Se connecter
Se connecter
Créer un compte

ou
Agrandir
Ajouter ce produit à
  • Mon ancien matos
  • Mon matos actuel
  • Mon futur matos
Yamaha n12
Photos
1/186

Test de la n12 de Yamaha

Test écrit
Console analonumérique ?

Yamaha tient depuis maintenant fort longtemps une place de leader dans le monde de la console numérique, notamment en live. C’est toutefois côté studio que Yamaha a choisi de relever un autre challenge avec la N8 et la N12 : la totale intégration entre une console numérique et un logiciel DAW, tout en conservant une utilisation de type 'console analogique'.

Yamaha tient depuis main­te­nant fort long­temps une place de leader dans le monde de la console numé­rique, notam­ment en live. C’est toute­fois côté studio que Yamaha a choisi de rele­ver un autre chal­lenge avec la N8 et la N12 : la totale inté­gra­tion entre une console numé­rique et un logi­ciel DAW, tout en conser­vant une utili­sa­tion de type 'console analo­gique’.
Vue frontale

Car, ne vous y trom­pez pas, sous ses airs de console clas­sique, sans écran rétro éclairé ni succes­sion de menus, sous-menus et sous-sous-menus, la N12 que nous testons aujour­d’hui est bien une console numé­rique ! Derrière ce choix ergo­no­mique, Yamaha souhaite rendre le work­flow entre l’ins­pi­ra­tion et l’en­re­gis­tre­ment le plus simple possible, tout en profi­tant de fonc­tion­na­li­tés rendues possibles unique­ment par le numé­rique dans une gamme de prix raison­nable.

Promesse tenue ? Voyons voir !

La N12 est tout d’abord de taille vrai­ment impo­sante pour une 8 voies. La fini­tion est excel­lente et la surface de travail large est très ergo­no­mique, si vous trou­vez la place pour l’ins­tal­ler. La belle possède 4 zones de travail distinctes : Les voies de la console propre­ment dites, une section bargraphe / auxi­liaires et gestion des casques, une section très complète de moni­to­ring et enfin l’in­ter­face de contrôle du logi­ciel DAW. Nous revien­drons en détail sur chacune de ces zones de travail.

Ce qui saute de prime abord aux yeux, c’est l’er­go­no­mie simple et effi­cace de la N12. On est bien dans une menta­lité 1 bouton = 1 fonc­tion. Pour les aller­giques des défi­le­ments de para­mètres comme moi, c’est un vrai plus ! Les contrôles sont clairs et expli­cites, et à part quelques fonc­tions néces­si­tant l’ou­ver­ture du manuel, la prise en main de la partie console propre­ment dite est immé­diate.

Les voies de la console

Vue de côté

La N12 possède 8 voies mono préam­pli­fiées et 2 voies stéréo. Les voies mono possèdent donc un préam­pli déve­loppé spéci­fique­ment par Yamaha pour cette série. À la diffé­rence des préam­plis équi­pant d’autres consoles de la marque, répu­tés neutres et chirur­gi­caux sur la 01V96 par exemple, ceux de la N12 ont été déve­lop­pés dans un esprit de carac­tère vintage grâce à une série de compo­sants custom, notam­ment les conden­sa­teurs. À l’usage ceux-ci se révèlent effec­ti­ve­ment d’un bon niveau, avec un bas assez présent et doux.

Chaque section de préam­pli­fi­ca­tion possède un Pad, un coupe-bas à 80hz et un switch d’in­ver­sion de phase. À noter que sur la tranche numéro 8, celui-ci est remplacé par un sélec­teur d’im­pé­dance « Hi-Z » qui vous permet­tra de bran­cher une guitare ou une basse dans la console sans passer par une boite de direct externe.

Côté connec­tique en face arrière, chaque voie mono possède une entrée XLR et une entrée au format jack symé­trique. Un insert est quant à lui présent sur toutes les voies. On notera en outre la présence de 2 switches permet­tant de choi­sir entre le signal analo­gique et le signal en prove­nance du DAW sur chacune des voies. C’est donc bien 8 signaux mono et 2 signaux stéréo en prove­nance d’un séquen­ceur logi­ciel qui peuvent être trai­tés par les tranches de la N12.

Yamaha a donc parti­cu­liè­re­ment soigné cette partie pream­pli­fi­ca­tion, et pour cause, puisque c’est la seule partie du signal qui soit analo­gique ! Dès la sortie du préam­pli, le signal est numé­risé, et les trai­te­ments ulté­rieurs sont donc complè­te­ment numé­riques.

