Sujet de la discussionPosté le 18/08/2005 à 00:15:35Composer avec des sons ou habiller des son avec une compo ?
Je me demande parfois ce qui motive telle harmonie, tel accord.
Ce qui alimente le machine humaine à poser une note là, ou ailleurs, à s'arrèter,. à casser le rythme,. à recommencer une mesure de plus.
En virtuel, on tombe rapidement dans la dépendance technologique: se faire bouffer par la machine, sucomber à la tentation des boucle "mortelles", et des effets cyclopéens. Et perdre du coup l'envie de raconter une histoire en appuyant sur des notes, en enchainant des accords.
L'un est plus facile que l'autre. L'un consiste à faire de la bonne technique, l'autre à s'investir,. pour peu qu'on y mette un peu d'ame.
J'ai pas les connaissances en soflège qui faudrait, alors je fait comme je pense. Je me fait violence de ne pas accepter quelques chose qui ne me plaise pas,. qui n'aille pas,. qui provoque une mauvaise impression, une lourdeur, un inesthtisme. Certains ne parviennent pas à terminer leur titre, c'est pas facile de terminer, de faire un cheminement,. de poser une idée, et de la faire évoluer,. vivre, et s'éteindre.
J'aimerais qu'on exprime ici la vie qui se passe dans vos processus de composition et d'harmonisation.
Je me doute bien que c'est du second degré mais tout de même ce que tu appelles le monde conventionnel des musiciens conventionnels, c'est TON monde qui à mon sens n'est pas plus convetionné qu'un autre
Citation : Le probleme dans les mots c'est qu'ils ne sont pas forcément standards.
C'est pour ça que les définitions peuvent parfois aider, même si elles ont (par définition) quelque chose de réducteur... Et puis il ne faut pas confondre la notion de standard (habitude en usage dans une communauté) et de norme (définie par un organisme officiel, sans pour autant être utilisée).
Hors sujet : Standard est invariant en français, puisqu'il s'agit d'un anglicisme lui-même issu du français étendard. Pas plus de "s" à standard qu'il n'y en a "soli". Fin du hors sujet "culturel"...
Je vous rassure, je suis le premier à me trouver très pénible: mais j'y travaille, je ne fais même que ça...