réactions au dossier Composition : aller droit au but
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Craig Anderton

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FeeL-31

Hello, cet article m'a appris pas mal de choses mais la premiere est celle-ci: "l'ennemi principal de l'inspiration est l'édition des prises. Ce processus utilise l'hémisphère gauche du cerveau, tandis que la création mobilise l'hémisphère droit."
s'il y a des possibilités d'en savoir plus sur ce phénomène, par exemple si vous avez des liens qui conduisent a des articles qui approfondissent la chose, je suis preneur ;)
Hors sujet :
en passant je vous souhaite un très bon reveillon ce soir

funkylio

La solution que j'ai trouvée c'est d'enregistreravec sound forge donc en audio avec comme source tout ce qui passe dans l'ordi, et je nomme la prise de manière technique en donnant le nom de presets et insutrments utilisés quand ce n'est pas évident... énorme gain de temps...
Effectivement, c'est réducteur de parler de composition au sens classique du terme (rythme, mélodie harmonie), car alors, on n'a qu'à utiliser batterie basse piano et éventuellement voix... c'est archaïque car c'est le timbre des instruments, l'atmosphère qui en découle, qui importent maintenant dans beaucoup de musiques non redondantes... et le sampling dans tout ça??
L'intérêt évident de cet article malgré tout est de pointer la surabondance de la technologie qui risque de nous faire perdre de vue la construction d'un morceau...
Suggestion autre: programmer par exemple sur un ESX ou groove box autre une rythmique bien personnelle... et télescoper plus tard avec de l'acoustique ou des synthés... c'est en deux temps mais on se concentre sur une partie bien précise et déterminante à chaque fois...

malhomme

C'est une vieille lune, cette histoire de cerveau gauche et droit qui n'a plus aucune réalité scientifique aujourd'hui: bref c'est de la connerie, tous les processus (surtout complexes) mobilisent les deux régions du cerveau.
Cet article provient d'un bouquin célèbre dans l'ingénierie du son d'un loustic dont le nom m'échappe et qui utilisait cette métaphore.
Si on fait le point de ce qui en reste:
1) Avoir un processus organisé pour se faciliter la vie quand l'inspiration frappe est une bonne idée, ça c'est sur (template dans cubase ou équivalent dans n'importe quel séquenceur)
2) Penser que édition, mixage et compo sont des taches FORCEMENT séparée est une absurdité.
En fait ça dépend juste de chacun. Après avoir longtemps mélangé, puis séparé à la lecture de ce truc il y a 10 ans, je re mélange aujourd'hui. Il y a des situations ou jouer avec le son ou les sons suffit à stimuler l'inspiration.
3) Avoir un "processus organisé" de compo n'a aucun sens. Chaque morceau nait différemment. Croire que l'on peut avoir un truc "organisé toujours pareil" est justement le meilleur moyen de combattre l'inspiration: c'est une situation qui n'a rien d'humainement naturel !
Il faut laisser place au hasard heureux, au coup de bol, au truc qui te surprend que tu n'avais pas prévu et qui ouvre des horizons. Un truc trop bien organisé ne permet pas ça.
4) S'il y a un truc toutefois qui n'est pas assez souligné et qui capital, ce sont les YEUX. je me bats contre ça à longueur de cours à longueur d'année.
S'il y a UN truc qui est sûr en matière de cerveau, c'est la disproportion de sa partie dévolue au traitement d'infos visuelles et celles dévolues au traitement du son.
Il se trouve que le cerveau n'est que vaguement multi-tache quand il s'agit du traitement d'infos sensorielles. Faites l'expérience: concentrez vous sur le son d'un film en 5.1 pour percevoir les détails, les nuances de son et bien percevoir les plans sonores de tous les côtés: vous ne pouvez plus voir l'image.
Les séquenceurs sont conçus pour fournir une débauche d'éléments visuels, fonctionnels (niveaux, etc) ou juste pour faire joli (interface de plug in).
Au final on se retrouve à ne pas écouter la moitié de ce que l'on fait car les aires visuelles sont constamment excitées et sollicitées.
Apprenez à éteindre les moniteurs parfois, à fermes les yeux, etc...
Ca c'est tout aussi vital...
http://soundcloud.com/in-mobile
[ Dernière édition du message le 01/01/2011 à 12:06:45 ]