Ça compresse

Potards

Dispo­nible sur les 8 voies mono, le premier de ces trai­te­ments est un compres­seur fonc­tion­nant de manière un peu ésoté­rique. Basé sur une tech­no­lo­gie bapti­sée ‘Sweet Spot Morphing’, ce compres­seur est basé sur des presets déve­lop­pés pour Yamaha par des ingé­nieurs du son et produc­teurs profes­sion­nels. 5 presets sont acces­sibles via le bouton ‘Mor­ph’, sachant que comme son nom l’in­dique il est possible d’avoir un effet de morphing entre 2 presets. Le bouton Drive quant à lui gère le niveau de compres­sion que l’on désire appliquer à la piste.

À l’usage, ce compres­seur est très simple d’ac­cès et sonne de manière tout à fait convain­cante tant qu’on ne le pousse pas dans ses retran­che­ments. Un bon outil anti prise de tête. Sachez aussi que de nombreux presets sont en prépa­ra­tion et seront télé­char­geables sur le site de Yamaha (www.yama­ha­synth.com) via le logi­ciel ‘Sweet Spot Data Mana­ger’.

Égali­sa­tion & réver­bé­ra­tion

L’éga­li­sa­tion est dispo­nible sur l’en­semble des 10 tranches de console. Elle est rela­ti­ve­ment clas­sique, et est compo­sée de réglages des hautes fréquences (+ ou – 18dB à 10kHz) et basses fréquences (+ ou – 18dB à 90Hz) en Shel­ving, complé­tés par un médium para­mé­trique (100Hz-10kHz). Cette égali­sa­tion se révèle très peu typée, mais effi­cace, permet­tant de travailler n’im­porte quelle source audio.

Le trai­te­ment entiè­re­ment numé­rique de l’au­dio de la N12 permet un ajout de taille à cette console : Une réverbe ! Et non des moindres puisqu’on retrouve 3 algo­rithmes (Room, Hall et Plate) ‘Rev-X’ dispo­nibles notam­ment sur le multief­fet SPX-200 de la marque. Ces algo­rithmes sont d’une grande qualité et j’avoue avoir craqué pour le mode ‘pla­te’ assez impa­rable sur une guitare. Un vrai bonus donc ! Cette réverbe est donc dispo­nible sur un ‘Aux’ interne de la console, un potard permet­tant d’en doser le niveau sur chaque tranche.

Auxi­liaires, Master et autres…

Juste­ment, il est à noter que chaque tranche possède un départ auxi­liaire permet­tant de diri­ger le signal vers des sorties dédiées, mais qu’au­cun retour physique n’est dispo­nible. En effet, ce départ auxi­liaire est pensé pour gérer un mix ‘musi­cien’ lors d’un enre­gis­tre­ment par exemple. Il faudra donc impé­ra­ti­ve­ment utili­ser une ou plusieurs tranches de la console comme retour si l’on souhaite utili­ser un effet en auxi­liaire. Notez aussi que le signal du talback inté­gré de la console passe par ces sorties auxi­liaires, et qu’il sera donc dans ce cas impos­sible de l’uti­li­ser en même temps qu’une réverbe par exemple, sinon votre voix se retrou­vera en façade ! Dommage ! Un ‘Aux’ supplé­men­taire n’au­rait pas été super­flu notam­ment en situa­tion live.
Vue arrière

La section master permet quant à elle, en plus de la gestion du niveau géné­ral, de gérer le routing des diffé­rents signaux, en prove­nance du DAW ou des entrées ‘2 track’ vers les sorties Aux, Control Room ou Stéréo. Il est à noter que tout comme les autres voies, la voie master est pour­vue d’un fader de 100mm non moto­risé, souple et précis.

La section de gestion des Aux et des sorties casques est à la fois clas­sique et complète. L’une des sorties repro­duit le mix de la sortie auxi­liaire (typique­ment pour le musi­cien en enre­gis­tre­ment) et l’autre repro­duit celui de la sortie Control Room (pour l’ingé son). Les bargraphes géné­raux quant à eux sont précis, au contraire de ceux dispo­nibles sur chaque voix et qui se résument à 4 diodes.

Passons ensuite à la section ‘Con­trol Room’ très complète sur la N12. La volume géné­ral de la control room est géré par un gros potard, et diffé­rents switches permettent de sélec­tion­ner les diffé­rentes paires de sorties (6 sur la N12) et la source des signaux à moni­to­rer, qu’elle soit issue de la console ou du logi­ciel DAW.

