Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
Anonyme
Anonyme
Citation : Y'a des choix artistiques a faire, decider ce qu'on souhaite mettre en avant ou rendre plus subtile en fond, arranger dans l'espace, rectifier certaines erreurs et en laisser d'autres.
tu parles plus de mastering la aussi... Forcement si on parle pas de la meme chose y'a de bonne chances qu'on soit pas d'accord. Moi j'ai peur au mastering de ruiner le mix, et toi t'y vas au contraire pour "retoucher" le mix, forcement on peut pas s'entendre. Et on met aussi dans le meme panier nos prods sans "enjeux" et celle qui vendent gras, qui doivent passer sur le 2x2w de sandy et sonner plus gros que celle du voisin. Pas du tout les memes pratiques.
Anonyme
Faire un master est un job à part qui demande d'autre qualité que celle pour mixer mais ne se détache pas non plus d'une considération artistique... C'est une fois encore une histoire de gout, de style et de technique. Et si en plus il faut sonner plus fort que le voisin, il faut que ce soit fait avec gout et sans trop tuer le son... Et des fois ça marche.
Peaveycroquette
Jules Joffrin
Citation : Faire un master est un job à part
On appelle ça faire des études.
Anonyme
Citation : Moi j'ai peur au mastering de ruiner le mix, et toi t'y vas au contraire pour "retoucher" le mix, forcement on peut pas s'entendre
bah si t'as peur d'abimer, autant rien toucher !!!
Le master pour moi permet d'homogenéiser (scuzez l'ortografe) le tout, de donner du liant en faisant des retouches générales. C'est aussi comme ca a été dit permettre de donner a une compo la couleur qui sera celle d'un album, d'un contexte d'écoute. Bien sur que ca "abîme", m'enfin on fait pas un gateau sans casser des oeufs !!!
Anonyme
Citation : Les labels musicaux cherchent de nouvelles sources de revenus
[2007-09-18 13:21]
NEW YORK (Reuters) - Les labels musicaux américains se montrent de plus en plus ouverts à une collaboration avec les disquaires en ligne, de la plus modeste start-up à Amazon.com, dans l'espoir de doper leurs ventes de musique sur internet et d'entamer la domination du kiosque iTunes d'Apple.
Les maisons de disques, que le piratage à grande échelle des sites comme Napster et KaZaa rendait autrefois paranoïaques, misent désormais sur d'autres modèles économiques comme la vente d'espaces publicitaires accompagnant le téléchargement gratuit de morceaux.
L'objectif est double: augmenter le chiffre d'affaires généré par la musique en ligne pour compenser le déclin plus important que prévu des ventes de CD et créer des alternatives à iTunes pour leur donner davantage de poids lors des renégociations des licences avec Apple.
"Nous voulons voir émerger une alternative viable pour la musique", a déclaré un responsable d'un grand label musical souhaitant garder l'anonymat.
"Si (le téléchargement gratuit) est bien fait, il peut générer de nouveaux revenus (publicitaires) et amener à des achats directs", a-t-il ajouté.
De nombreuses start-ups ont imaginé des modèles économiques pour contrer iTunes qui capte 70% des ventes de musique en ligne, mais beaucoup ont également échoué dans leurs négociations avec l'industrie musicale.
L'un des obstacles majeurs au lancement d'un service en ligne réside dans l'obtention des licences pour la musique elle-même.
Dans la plupart des cas, les principaux labels n'octroient ces licences qu'à la condition que les start-ups leur versent préalablement une redevance conséquente.
Amazon devrait lancer cette semaine un service concurrent d'iTunes après avoir signé des accords avec EMI et Universal Music Group, propriété de Vivendi.
LE TÉLÉCHARGEMENT FINANCÉ PAR LA PUBLICITÉ
Deux sociétés plus petites, Qtrax et Spiralfrog, misent, elles, sur le téléchargement gratuit de musique financé par la vente d'espaces publicitaires dont elles partageront les recettes avec les maisons de disques.
Bien que ces modèles économiques fondés sur la publicité n'aient pas encore fait leurs preuves, Allan Klepfisz, directeur général de Qtrax, y voit une parade au téléchargement illégal de musique sur les sites "peer-to-peer" (échanges de pair à pair), comme Limewire.
"L'idée est d'améliorer la version gratuite", a-t-il indiqué dans une interview.
Klepfisz a expliqué que Qtrax devrait être lancé en décembre après quatre années de gestation mises à profit pour signer des accords avec les principaux labels à l'exception du plus grand, Universal Music Group.
De son côté Spiralfrog a annoncé lundi le lancement de son service 13 mois après avoir obtenu les droits du catalogue d'Universal. Dans un document adressé aux autorités boursières le mois dernier, Spiralfrog indique qu'il versera une redevance de 4,4 millions de dollars non remboursable à Universal le 15 novembre.
"Nous disposons de contenu autorisé dans un environnement publicitaire favorable", a expliqué Joe Mohen, fondateur et président de Spiralfrog. "Les gens découvrent de la musique dans un endroit et la téléchargent ailleurs. Spiralfrog va changer cela."
Spiralfrog et Qtrax ne sont pas les premiers à choisir cette formule. Ruckus Network, en Virginie, qui offre un service similaire depuis trois ans, revendique 700.000 membres.
Mais le gros problème pour ces services de téléchargement gratuit est qu'ils sont incompatibles avec l'iPod d'Apple, le baladeur musical le plus populaire.
Lala.com, start-up californienne, a développé un modèle économique qui permet aux utilisateurs d'acheter de la musique numérique et de la télécharger directement sur un iPod, mais ces chansons ne peuvent pas être transférées sur un autre support.
Le fait que Lala n'ait réussi à passer qu'un seul accord avec un label important, en l'occurrence Warner Music Group, montre à quel point il est difficile de se développer sur ce marché.
Lala propose également d'envoyer gratuitement les CD des albums que les internautes téléchargent sur son site, et envisage de leur donner la possibilité de "restituer" les téléchargements qu'ils n'aiment pas.
"Cela implique une bonne dose de confiance", commente Bill Nguyen, le fondateur de Lala. "Mais ce n'est pas viable, si nous ne le faisons pas correctement", assure-t-il.
Anonyme
Pour l'ipod, jtrouve quand même qu'on en fait beaucoup... Alors que bill gates vient de perdre en justice pour des clauses de non concurrence, on va pas servir a apple des formats dédiés et en faire des standards !!! Je trouve ca révoltant, ou l'accés a la culture moyennant l'achat d'une marque !!!
puuah !
Anonyme
Citation : Lala propose également d'envoyer gratuitement les CD des albums que les internautes téléchargent sur son site, et envisage de leur donner la possibilité de "restituer" les téléchargements qu'ils n'aiment pas.
Pas con !!! Les avantages de l'achat en dur + l'immédiateté de l'achat en ligne !!! J'attend de voir le prix du skeud, si on cumule les deux procédés de vente pour un meme produit...
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