réactions au dossier Sondage sur le budget des AFiens consacré à leur interface audio

Ca vous parait simple parce que ça a marché pour vous les gars. Moi aussi aujourd'hui je sais faire un projet de a à z dans mon hs. Mais ça ne permet pas d'en vivre, et croire que juste cibler son travail permet à un moment de devenir artiste comme travail est juste une grosse erreur.

On ne met pas tous le même temps à apprendre, on est inégaux aussi dans nos facilités/difficultés face à la musique (instrument, technique) et aux moyens de mise en oeuvre. Ce qui fait que, justement, celui qui va le plus vite et est en phase avec cette mentalité lamentable réussi, et on laisse à côté les autres (et pas qu'en musique d'ailleurs). C'est toujours facile de dire que c'est faisable sans vraiment savoir, assis derrière un clavier. J'entends ce discours depuis 20 ans: la réalité est tout autre sur le terrain. Moi je suis retro (et non pas vintage) et j'assume, et comme mon style ne matche pas, comme disent les jeunes, eh bien je reste dans l'ombre. Et ce n'est pas un problème qualitatif, crois moi.

Grâce à cette sélection à la noix, les gens sont découragés de travailler (dans bcp de métier on a du mal à recruter), et on a l'hypocrisie de dire que "personne ne veut plus travailler".

☼ donc je vis en faisant mon intéressant sur une estrade.

Citation :

ce qui donne du souffle à l'arrivée voir empêche l'usage de certains micro : le SM7 est redoutable pour ça. Il y a les interfaces avec lesquelles on peut l'utiliser, et celles avec lesquelles on ne peut pas tant le niveau de sortie du micro est faible...

J'ai investi y'a quelques mois dans une Apollo twin et le microphone dynamique SD-1 UA( micro qui correspond au SM7), et bien même, avec le couple Apollo/SD-1, je suis obligé de mettre l'Apollo à fond, pour avoir un signal enregistrable. C'est étrange qu'UA vende un micro sensé fonctionner avec leur carte, mais qu'on soit obligé de mettre à fond ?
J'comprend pas.