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Native Instruments Reaktor 5
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Native Instruments Reaktor 5

Pourquoi si peu de question?

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Sujet de la discussion Pourquoi si peu de question?
Non pas que je m'ennuie mais je dois avouer qu'il y a un truc qui me fascine.
je suis aussissur le forum ableton live, soft excessivement simple d'acces, tres tres intuitif, et dont le manuel ne sers presque a rien.

ma question est pourquoi je vois tout les jours des tonnes de questions sur la mailing, a propos d'ableton, alors que pour un soft assz complexe comme reaktor il n'y a finalement que tres peu de questions posée?

plus le soft est complexe plus les gens reflechissent et finalement trouvent des solutions eux meme? plus c compliqué et donc moin de monde l'utilise?
personne ne veux partager ses truc? les utilisateurs de live sont il bete? (moi compris donc...)

ce qui est drole c'est que fruity qui est quand meme moin intuitif que live a aussis que tres peu de questions posée finalement! je me demande si parce que le soft est un tant sois peu complexe, les gens qui l'utilisent prenne plus de temps pour le "controler", on-t-il plus d'envie d'apprendre alors que les liveux veulent d'abord faire de la zique sans se prendre la tete( attention pas un mauvaise critique ici!)
abletoon est-il tellement plus connu que reaktor chez les maoistes! un peu oui je pense mais ptetre pas a ce point la!

eclairez ma lanterne et liberez moi une fois pour toute de ces question hautement philosophique qui ne me font pas forcement fais de la meilleur zique :lol:
Il faut se forcer à se contredire pour éviter de se conformer à son propre goût "Marcel Duchamp" - ma vie modulaire
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Citation : le z3ta est un sacré monstre mais je ne vois pas le rapport avec absynth a pas ptetre la couleur


C'est pour le côté sons très typés. Une forte identitée sonore, quoi.
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Hors sujet : Désolé. Comme les posts sont chargés, je zappe des trucs dans mes réponses, d'où ces multiples messages


Citation : Mais on pourrait epiloguer sur ton objectivité a ce niveau (pas sur ton test, mais sur le fait que tu as fait un test pour ce soft.


C'est une question qui mérite réponse.

Nous somme tous plus ou moins attachés à des marques. Pour, entre autres, les raisons que tu donnais, notamment historiques. Ainsi, quand je me suis remis à la MAO en 94, j'ai testé différents softs dont Logic (auquel j'ai alors rien compris), Cubase dont j'avais connu l'ancêtre Pro 24 sur Atari et Cakewalk audio Pro (version 6 je crois)

A l'époque, la version de Cubase était la VST 5, je crois. Même les Cubasiens les plus acharnés s'entendent pour dire que c'était une merde inommable au niveau stabilité. J'ai laissé tomber. N'ayant alors que quelques heures par semaines pour pratiquer, je ne pouvais pas perdre un tel temps en plantages.
Je ne connaissais absolument pas Cakewalk, fut-ce de nom. Pourtant, c'est celui-ci qui m'a convenu. Simple, ergonomique, stable et répondant parfaitement à mes besoins de l'époque.

Je suis donc parti sur Cakewalk Audio Pro (qui est plus tard devenu Sonar) que je n'ai plus quitté. J'ai bien fait quelques tentatives de retour à Cubase qui avait l'avantage des VST, mais j'ai vite laissé tomber. Quand on est habitué à un logiciel, on perd beaucoup de temps en passant sur un autre et je n'ai jamais été fan de l'interface de Cubase.
Aukourd'huio encore, lorsqu'il m'arrive de devoir travailler sous Cubase, je peste toutes les 5 mn même si (par habitude de toucher à beaucoup de choses), je n'ai plus les difficultés que j'ai eu dans le passé. Alors que sous Sonar, je me régale (même s'il n'est évidemment pas exempt de défauts).

Revenons au test de Rapture.
En tant que journaliste testeur, je reçois parfois des version NFR (not for resale : des licences destinées essentiellement à la presse). Cakewalk m'a donc envoyé un Rapture en me demandant si je pouvais faire un article dessus. J'ai demandé au rédac-chef et voilà. Pas plus compliqué que ça.
Mais ça aurait été un soft de chez Steinberg, Arturia (dont je ne connais pas les produits) ou Tartempion que ça aurait été pareil. J'aurai fait le test avec (je l'espère) la même rigueur et la même objectivité.
D'ailleurs, quand j'ai fait le test de Reaktor 5, j'en ai chié pendant un mois, sur le bousin qui se laissait pas apprivoiser facilement. Mais il n'est pas question de tester un logiciel en le survollant, n'est-ce pas ? En tous cas, pas dans ma conception.

Je dois dire qu'au début, j'étais peu enthousiasmé par Rapture. L'interface me semblait sombre et rappellait tellement celle de Dimension Pro par certains aspects que je me suis demandé si ça n'en était pas +/- un vague clone. C'est en lisant la doc et bossant sur le soft (effectivement) que je me suis rendu compte du monstre que j'avais sous la main. Voilà.