Dominique Le Bars

Tu as bien raison malhomme,
même si je trouve le ton de ta réponse un peu " donneur de leçon " !
Je pense que chacun à sa méthode et qu' on se doit de respecter cela.
Perso, mon dernier album , c' était ma tête uniquement.
Eliminer les intermédiaires sont la meilleure manière de libérer l' inspiration.
Du moins pour moi..
Je me repasse 500 fois mes idées dans la tronche jusqu' à ce qu' elles décident de prendre
leur envol pour construire d' elle même mon futur morceaux.
Un coup d' instrument 5 minutes par jour me pour vérifier si c'est cohérent et zou.
Quand c' est fini et jouable j' ouvre Cubase et pas avant.
Ou alors juste pour enregistrer une grille afin de bosser un solo ou autre..
Je pense que plus on se passe d' intermédiaire , plus on est attentif à son inspiration.
Après , je je répète, une bonne méthode est une méthode qui marche pour soi !
Blavez mat tout le monde !
[ Dernière édition du message le 01/01/2011 à 12:58:12 ]

malhomme

Ok je suis mal réveillé
Nan mais ça fait des années que j'entends ces bétises de cerveau droit et gauche et c'est vrai que c'est soulant à force...
C'est du même niveau que les trucs genre "les hommes viennent de mars et les femme de vénus".
Mais bon il y a aussi 5 millions d'américains qui prétendent avoir été enlevés par des extraterrestres, alors...
On croit ce que l'on veut...
http://soundcloud.com/in-mobile

miles1981

Le pire, c'est de lire des messages tels que le tien. Oui, les zones du cerveau sont spécialisées. Tout comme sur une puce de silicium.
Audio Toolkit: http://www.audio-tk.com/

Tonka

Effectivement, cette histoire de cerveau gauche et cerveau droit n'a aucun fondement scientifique... le cerveau a effectivement des zones spécialisées, mais suivant des répartitions infiniment plus complexes qu'une spécialisation de chacun des hémisphères...
ça n'empêche pas cette idée d'être une représentation mentale qui peut être intéressante.
Moi je trouve ça souvent réducteur : se concentrer intensément sur un aspect technique, permet parfois de libérer notre inconscient dans un processus de créativité. bref le "cerveau droit" n'est pas l'ennemi du "cerveau gauche".

malhomme

Yep, et passons sur la comparaison cerveau-puce de silicium...
http://soundcloud.com/in-mobile

**naPOLEoN**

Citation :La prise originale n'étend pas modifiée, la quantisation pourra être supprimée ou éditée ultérieurement.
Mais qu'en est il de l'orthographe...
Plus sérieusement, un article bien utile pous certains, je vais imprimer et le distribuer autour de moi en en gardant un exemplaire sur le bureau.
EDIT

[ Dernière édition du message le 02/01/2011 à 12:27:26 ]

