Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
Jules Joffrin
Citation : les CD's n'étaient pas encore masterisés par des porcs,
c'est marrant je pense tout le contraire. Les cd des années 80 c'est un son froid, terne, sans ampleur. En gros ce qui a fait que beaucoup préféraient encore le vynil.
Bon, peut-être que maintenant on compresse un petit peu trop.
En tout cas, les remasterisations des albums des années 60/70 qui sont faites maintenant sont incroyablement plus réussies que les éditions cd des années 80.
C'est pour ça entre autre, que l'on attend une remaasterisation du cata des Beatles.
Anonyme
Citation : Maintenant, les CD sont de plus en plus souvent masterisés par des singes sourds et aphasiques.
Faut arreter aussi, hein, le mastering c'est aussi un bizness et on y fait ce que reclame le client, point barre. Masteriser un album tout au bord du rouge, c'est pas donné au premier venu quand meme, on peut regretter les derives, mais les mecs derrieres les machines ne sont en general ni sourds, ni stupides.
Jules Joffrin
fritesgrec
Anonyme
Citation : Faut arreter aussi, hein, le mastering c'est aussi un bizness et on y fait ce que reclame le client, point barre.
A priori, vu la qualité qui sort ces deux dernières années, le mastering est de plus en plus souvent fait comme si c'était le client qui l'avait fait lui-même... pourquoi payer un studio de mastering pour saloper le son alors que n'importe qui peut en faire autant.
Et puis bon, désolé, mais les "pros" du mastering qui te sortent du son de merde "à la demande du client", c'est à la limite de la prostitution, ils n'ont pas de respect pour eux ou pour le travail. Si on avait un peu plus d'ingés et un peu moins de putes, les boîtes de prod se mêleraient moins du boulot de mastering et feraient plus confiance aux pros.
Anonyme
La c'est pareil, on t'amene un truc, tu fais ce qu'attends le client, ce qui est le plus adapté a son marché et le soir tu rentres chez toi t'occuper de tes enfants.
Citation : les boîtes de prod se mêleraient moins du boulot de mastering et feraient plus confiance aux pros.
Mais plus confiance pour quoi? le but d'un cd, quand t'en est la, c'est de vendre, pas de produire un chef d'oeuvre pour audiophile. Et puis les artistes soucieux de se genre de details trouvent egalement chaussure a leur pied et peuvent avoir de tres bons mastering s'ils le desirent.
Citation : pourquoi payer un studio de mastering pour saloper le son alors que n'importe qui peut en faire autant.
Franchement j'y crois pas une seconde, avoir le niveau de porc d'un album des black eyed peas en conservant la peche et l'impact, tu peux courrir pour que ta voisine de palier en fasse autant.
Anonyme
Citation : les remasterisations des albums des années 60/70 qui sont faites maintenant sont incroyablement plus réussies que les éditions cd des années 80
C'est très net.
Globalement, mais surtout pour les réeditions, le travail de (re-)mastering est sacrément plus fin que dans les 80's, indépendamment du niveau sonore.
Mais bon si déjà à 5 on est pas d'accord sur ce genre de détails, ça donne idée de la pertinence du débat qui se déroule ici depuis presque mille pages
ratafiole
Citation : SpiralFrog Launches Much-Anticipated, Ad-Supported Service
SpiralFrog is now launching its heavily-anticipated, ad-supported download service, despite spotty buy-in from major label groups. The offering, which first surfaced as a beta release in early August, features a catalog of roughly 800,000 tracks and 3,500 music videos. The move closely follows an agreement involving Universal Music Publishing Group, just one component in a larger Universal Music Group buy-in. Also on board is EMI Music Publishing, as well as independent digital distributors the Orchard and INgrooves. "SpiralFrog will integrate advertising in a compelling way, so that we enrich the overall user experience while becoming a must-have channel for advertisers," promised George Hayes, senior vice president of marketing and sales at SpiralFrog.
The ad-supported combination is enticing, though significant hurdles remain. The tracks themselves are being offered as protected WMAs, a format that has performed poorly on the paid side. Selection will also play a factor, especially since competitors like the iTunes Store, Napster, and others offer collections in the millions. And expensive upfront licensing charges - including a reported multi-million dollar payout to Universal - could undermine a viable revenue model.
Challenges aside, few expected SpiralFrog to even make it to launch. After being puffed by a massive media frenzy last year, the destination suffered licensing problems and executive turmoil. But sheer determination appears to be pushing this model forward. "SpiralFrog is committed to solving music piracy by changing the way people discover music with free content," said chairman and founder Joe Mohen.
Number-6
Nan parce que franchement c'est typiquement le genre de remarque qui m'épate.
Après si effectivement c'est pour me citer les black eyed peas ben alors là le problème est plus au niveau de la compréhension de la zik mainstream actuelle par l'auditeur qu'au niveau du mastering.
fritesgrec
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