Cubase AI et la section DAW Remote control

Avant de passer à la descrip­tion de cette section, il convient de chan­ger d’uni­vers pour passer sur le PC ou le MAC qui sera le compa­gnon de votre N12. Fruit du rachat de Stein­berg par Yamaha, la conver­gence entre hard­ware et soft­ware est au cœur du système N12, et celle-ci est livrée avec une version spéciale de Cubase 4, nommée Cubase AI, dont je vais vous parler un peu plus en détail…
Faders

L’ins­tal­la­tion des drivers de la N12 sur mon PC s’est faite sans aucun souçi (atten­tion toute­fois au chip­set de votre carte Fire­wire – voir liste des compa­ti­bi­li­tés sur cette page). Il n’en est malheu­reu­se­ment pas de même pour Cubase AI, qui, s’il nous évite le sempi­ter­nel dongle USB, néces­site une procé­dure d’en­re­gis­tre­ment, longue, fasti­dieuse et requé­rant une connexion inter­net. Passé cette petite demi-heure de sueurs froides et de décon­nexions intem­pes­tives, Cubase consent enfin à démar­rer et la N12 est immé­dia­te­ment détec­tée.

Côté logi­ciel, Cubase AI possède très peu de limi­ta­tions par rapport à Cubase 4. Gageons que 48 pistes audio et 64 pistes MIDI sont suffi­santes pour 99% des utili­sa­teurs de la N12 ! Au premier abord, une limi­ta­tion des instru­ments VST appa­rait : En effet le stack de VSTi de Cubase AI ne contient que 2 slots. C’est un peu court ! Toute­fois, on s’aperçoit que ce problème est aisé­ment contour­nable grâce à l’une des nouvelles fonc­tion­na­li­tés de Cubase 4 : Les « pistes instru­ments ». Au nombre de 16, elles permettent d’as­so­cier direc­te­ment un VSTi à une piste, sans passer par le stack. Ces pistes ne sont toute­fois que mono-timbrales. Pour certains softs multi-timbraux tels que les batte­ries virtuelles, il faudra utili­ser le stack. En tous cas, c’est vrai­ment bien pour une version « Bundle » : on dispose d’un véri­table tout-en-un de qualité, là où d’autres construc­teurs proposent des versions d’es­sai ou bridées à outrance.

C’est donc lorsque Cubase et la N12 sont utili­sés de concert qu’on se rend parfai­te­ment compte de l’er­go­no­mie hard­ware / soft­ware du système, jugez plutôt des possi­bi­li­tés :

Vue d'ensemble

Tout d’abord, la section DAW Remote Control de la N12 permet de réali­ser 90 % des opéra­tions de tracking sur Cubase. Sélec­tion­ner les voies, les armer en enre­gis­tre­ment ou navi­guer dans le morceau, bref, toutes les commandes habi­tuelles de trans­port sont présentes, et effi­caces.

Les choses vont plus loin qu’un contrô­leur clas­sique lorsqu’on utilise les diffé­rents « Work Mode » propo­sés par la N12 : en ST Mix, les signaux en prove­nance de la N12 sont enre­gis­trés dans Cubase et ressortent en stéréo sur le Master et sur les diffé­rentes sorties Control Room de la console, de manière clas­sique.

En mode Hard­ware Mix, il devient possible de faire ressor­tir 10 pistes de Cubase sur chacune des 10 tranches de la console, pour mixer ‘dans la boite’. On peut ainsi profi­ter de l’er­go­no­mie d’une vraie console, tout en conser­vant sur la même surface les contrôles de trans­port de Cubase. À l’usage, c’est ce mode qui m’a le plus convaincu, bien qu’on se prenne à regret­ter que la N12 ne soit pas au moins une N16 (messieurs les Nippons, à vos crayons)

Mieux encore, que ce soit en situa­tion de tracking ou de mix, il est possible d’in­ter­ca­ler sur chaque tranche de la console les effets VST de Cubase, grâce au switch ‘Wet’ dédié. Dans ce cas bien sûr, on récu­père forcé­ment de la latence. Mais pour peu que l’on ait une confi­gu­ra­tion infor­ma­tique récente, celle-ci ne pose pas vrai­ment de problèmes. On profite donc de sa collec­tion de plug-ins au sein d’une confi­gu­ra­tion hard­ware.