ddn

Citation de : Polln
Hors sujet :Citation :La prise originale n'étend pas modifiée, la quantisation pourra être supprimée ou éditée ultérieurement.
Mais qu'en est il de l'orthographe...
Plus sérieusement, un article bien utile pous certains, je vais imprimé et le distribuer autour de moi en en gardant un exemplaire sur le bureau.
No comment.
Hors sujet :
Plus sérieusement, je souris à lire le débat sur le "cerveau droit / cerveau gauche" et la comparaison "cerveau organique / cerveau machine"... C'est un débat qui est vieux comme la science fiction de Jules Verne et qui s'il est intéressant me semble partir sur une base erronée.
La "métaphore des deux cerveaux" est exactement ça, une métaphore. Elle permet me semble-t-il de rendre compte de phénomènes complexes et difficiles à expliquer simplement, comme sont des métaphores la pyramide des besoins de Maslow, les théories de De Bono sur la pensée, la résilience de Cyrulnik, etc. Vouloir en faire de la connaissance directement transposable en physiologie et encore plus en physiopathologie c'est oublier que ce sont des outils pédagogiques, destinés à faire appréhender plus facilement la réalité, et pas du tout de la science.
La science, selon les critères de scientificité de Popper se parle en termes de réfutabilité, d'expérimentation contrôlée, etc. et s'applique plus difficilement aux sciences humaines. Popper lui même mettait en garde fréquemment les scientifiques contre deux écueils habituels de leur pensée : d'une part de taxer de charlatanisme tout ce qui leur échappe (en oubliant que même "farfelue" sur un plan scientifique une idée peut avoir une valeur pédagogique intéressante), d'autre part de considérer que le savoir scientifique est gravé dans le granit (alors que l'histoire montre régulièrement que la science d'aujourd'hui est le charlatanisme de demain et vice versa).
@Tonka : ton argumentation est intéressante, mais avant de réfuter en bloc la métaphore des deux cerveaux, as-tu pris le temps de t'intéresser de près au concept (PNL, behaviorisme, etc.) ?
@Malhomme : la métaphore des deux cerveaux ne me semble pas une croyance mais comme je le disais plus haut une façon d'expliquer simplement des choses complexes - et parfois d'en dériver des outils d'apprentissage opérants. L'écueil c'est à mon sens de considérer cette métaphore comme de la science dure au même titre que de la physique des particules... Qui est elle même soumise à de constants changements.
La comparaison "cerveau organique / cerveau machine" est largement mise en perspective quand on lit les premiers ouvrages apparentés à de la SF au début du 20ème siècle, où l'intelligence artificielle est insufflée par ce qui était le top de la technologie de l'époque : la mécanique (les automates comme dans La poupée sanglante) et surtout l'électricité (comme dans Frankenstein). Notre vision moderne de l'intelligence, segmentée en puissance de calcul, en mémoire vive et en mémoire morte, a été modélisée par nos ordinateurs... Mais rien ne nous dit que cette modélisation soit plus pertinente que la théorie de l'intelligence électrique du début du 20è siècle. Comme la métaphore ci-dessus c'est peut-être pourtant un moyen intéressant d'expliquer simplement et avec des concepts que les gens connaissent déjà une partie de la nébuleuse philosophique / scientifique qu'est l'intelligence ou plus complexe encore qu'est la pensée.
Et en matière de composition, si une personne décrivait ou modélisait des outils permettant d'optimiser sa vitesse et sa qualité de création musicale, il ferait des centaines de milliers d'heureux... Dont moi.
[ Dernière édition du message le 02/01/2011 à 10:42:49 ]

