Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
Hotfirecaster
Jmz
Citation : des petits labels comme celui de Martial MARTINAY "MAGIC RECORDS" sont précieux, car lui connait plus les trésors des majors que les majors connaissent elles mêmes leurs trésors...
Hors sujet : Dans le même genre, il y a Stéphane Lerouge et sa collec "Ecoutez Le Cinéma" qui fait figure d'exception, puisqu'il arrive à ressortir une quantité impressionnante de BO françaises des années 50 à 80 (dont certains OVNI) et ce, sur Universal Jazz. Bon, c'est très marketté, et c'est plus facile quand il est synchro avec pas mal de rééditions DVD des-dits films, mais châpeau bas tout de même !
Citation : Est-ce que ma quasi-absence du réseau physique ( vu que j'ai sorti majorité de vinyls ) est la raison de mon absence sur le P2P ?
Bah visiblement tu es l'anti-thèse du topic, et ça remonte le moral.
Je pense qu'effectivement, le format vynil est l'explication car:
1. Il est plus long et plus difficile de ripper un vynil qu'un CD. Il faut avoir un peu de matos et de "connaissances" audio. Donc ça squeeze une bonne partie des rippeurs lambda.
2. Le format vynil est complètement adapté aux musiques électro et le hip-hop parce que: DJ's (et/ou mélomanes). Et les DJ et autres mélomanes achètent leur musique, ils ne la piratent pas sur P2P (exceptions pour les auto-proclamés "DJ" de salles des fêtes qui font de la sono et tunent leur bagnole tout ça sur fond de Pinocchio et autres Dance Party volume 72).
Hors sujet : Petite appartée sur ces "spécimens" eux aussi font pas mal de tort à l'industrie parce qu'ils font leur beurre en diffusant de la musique qu'ils n'ont pas acheté, le tout étant bien-entendu non-déclaré dans 70% des cas, etc.
Y en a deux trois qui mériteraient qu'on leur foute SACEM, SNEP et autres URSAFF au cul.
JMZ www.mazamusic.fr
position.on.off
Citation : on a qq bons éditeurs en france qd même (magic par exemple) mais du coté des majors on ne fait pas grans chose... alors que ce sont eux qui ont les catalogues
je m'autocite car évidemment magic est un peu une exception en france (il yen a qq autres genre de mémoire fgl ou jukebox, ceux qui éditent du prog-rock français ou de la musique "funky") mais si je pouvais émettre une petite critique, pour avoir certaines rééditions de chez eux j'aurais aimé avoir plus d'infos sur les groupes
par exemples sur celle des 5 gentlemen le nom des membres apparait nulle part si j'ai bien regarder c'est un peu dommage
je pense qu'il y aurait une place à prendre pour des compiles type "nuggets" sur les groupes et artistes français rock des 60's ça me ferait bien kiffer moi d'en voir arriver une légal et ya de la matière pour
(entre les disques réédités chez magic, ceux par jukebox, et enfin les catalogues des majors)
Hotfirecaster
D'un autre coté plus actuel, personnellement je salut le travail de FARGO accompli par son créateur qui est un dingue de musique (Americana) et qui a monté çà à la force de son Amour de la musique.
La passion fait soulever des montagnes... Et des croix aussi, car c'est pô facile en ce moment.
Azertopia
J'aaiiiiiiiiiiii pas de faaaaaaaaaace
http://www.90bpm.net/video/clip-fr/akhenaton-j-ai-pas-de-face.htm
Jmz
Hors sujet : Citation : J'aaiiiiiiiiiiii pas de faaaaaaaaaace
J'aaiiiiiiiiiiii pas de faaaaaaaaaace
Etonnament, il ne parle pas dans la chanson des plans "rap" montés de toute pièce ... Pourtant, y en a un paxon.
@ +
JMZ www.mazamusic.fr
Anonyme
ratafiole
Citation : Une nouvelle arme contre les cyber- délinquants
Le Conseil d'État a autorisé les professionnels à traquer les fraudeurs qui téléchargent des oeuvres illégalement sur Internet.
