Sujet de la discussionPosté le 09/03/2019 à 01:50:05Editorial du 9 mars 2019 : commentaires
Bien sûr, il y a la tristesse de voir partir Keith Flint, le leader de Prodigy, qui nous laisse tout de même un paquet de bons disques pour faire bouger la tête et les pieds, bien sûr, il y a l’Acte XVII des gilets jaunes qui sera encore plus décisif que les précédents mais sans doute moins que les 85 prochains autres, bien sûr, il y a la gronde du peuple algérien qui aimerait avancer l’âge de la retraite présidentielle, et encore Theresa May, au bord de la « nervous Brexdown ». Mais il y a cette semaine plus important que tout cela.
À la demande de la la Fédération des entreprises de boulangerie, l’institut IFOP vient enfin d’inviter un panel représentatif à trancher la question qui compromet l’unité nationale depuis des décennies. Et la réponse, implacable, est tombée : pour 84% des 1009 sondés, il faut dire "pain au chocolat" et non "chocolatine".
Je sais. C’est dur pour certains d’entre vous tandis que d’autres sabrent le champagne après cette victoire historique. Mais voilà, le match est joué, il n’y a plus de remontada possible. Et on le sait, il va falloir affronter d’autres questions du même genre, y compris dans la musique : le mot « funk » est-il masculin ou féminin ? Et « disco » ? Et qu’est-ce qui différencie vraiment le rap du hip-hop ? Bref, nous sommes à la veille de grandes questions vers de grands changements.
ben du coup, moi aussi, je ne m'en sers plus !!! Mais c'est bien de l'avoir, car on sait à quel point toutes ces merdes sont dangereuses. On est, peut-être plus sensibilisé que par le simple fait de lire cela dans des infos ou les actualités !
tout à fait, disons sue je l ai obtenu via ma formation en maraîchage bio
x
Hors sujet :
Moi c'était pour la culture de plantes endémiques (1 200 000 plants à faire pousser à partir de graines et boutures en 2 ans). C'était une pépinière écologique, contrôlée par un programme européen, je bossais avec l'ONF et le CIRAD pour l'autorisation de récoltes des graines des plantes, toutes protégées par arrêté ministériel et j'établissais toutes les fiches de culture, les recommandations etc... toutes ces plantes pour installer sur la fameuse Route des Tamarins, dans une pépinière dont j'étais
le responsable.
Une fois la mission finie, je bossais pour la chambre d'agriculture et les fameux contrôles des exploitations agricoles.