Conclu­sion

C’est au final un presque sans-faute qu’ac­com­plit Yamaha avec la N12 ! D’une part, la partie préam­pli est plutôt réus­sie et donne du carac­tère à la bête, et d’autre part l’in­té­gra­tion avec Cubase est vrai­ment bien pensée, et surtout très ergo­no­mique. Une fois les contrôles sous la main, on se prend au jeu et on devient très effi­cace en un temps record. Au chapitre des légers regrets, on notera surtout un manque de voies, 12 étant un peu limite pour mixer ‘dans la boite’. Un véri­table Aux, ainsi qu’une entrée/sortie numé­rique auraient été des ajouts bien­ve­nus, mais il faut consta­ter que la N12 fait office d’in­ter­face MIDI grâce à un MIDI In et un MIDI out, ce qui contri­bue à en faire l’élé­ment central d’un Home Studio. À 1399 € TTC prix public avec une version à peine bridée de Cubase 4 (pour peu qu’on utilise peu ou pas de VST instru­ments), la N12 à donc plus d’un argu­ment pour que vous la mettiez dans votre liste de Noël.

[+] Qualité de fabri­ca­tion
[+] Qualité des préam­plis
[+] Inté­gra­tion avec Cubase
[+] Peu de limi­ta­tions en pistes audio de Cubase AI
[+] La gestion de diffé­rents work­flows de travail
[+] Moni­to­ring archi-complet
[+] Le prix du package !

[-] Pas de véri­table départ auxi­liaire
[-] Pas d’E/S numé­riques

[URL=http://www.yamaha-europe.com/yamaha_europe/france/service/030_support/91_Soft­ware/index.html]Lien vers un tuto­riel sur l’ins­tal­la­tion de Cubase 4 AI[/URL]
Points forts
  • Qualité de fabrication
  • Qualité des préamplis
  • Intégration avec Cubase
  • Peu de limitations en pistes audio de Cubase AI
  • La gestion de différents workflows de travail
  • Monitoring archi-complet
  • Le prix du package !
Points faibles
  • Pas de véritable départ auxiliaire
  • Pas d’E/S numériques
Soyez le premier à réagir à cet article

    Vous souhaitez réagir à cet article ?

    Se connecter
    Devenir membre
    cookies
    Nous utilisons les cookies !

    Oui, Audiofanzine utilise des cookies. Et comme la dernière chose que nous voudrions serait de perturber votre alimentation avec des choses trop grasses ou trop sucrées, sachez que ces derniers sont fait maison avec des produits frais, bio, équitables et dans des justes proportions nutritives.
    Ce que cela veut dire, c’est que les infos que nous y stockons ne visent qu’à simplifier votre usage du site comme à améliorer votre expérience sur nos pages et vous afficher des publicités personnalisées (en savoir plus).

    Nous tenons à préciser qu’Audiofanzine n’a pas attendu qu’une loi nous y oblige pour respecter la vie privée de nos membres et visiteurs. Les cookies que nous utilisons ont en commun leur unique objectif qui est d’améliorer votre expérience utilisateur.

    Tous nos cookies
    Cookies non soumis à consentement
    Il s'agit de cookies qui garantissent le bon fonctionnement du site Audiofanzine. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies. Exemples : cookies vous permettant de rester connecté de page en page ou de personnaliser votre utilisation du site (mode sombre ou filtres).
    Analyse de l’audience (Google Analytics)
    Nous utilisons Google Analytics afin de mieux comprendre l’utilisation que nos visiteurs font de notre site pour tenter de l’améliorer.
    Publicités (Google Ads)
    Ces informations nous permettent de vous afficher des publicités qui vous concernent grâce auxquelles Audiofanzine est financé. En décochant cette case vous aurez toujours des publicités mais elles risquent d’être moins intéressantes :) Nous utilisons Google Ad Manager pour diffuser une partie des publicités, des mécanismes intégrés à notre CMS pour le reste. Nous sommes susceptibles d’afficher des publicités provenant de notre propre plateforme, de Google Advertising Products ou encore de la régie Adform.
    Marketing (Meta Pixel)

    Sur nos sites web, nous utilisons le Meta Pixel. Le Meta Pixel est un pixel de remarketing mis en œuvre sur nos sites web qui nous permet de vous cibler directement via le Meta Network en diffusant des publicités aux visiteurs de nos sites web lorsqu’ils visitent les réseaux sociaux Facebook et Instagram. Les métapixels sont des extraits de code capables d’identifier votre type de navigateur via l’ID du navigateur - l’empreinte digitale individuelle de votre navigateur - et de reconnaître que vous avez visité nos sites web et ce que vous avez regardé exactement sur nos sites web. Lorsque vous visitez nos sites web, le pixel établit une connexion directe avec les serveurs de Meta. Meta est en mesure de vous identifier grâce à l’identifiant de votre navigateur, car celui-ci est lié à d’autres données vous concernant stockées par Meta sur votre compte d’utilisateur Facebook ou Instagram. Meta diffuse ensuite des publicités individualisées de notre part sur Facebook ou sur Instagram qui sont adaptées à vos besoins.

