Sujet de la discussionPosté le 09/12/2017 à 01:50:03Editorial du 9 décembre 2017 : commentaires
S’il ne fait aucun doute que Jean d’Ormesson ne laissera pas une grande trace dans l’histoire de la musique comme Johnny Halliday ne laissera pas une grande trace dans celle de la littérature, il est indubitable qu’une page se tourne cette semaine avec la disparition des deux hommes. Une page du Figaro pour Jean, et une page de la vie des baby boomers pour Johnny, ce qui n’est pas rien. Du yéyé à la variété « wack’n’woll », le chanteur belge à l’incroyable voix aura fidèlement accompagné cette génération et ses enfants durant 55 ans, pour le meilleur et pour le pire, se produisant dans des énormes shows à l’américaine, avec cascadeurs et effets spéciaux, et enregistrant plus d’un millier de chansons, dont quelques-unes sont devenues des standards de la chanson française. Ça mérite bien un coup de chapeau même si, comme il le chantait lui-même, le cœur du rock'n'roll bat encore et que tout reste encore à faire sur ce terrain.
Quand je crée, ce n'est pas moi qui vais vers la toile, c'est la toile qui vient vers moi.
steve83630
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Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 9 ans
62Posté le 10/12/2017 à 22:50:22
Nous perdons sérieusement un geant de la scene et sincèrement je ne vois pas qui faire de même
j ai donner plusieurs année dans les soirées dansante avec un orchestre de 18 musiciens et je continue par passion et ce que jai vu a paris samedi ma bouleversé je n oublierai jamais
the best jonnhy
je réagis un peu tard et je ne voudrais point paraître pointilleux mon cher Teignos mais Johnny a enregistré Tutti frutti en 59 et son 1er disque en 60, cela fait donc au moins 57 ans de musique que JH nous a donnés (ou vendus n'est-ce-pas...). Cela dit, enfin écrit... , merci pour votre fabulous boulot, longue vie à AF !