malhomme

Oui mais c'est justement le sujet: MES "outils opérants" pour jargonner, ne sont pas TES outils opérants, et heureusement !
Donc la possibilité de trouver des "trucs" qui dans la vie de tous les jours (avec toutes les contraintes qui s'exercent sur nous quotidiennement) nous imposent de trouver des chemins de traverses pour ne pas laisser filer le fil des idées qui viennent.
Je trouve par exemple qu'un bête dictaphone est 1000 fois plus utile pour laisser une idée que séquenceur, organisé avec des "taches cerveau droit" et "taches cerveau gauche" (métaphore en plus non opérante).
Pareil, j'ai un carnet pour noter des idées. Un petit carnet qui tient dans une poche.
Je me répète: je ne crois pas une seconde que mes outils marchent pour disons ddn, ou WIzub...
C'est possible, mais pas très probable...
A la charge de chacun de construire sa "boite à facilité", c'est à dire son arsenal de "trucs et astuces" pour se faciliter la vie.
ddn, tu parles en fin de post "d'optimistion de vitesse et de création musicale". Il me semble y voir un signe des temps : vouloir tout faire plus vite plus fort, plus plus plus plus....
La question est essentielle: pourquoi vouloir "optimiser" ? Pourquoi vouloir aller plus vite ?
La question a légèrement dévié de "les trucs pour ne pas se laisser distraire" à "monsieur plus" qui est signe des temps évident.
On a tous la même expérience j'en suis sûr:
j'ai des morceaux qui me sont arrivés tout faits (rêve, embouteillage -merci le dictaphone de tout à l'heure pour dicter tous les arrangements,...) et d'autre qui ont 10 ans, qui ont connus 15 avatars et qui ne fonctionnent toujours pas ou qui ne sont pas finis, et dont je ne me sors pas bien...
Du coup la notion d'optimisation de la vitesse et de la qualité n'a plus grand sens ici...
et tous les scientifique en général réfutent cette idée assez idiote de sciences molles et de sciences dures...
http://soundcloud.com/in-mobile

marzacdev

Citation de malhomme :
Au final on se retrouve à ne pas écouter la moitié de ce que l'on fait car les aires visuelles sont constamment excitées et sollicitées.
Apprenez à éteindre les moniteurs parfois, à fermes les yeux, etc...
Ca c'est tout aussi vital...
Personnellement, quand j'éteins les moniteurs, j'entends plus rien .
Désolé, je sors.
fredslab.net - au Synthfest 2042 de Nantes!

ddn

Citation de : Marzac
Personnellement, quand j'éteins les moniteurs, j'entends plus rien
.
Désolé, je sors.
c'est comme la grand mère de ma femme qui devenait sourde quand elle enlevait ses lunettes
Citation de malhomme :
ddn, tu parles en fin de post "d'optimistion de vitesse et de création musicale". Il me semble y voir un signe des temps : vouloir tout faire plus vite plus fort, plus plus plus plus....
La question est essentielle: pourquoi vouloir "optimiser" ? Pourquoi vouloir aller plus vite ?
La question a légèrement dévié de "les trucs pour ne pas se laisser distraire" à "monsieur plus" qui est signe des temps évident.
Tu as raison : ma formulation est révélatrice de qui nous sommes. Cependant par "optimisation" je ne parlais pas de vitesse. Je voulais dire "faire le mieux possible avec ce qu'on a et qui on est : tirer le meilleur parti de soi". Est-ce utile ? Je ne sais pas, mais il me semble que progresser (dans le sens de "devenir meilleur, se dépasser, aller au delà de soi") est un but louable pour un être humain - et je comprends qu'on ne soit pas d'accord.
Citation de malhomme :
et tous les scientifique en général réfutent cette idée assez idiote de sciences molles et de sciences dures...
Hors sujet :
comme la métaphore des deux cerveaux, parler de science dure et de science humaine était dans ma bouche un outil pédagogique : tout le monde sait de quoi je parle quand je le dis - et je crois que ma référence à Popper permettait d'assurer que mes propos s'intégraient dans une réflexion et non dans un dogme... S'il y avait bien quelqu'un d'anti-dogmatique c'était bien Popper...
Votre idée du dictaphone m'a semblé tellement bonne que je vais acheter un micro BR prochainement, histoire de "capturer" ma guitare quand je joue au casque quand mes filles dorment en plus j'ai vu qu'on pouvait l'équiper d'un micro, ce que je ne manquerai pas de faire.
Je me sentais "bloqué" récemment probablement parce que j'ai développé une sorte de technique de composition dont j'aimerais me sortir... Absolument tout ce que je fais depuis 6 mois est de l'ambient synthétique, bon j'aime bien ça mais je trouve ça trop limitant...
[ Dernière édition du message le 03/01/2011 à 07:45:18 ]

