sa douce foideur naturelle, son vert commpletant rouille et peinture verdatre figé ephémérement par l'homme.
Mon reve serait de d'avoir un jour la chance de jouer dans les entrailles de ce monstre d'acier dégénéré.
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