réactions à la news Fender, Roland et Yamaha se font taper sur les doigts

7 milliards d'humains sur terre c'est extrêmement polluant. Je ne vois pas comment ça pourrait ne pas l'être quand les choses les plus basiques comme se nourrir, se déplacer et travailler pour survivre ont forcément un impact sur la planète. Et d'impact à pollution il n'y a qu'un pas, en fait pour moi c'est la même chose.

C'est effectivement la même chose, c'est une question d'échelle de lecture et de degrés... Comme le poison.
On peut toujours faire plus, même quand on fait déjà beaucoup plus que la plupart des personnes qui disent s'inquiéter de l'écologie, là aussi question d'échelle de lecture, de degrés d'investissement, de moyens aussi (surtout logistiques), etc...

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Moi je suis profondément pessimiste, fataliste, et bien avant le rapport du GESC ou les complaintes de Greta. Bien-sûr ce n'est pas pour me dédouaner, je fais toujours à mon niveau ce qui me semble à ma portée pour éviter les choses les plus aberrantes de notre société, mais honnêtement je n'y crois pas, c'est sans espoir. J'essaie d'avoir un comportement repsonsable (tout est relatif je ne suis pas meilleur que le citoyen lambda) mais c'est avant tout par principe et par éducation, on m'a élevé avec le sens des responsabilités et donc la volonté de ne pas faire n'importe-quoi, d'avoir un minimum de savoir-vivre et de respect envers les gens et les choses et par extension logique la planète. Ça a toujours été naturel chez moi (encore une fois je ne suis pas parfait et comme tout un chacun je suis un pollueur) mais ça reste uniquement du réflexe et de l'habitude (et bien-sûr ce que je considère comme être un comportement responsable) par-contre sauver la planète pour moi c'est utopique. La science-fiction c'est pas un monde tout pourri, dégueulasse, toxique et stérile, non la science-fiction c'est un monde propre qu'on aurait nettoyé et assaini.
Désolé pour ce défaitisme (je n'ai jamais eu foi en l'humanité, je suis un misanthrope blasé).

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J'ai été comme toi, longtemps même, et plus fataliste encore, mais une porte d'entrée militante m'a fait changer mon suicide d'épaule

C'est pas que la déprime me déprime hein, mais c'est long comme courte parenthèse...