malhomme

C'est vrai que cette citation de Anderton qui débute le sujet est plus concentrée sur les éléments extérieurs freinant la composition.
Maintenant, comme tu le soulignes, nous avons à faire à des nombreux freins intérieurs.
- des freins lié à la connaissance techniques et/ou culturelle: par exemples des couleurs sonores que pour raison culturelle ou technique on ne connait pas et que donc on ne peut utiliser: au pif, si je ne sais pas comment sonne le mode napolitain majeur ou le mode enigmatique, je ne peux pas l'utiliser, et je n'ai pas grande chance de tomber dessus par hasard
- des freins de "routines" installées. Là le côté "mes trucs ne marchent pas forcément pour toi" est encore plus développé je crois. Je pense que c'est un problème pire que celui évoqué par Anderton et le fait que les séquenceurs ne soient pas adapté à la compo... Je suis aussi constamment confronté à ça. Mes trucs à moi sont:
- bannir certains sons ou certains instruments dans un morceau (ex: pas de sons avec une attaque supérieure à une demi seconde) ou pas de contrebasse, ou que sais-je.
- changer l'accordage de son instrument (bon mon instrument principal est la guitare, du coup c'est facile). Je suis passé par divers open tuning, puis des accordage systématiques (tout tierces mineures, tout quintes, et j'ai fini par garder tout quinte sur une guitare à part).
- s'imposer de temps en temps un "à la manière de" dans un style plutôt pas naturel pour moi.
- Improviser avec des gens qui ne font rien comme moi...
Ces trois trucs sont très insatisfaisant en terme de résultats toutefois....
Des fois ça marche, des fois pas.
Robert Fripp ( de King Crimson) s'est toujours fait l'avocat du fait que la msique joue l'instrument humain, et que le job de l'huamain en question est d'acquérir le niveau technique et la capacité à mettre son ego en retrait pour laisser parler la musique.
Aboutir à une sorte de transparence quoi, bref, un truc à l'opposé de notre culture occidentale où l'on est plutôt dans l'idée de marquer sa personnalité, de s'imposer, de laisser une trace, bref de valoriser l'ego...
http://soundcloud.com/in-mobile

Les Cowboys Etanches

Pour ma part, j'ai deux outils qui me permettent d'aller très vite :
- Band In A Box : toujours moyen de trouver un "style" proche de ce que je veux faire, du cajun à la salsa en passant par le jazz ou le reggae : je rentre ma grille d'accord, j'exporte en midi et je garde... le minimum (batterie + basse et éventuellement piano). Trouver/éditer un pattern de batterie est chronophage et brise mon élan... avec ça pas de problème
- Ableton Live : je pars sur une idée de riff à la guitare, j'en fais une boucle et j'ai vite fait de jeter les bases du morceau
Sinon 100% d'accord avec le reste : pas touche aux plug-ins, aux EQ, compresseurs avant d'avoir tout mis dans la boîte...
Autant j'aime pas la tarte aux pommes, autant une bonne tarte aux pommes...

PandemoniumAsylum

Le plus rapide reste de se filmer. Ca permet de ne pas perdre une idée, d'avoir les doigtés sous la main, tout ce qu'il faut. Si j'utilise un accordage spécial, je le dis au début.

malhomme

Le plus rapide ? Faut donc en plus mettre la caméra, la mettre en marche prête à filmer
Ca à l'air lourd nan ?
Et comment tu fais qu'en tu es en voiture ou dans un transport en commun ? Tu perds tes idées ?
http://soundcloud.com/in-mobile

Intercontinental



pikogan

Merci à Greig pour ses conseils.

regsik

sinon pour ceux qui veulent participer au processus je suis tombé sur ca http://harmonybuilder.com/index_fr.html
ils disent que c'est les premiers a faire ca mais j'avais entendu parler de emi y'a longtemps, cela dit emi créait des morceaux/arrangements etc. alors que harmonybuilder est plus un genre d'assistant j'ai l'impression.
Avec des si on pourrait être musical-es !

regsik


Avec des si on pourrait être musical-es !
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