Sujet de la discussionPosté le 13/07/2005 à 12:10:14Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
j'ai surfer un peu ce matin sur le net pour me renseigner sur l'actualité du disque en france l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
Citation : ensuite il faut une interface st'andard d'accès aux données pour que chaque appareil puisse y accéder et c'est pourquoi j'ai cité la biométrie qui permettrai de sécuriser le tout
mwais, si tu veux mon opinion, la biométrie ça reste majoritairement de la couille (pourcentage d'erreur trop élevé), ou alors c'est hyper invasif. La biométrie est surtout un buzzword derrière lequel se cache un prétexte pour les entreprises et les états pour claquer énormément de fric dans la sécurité parceque ça fait bien. En sécurité, pour l'authentication, il y a le "je sais" (mot de passe), "j'ai" (carte à puce) et le "je suis" (empreintes digitales, iris, rétine, adn, voix) ... Le "je suis" est très cher à mettre en place et offre souvent un taux d'erreur trop élevé (soit il laisse entrer par erreur, soit il bloque beaucoup trop d'accès légitimes, et il n'y a pas de juste millieu), il est donc toujours à utiliser en combinaison avec au moins un des deux autres. Le plus efficace, ça reste la combinaison "j'ai" et "je sais"... rapport qualité-prix imbattable.
Citation : VOUS POUVEZ DIRE CE QUE VOUS VOULEZ ON COURS A LA CATASTROPHE TOUT CA CA RAPPORTE PAS UNE THUNE
on cours à la cata, oui, mais pas pour l'industrie, l'industrie va très bien.
Le désastre sera pour la culture, sa diffusion et surtout l'accès à la culture.
Et pour ce qui est de l'archivage de la musique, rien ne te dit que dans 50 ans, tu pourras encore réécouter avec nostalgie la musique DRMisée que tu auras acheté demain car ton droit à l'écoute dépendra entièrement de l'existence d'une infrastructure d'autorisation correspondant au drm utilisé.
En passant, avec les drm's les petits indés vont être obligés de se saigner pour payer les licences pour avoir accès aux réseaux protégés. Si les réseaux protégés deviennent obligatoires, c'est les détenteurs des systèmes de drm qui vont s'engraisser à mort.
Citation : Je sais j y vais fort mais c est pourtant ce qu'il se passe un peu partout en maison de disques.
Pour info sur un effectif de 25 , 5 personnes se sont faites licencier chez nous