J'avoue en toute honnêteté que vu les relations plutôt sympa que j'ai avec Cakewalk et leurs représentants européens, je serai bien emmerdé le jour éventuel où un de leurs produits que j'aurai à tester s'avérerait foireux. Mais ça ne m'empêcherait pas de dire clairement que c'est foireux.

J'ai tourné le dos au métier de journaliste que je voulais faire parce sa pratique (du moins en France) me faisait gerber. C'est pas pour reproduire les mêmes travers aujourd'hui en écrivant pour AF !
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Citation : J'ai tourné le dos au métier de journaliste que je voulais faire parce sa pratique (du moins en France) me faisait gerber.



Will, je suppose que tu parles du journalisme musical car perso, en tant que journaliste, là où je travaille en tant que chef d'agence généraliste, avec un bureau à 30m de la mer, je me sens bien et je suis libre (dans les contraintes horaires d'un quotidien régional), et ce métier ne me fait pas gerber. Bien au contraire. Et en plus, il me permet d'écrire sur la musique quand je veux, et surtout d'avoir les moyens de pouvoir me payer mon matériel.
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Hors sujet : après une petite lecture j'ai envie de demander : pourquoi autant de réponses :mdr: :mdr: :mdr:

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:ptdr:

Hors sujet : deb76 : je ne mets pas tous les journalistes dans le même panier, hein. Il y plein de gens très bien, qui font bien leur taff, et tout.

Moi, je voulais travailler dans le journalisme politique. J'étais parti pour un cursus classique : hypokhâgne, sciences po, ESJ ou un équivalent.
J'avais commencé à pratiquer, déjà. Evidemment, au collège et au lycée, j'avais participé aux bulletins internes, à la radio interne du lycée, etc.
J'ai même collaboré à une radio locale associative (c'était l'époque ou NRJ avait pas tout racketé, euh, pardon, racheté).
Jusque là, pas trop trop de problème, bien que dans le cadre du lycée, j'ai commencé à expérimenté les pressions des donneurs d'ordres et financiers : en gros, la censure par les instances dirigeantes du lycée : "On sait bien que Mme Untel est maniaco-dépressive. Oui tout le monde le sait, mais vous ne pouvez l'écrire."

Puis, j'ai commencé à collaborer comme local pour des équipes de reportage parisiennes : aide aux repérages, guide, toussa. J'ai alors commencé à voir leurs : méthodes de travail. C'était pas "on vient sur place, on enquête (au moins un minimum) et on tourne en fonction de ce qu'à donné l'enquête". C'était "on vient sur place avec notre idée des faits, on tourne pour l'illustrer, quitte à susciter les scènes dont on a besoin, même si ça n'a rien à voir avec la réalité."
Quand tu as une vision peut-être idéaliste du journalisme, ça calme !
Et il s'agissait de grandes agences de presse nationales (voir internationales). Là, tu commences à te poser des questions.

Puis j'ai eu l'occasion de voir comment bossaient les correspondants des canards locaux. Pas génial non plus. Bon, certes, c'est pas le haut de panier de la profession.

Puis j'ai rencontré des gens qui étaient à l'ESJ. Ils m'ont raconté leur formation. Certains étaient déjà dégoutés avant de commencer le boulot. D'autres s'en foutaient. Le journalisme, pour eux, c'était être dans un milieu, un sérail, et faire de l'infotainment. Pas diffuser l'Information au grand public.

Avec tout ça, j'ai vite été dégouté. Tout en ne doutant pas qu'il y avait certainement des domaines où l'on pouvait pratiquer honnêtement son travail. Mais je ne me suis pas senti le courage d'aller nager avec les requins en attendant de trouver un ilot accueillant.



Sinon, j'ai pas réagit à l'Ems Avs que je ne connais pas. Mais connaissant ce que tu fais (allez écouter, ceux qu'il ne l'ont pas fait), clair que ça doit sonner, si tu le dis ;)
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Pour en revenir a reaktor.... ^^

Je pense que les questions se font moins nombreuses parce que les utilisateurs de ce soft sont moins novices que ceux de Live ( par exemple )...

Concernant NI j'ai commencé à m'y interesser car je viens de finir de rembourser mon pret sequenceur / surface de controle / monitorings et je cherche maintenant un bundle de plug pour attaquer serieusement la composition...

Evidemment la sortie de komplete 4 me fait saliver, surtout si on rajoute Kore...

Sampleurs, synthés et lecteurs d'echantillon top niveau ca fait envie !

Tout ca pour dire que Native a une gamme tres complete, et que je pense que Reaktor est un peu la rolls...

Perso si jachete un produit comme Komplete, je sais que je vais me faire la main sur absynth, massive et autres FM8 pour decouvrir un peu les différentes sortes de synthèse et l'envirronement NI avant de me jeter sur reaktor... ;)