    Nous ne sommes nous-mêmes pas en mesure de vous identifier personnellement via le pixel meta, car à part l’ID de votre navigateur, aucune autre donnée n’est stockée chez nous via le pixel.

    Pour plus d’informations sur le Meta Pixel, les détails du traitement des données via ce service et la politique de confidentialité de Meta, veuillez consulter le site suivant Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Facebook et Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Instagram.

    Meta Platforms Ireland Ltd. est une filiale de Meta Platforms, Inc. basée aux États-Unis. Il n’est pas exclu que vos données collectées par Facebook soient également transmises aux États-Unis.


    Nous tenons à préciser qu’Audiofanzine n’a pas attendu qu’une loi nous y oblige pour respecter la vie privée de nos membres et visiteurs. Les cookies que nous utilisons ont en commun leur unique objectif qui est d’améliorer votre expérience utilisateur.

    Tous nos cookies
    Cookies non soumis à consentement

    Il s’agit de cookies qui garantissent le bon fonctionnement du site Audiofanzine. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies. Exemples : cookies vous permettant de rester connecté de page en page ou de personnaliser votre utilisation du site (mode sombre ou filtres).

    Analyse de l’audience (Google Analytics)

    Nous utilisons Google Analytics afin de mieux comprendre l’utilisation que nos visiteurs font de notre site pour tenter de l’améliorer. Lorsque ce paramètre est activé, aucune information personnelle n’est envoyé à Google et les adresses IP sont anonymisées.

    Publicités (Google Ads)

    Ces informations nous permettent de vous afficher des publicités qui vous concernent grâce auxquelles Audiofanzine est financé. En décochant cette case vous aurez toujours des publicités mais elles risquent d’être moins intéressantes :) Nous utilisons Google Ad Manager pour diffuser une partie des publicités, des mécanismes intégrés à notre CMS pour le reste. Nous sommes susceptibles d’afficher des publicités provenant de notre propre plateforme, de Google Advertising Products ou encore de la régie Adform.

    Marketing (Meta Pixel)

    Sur nos sites web, nous utilisons le Meta Pixel. Le Meta Pixel est un pixel de remarketing mis en œuvre sur nos sites web qui nous permet de vous cibler directement via le Meta Network en diffusant des publicités aux visiteurs de nos sites web lorsqu’ils visitent les réseaux sociaux Facebook et Instagram. Les métapixels sont des extraits de code capables d’identifier votre type de navigateur via l’ID du navigateur - l’empreinte digitale individuelle de votre navigateur - et de reconnaître que vous avez visité nos sites web et ce que vous avez regardé exactement sur nos sites web. Lorsque vous visitez nos sites web, le pixel établit une connexion directe avec les serveurs de Meta. Meta est en mesure de vous identifier grâce à l’identifiant de votre navigateur, car celui-ci est lié à d’autres données vous concernant stockées par Meta sur votre compte d’utilisateur Facebook ou Instagram. Meta diffuse ensuite des publicités individualisées de notre part sur Facebook ou sur Instagram qui sont adaptées à vos besoins.

    Nous ne sommes nous-mêmes pas en mesure de vous identifier personnellement via le pixel meta, car à part l’ID de votre navigateur, aucune autre donnée n’est stockée chez nous via le pixel.

    Pour plus d’informations sur le Meta Pixel, les détails du traitement des données via ce service et la politique de confidentialité de Meta, veuillez consulter le site suivant Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Facebook et Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Instagram

    Meta Platforms Ireland Ltd. est une filiale de Meta Platforms, Inc. basée aux États-Unis. Il n’est pas exclu que vos données collectées par Facebook soient également transmises aux États-Unis.


    Vous pouvez trouver plus de détails sur la proctection des données dans la politique de confidentialité.
    Vous trouverez également des informations sur la manière dont Google utilise les données à caractère personnel en suivant ce lien.