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Sujet Plantages de légende : le bêtisier des stars

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Sujet de la discussion Plantages de légende : le bêtisier des stars
La réécoute récente de quelques albums live m'a révélé quelques plantages et approximations réjouissantes d'étoiles réputées de la six corde. Il ne s'agit pas bien sûr de dénigrer ces braves gens (qu'ils soient moultement loués pour leur infini talent, amen) mais de référencer une sorte de bêtisier des albums live (si vous avez des anecdotes concernant des plantages sympathiques relevés sur scène, ce fil les accueillera aussi).

Dans le but d'avoir des références faciles à retrouver pour tout le monde, les pains doivent être de préférence référencés avec le nom de l'album, la date de l'enregistrement et le nom du morceau. Edit : il va de soi que les références d'enregistrement pirates sont bienvenues !

Je me lance avec quatre exemples plus ou moins célèbres :

- Jimi Hendrix se gourre de tonalité au démarrage de Voodoo Chile (slight return) sur l'album "Live at the Filmore East", enregistré au Fillmore East de New York, le 31 décembre 1969 et le 1er janvier 1970. La suite dantesque fait vite oublier l'incident.

- Le même termine de façon très approximative son chorus sur Lover Man dans "Blue Angel : Live at the Isle of Wight Festival", le 30 août 1970 (l'ultime concert avant la mort de JH). JH joue pas mal à côté de ses pompes, souvent mal accordé et le disque n'est dans l'ensemble pas très bon. En plus, le concert est empoisonné par des problèmes techniques : on entend ainsi clairement sur Machine Gun des grésillements et interférences radio récupérées par le Marshall.

- Ritchie Blackmore vendange (une fois de plus ?) l'intro de Smoke on the Water sur Live in Japan (disque 3), tiré des chutes de la tournée de Deep Purple qui aboutit à "Made in Japan" (15-17 août 1972). Ian Gillan, pas charitable, se moque. La suite de l'intro continue à foirer, Blackmore et Lord étant hors phase (et Blackmore peinant manifestement à se remettre dans le bain).

- Mick Jagger démarre prématurément Midnight Rambler sur Get yer ya-ya's out !, enregistré par les Rolling Stones à Baltimore et New York du 25 au 28 novembre 1969 (et aussi vraisemblablement à Paris avant).

A vos encyclopédies...
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Oui, c'est un truc du genre, parce qu'il (Berry) montait le volume tout le temps, non ? En plus de jouer comme un salopiaud ;)
(je ne l'ai vu qu'une fois, en 87. :oo: , il y a vingt ans :oo: )
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Dans un concert de Metallica, je crois que c'est le concert à Seattle de 89. Dans Master of Puppets, juste après le solo, James tape avec sa main une symbale de Lars, il se décale, du coup on entrend un gros pain, et ils se recalent sur le riff suivant.
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Dans les émissions du mardi sur Arte, sur les 60's et 70's.
Mardi dernier, y'avait les stones, et mon dieu, Keith Richards jouait désaccordé comme c'est pas permis. Délirant.
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Hors sujet : Ne dit-on pas de Keith Richards qu'il est le meilleur des plus mauvais guitaristes ;) ?



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:lol:c'est vrai ,qu'il est mal accordé,mais si tu regardes bien le film
il semble "dèfoncé en permanence et pas seulement de la ganja :8O:
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Citation : Live infiniment meilleur que le chiantissime "Song Remains..." [...] La seule chose à sauver, c'est la fluidité du chorus de Page sur "No Quarter".

L'interprétation de l'ensemble du morceau "No Quarter" est infiniment supérieure à la version studio : ici, il prend vie. D'ailleurs, je trouve aussi très réussie la partie de clavier de John Paul Jones qui précède et introduit le solo de Page. Je retiendrais également une très bonne version de "Stairway to heaven".

A eux seuls, ces deux plages synthétisent le génie live du Dirigeable et justifient l'achat du CD, dont il faut rappeler qu'il ne constitue que de la bande originale du film du même nom ...

Before you play, ask yourself: will it improve upon the silence ?

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Citation : A eux seuls, ces deux plages synthétisent le génie live du Dirigeable et justifient l'achat du CD, dont il faut rappeler qu'il ne constitue que de la bande originale du film du même nom ...



le problème c'est que le reste est soporifique ou raté.
Et puis, deux morceaux sur neuf, c'est peu pour justifier d'un achat.


Il vaut mieux se rabattre sur How The West Was Won, ou mieux, sur le superbe double DVD présentant plus de 5 heures de concerts pour se rendre compte du génie et de la puissance scénique des quatre compères.

sinon, Jones fait partie des grands musiciens des années 70 totalement mésestimé, à mon sens. Je trouve dommage que, pour des raisons qu'on ne connaît pas, Page & Plant aient laissé de côté Jones lors de la "reformation", sans le citer ou le remercier une seule fois.
Alors que "Kashmir" sans ses arrangements de cordes, "Stairway..." sans ses claviers (Mellotron & co), "No Quarter" sans son Fender, etc.
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:clin: peut etre que jones se foutait de la "reformation"
il est vrai que ,à la fin des 60's,il etait réputé comme arrangeur,pour
d'autres groupes,en tant que bassiste,il est très loin d'etre mediocre
est aux claviers,il assure :bravo:
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Citation : peut etre que jones se foutait de la "reformation"



très possible :)

Il n'empêche, je me souviens d'interviews de Page & Plant, à propos de leurs influences, du son Zep etc., et pas un mot du travail de Jones. Ce ce qui m'avait un peu choqué.