LA FÊTE est bientôt finie. Le téléchargement illégal sur Internet va devenir un sport beaucoup plus dangereux pour ses adeptes. Depuis une décision du Conseil d'État rendue le mois dernier, les producteurs de disques et les artistes vont être autorisés à débusquer et poursuivre les voleurs de créations artistiques.
La plus haute autorité administrative du pays a désavoué la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil), chargée de la protection de la vie privée qui, sous ce motif, avait interdit aux professionnels de la musique de lutter contre le pillage de leurs productions.
Cette fois-ci, après un feu vert pour la forme de la Cnil, les sociétés de recouvrement des droits vont mettre en place un système informatique leur permettant d'identifier les voleurs les plus actifs sur le Net. La recherche sera aléatoire sur la base d'une liste de 10 000 titres qui changera régulièrement.
Une fois débusqué, l'internaute, sera sous surveillance pendant 15 jours. S'il télécharge environ 500 titres au cours de cette période, il sera assigné devant les juges en vue de lui faire payer des dommages et intérêts. Si le nombre de morceaux téléchargés atteint les 1 000 titres et plus, il aura droit au rude parcours de la justice pénale.
C'est sur la base de ces preuves que le président du tribunal de grande instance ordonnera aux fournisseurs d'accès à Internet (Orange, Free, Neuf Cegetel,...) de révéler l'identité des fraudeurs jusque-là cachée derrière un numéro. Les délais attendus par les avocats sont d'à peu près un mois. Ensuite, ce sera aux tribunaux de trancher. Aujourd'hui ces derniers ont appris à frapper ces cyber-délinquants au portefeuille. Ils paient chaque morceau volé plus cher que s'ils l'avaient acheté sur les sites légaux (jusqu'à deux euros pour un prix d'achat légal d'un peu moins de un euro). Quant au pénal, la loi prévoit des peines maximales de 3 ans de prison et 300 000 euros d'amende. Lorsque l'affaire est menée à plusieurs c'est-à-dire en bande organisée, la punition passe à 5 ans et 500 000 euros.
Reste le cas des « petits voleurs » qui seraient exemptés de toute peine dans ce système. La profession n'avait prévu que l'envoi d'un message d'alerte, informant les internautes qu'ils avaient été découverts et que leur pratique pouvait les emmener tôt ou tard devant un juge. Pourtant, l'usage de cette méthode douce leur a été refusé par le Conseil d'État. Un texte de loi du Code des postes et communications électroniques prévoit que l'on ne peut farfouiller dans le réseau que dans le but de mener une action en justice. Autrement dit, il suffirait désormais aux professionnels de décider de poursuivre les « petits » délinquants pour les stopper dans leur activité favorite.
Système de radars
Pour l'instant, il n'en est pas question parce que : « Les sociétés de production ne veulent pas être impopulaires et compte tenu du coût des actions en justice », indique Jean-Philippe Duhamel avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation. Mais Christine Albanel, le ministre de la Culture, vient d'ouvrir une porte. Jérôme Roger, le directeur général de la SPPF, qui représente les producteurs indépendants, évoque de prochaines concertations visant à mettre en place des « radars ». Géré par un service de l'État, ce système permettrait d'identifier les fraudeurs et de leur faire parvenir immédiatement des contraventions, comme celles que les chauffards reçoivent à leur domicile. Ainsi, l'arsenal juridique serait complet comme il l'est depuis longtemps aux États-Unis, en Allemagne et en Grande-Bretagne. En attendant, depuis cinq ans, les ventes de disques ont chuté de 50 % en France, selon une étude d'avril dernier. Pour Jean-Philippe Duhamel, cette exception française est liée à une hypocrisie : « Depuis toujours, ceux qui jugent la loi trop sévère feignent d'ignorer que les tribunaux modulent les peines selon la gravité des cas qui leur sont soumis et cela n'est pas sérieux. »
grum
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