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Native Instruments Rise & Hit
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Native Instruments Rise & Hit
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Commentaires sur le test : Entrez dans le Who’s Woooosh

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Sujet de la discussion Commentaires sur le test : Entrez dans le Who’s Woooosh
Entrez dans le Who’s Woooosh
Nouveau produit de Native Instruments, Rise & Hit est spécialisé dans les transitions et ponctuations dont raffolent les producteurs de l’audiovisuel. En quoi cette bibliothèque répond-elle au cahier des charges ?

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Ok, sauf que si tu vas par là, tout instrument a ses limites, qu'il soit réel ou virtuel. Ton raisonnement vaut donc pour tous les "outils". Et par ailleurs, Omnisphère est infiniment plus riche en timbre qu'un clavecin. Evidemment, la perception acoustique du claveciniste en train de jouer est inégalable, mais dès qu'on l'enregistre, ou qu'on le sonorise, le virtuel n'a pas grand chose à lui envier, bien au contraire. Et comme la plupart des gens ne jouent pas de clavecin mais l'entendent (éventuellement) sonorisé ou enregistré, la question du "pouet pouet" lui revient à lui aussi. Si tu écoutes ces instruments virtuels avec une excellente chaîne audio et en sachant les trifouiller et les jouer avec les contrôleurs adaptés, ta perception changera, peut-être.
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scotty as tu deja utilise de la synthese modulaire analogique ou un synthe analogique ? ainsi pour rester sur une comparaison hard/ virtuel avec le rise, notamment sur la reactivite des commandes, je ne ferai pas encore etat du relief sonore.
pour revenir sur ce que tu dis sur la prise de son, qui n'a rien a envier sur le virtuel, faudrais quand meme developper un peu plus s'il te plait, car la, je n'ai effectivement pas compris ou tu voulais en venir.
cela pourrais devenir un terrain sensible.

[ Dernière édition du message le 08/05/2014 à 13:08:42 ]

33
Citation :
[...] dans des délais courts et pour des productions à petits budgets (passer du temps sur un son, ça coûte, enfin, normalement...), la bibliothèque sera l’outil idéal [...]
Je pense que les bandes sons des "productions à petits budgets" ne seront pas les seules bénéficiaires de cette banque. Même les grosses productions ont des contraintes de temps très serrées. Il est (souvent) plus rapide d'adapter un son qui remplit la plupart des caractéristiques attendues que d'en imaginer et enregistrer un nouveau.

Citation :
surtout qu'on doit souvent caler le son pour qu'il commence a tel endroit et finisse à tel autre. Tout ça prends pas mal de temps alors que là c'est fait en un rien de temps!

Citation :
certains compositeurs de musiques electroniques, a force de bosser avec des banques toutes faites,
n'ont plus d'interets d'en faire. il en va de son ego d'artiste de creer ses sources et renforcer l'envie de les faire ecouter

Citation :
a vouloir tout controler et d'avoir un resultat immediat sans effort de pratique.

Citation :
omnisphere ou rise hit meme combat, pour faire de la maquette je veux bien,
mais pour du produit fini. ca ne me semble pas sonner aboutit.

Citation :
on puise et on finalise dans la banque, l'inspiration, sans se rendre compte qu'elle a ses limites evidentes.
Citation :
Omnisphère "pouet pouet" ? Si tu ne supportes pas les sons non-naturels, c'est une chose, mais Omnisphère est brillant en terme de textures, et génial comme la plupart de ce qu'à produit Eric Persing. Et ce plug de Native me semble également brillant. Parce qu'il sonne et qu'il permet des éditions subtiles et infinies qui, pour le coup, ne sont pas évidentes. Par ailleurs, un son est rarement inintéressant. C'est ce que tu en fais qui compte. Si évidemment tu ne modifies pas les pré-sélections et les intègre directement, tu passes à côté de beaucoup de choses.

Citation :
Or les banques et ce genre d'outil sont une bonne aide pour woosher et impacter rapidement. Ça n'empêche pas d'utiliser d'autres sources (enregistrements persos...) pour compléter et de travailler ces matières avec soin.

Citation :
Il y a tellement de moyens de créer des sons de types sound design, c´est la manière à privilégier, même pour les musiciens purs. Et pourquoi pas, agrémenter ses sons avec une bibliothèque de ce type. Je déplore aussi l´uniformisation à tout va, qui pourrait devenir une vraie plaie dans le domaine de l´audio... Je trouve par ailleurs que ces types d´effets sont beaucoup trop utilisés dans les productions modernes.

Citation :
faire sonner un instrument virtuel est une chose, ca peu prendre du temps, mais je prefere prendre du temps, des micros et des objets, trouver une base et par la suite effectuer du renfort de differentes manieres.
je prefere m'eclater plus a ecouter les intruments quand on les touche, que quand,
on les regarde sur un ecran, a force, on ne prend plus le temps de s'interroger sur l'origine.
c'est mon choix. D'autre part je critique l'outil et ses limites d'exploitations qui restreint de par la meme la creativite de son utilisateur

[ Dernière édition du message le 10/09/2014 à 08:45:27 ]

34
C' est vrai que les effets communs à Rise and Hits et autres logiciels parsèment les productions cinématographiques et télévisuelles actuelles. Mais il s' agit d' une mode qui, comme toutes, finira par passer. Dans les années 70, les grooves de blaxploitation et sections de brass funky envahissaient les écrans, pendant au moins une décennie. Plus tard, les arpeggiateurs des synthétiseurs et leurs effets spécifiques prenaient le pas. On se souvient également du fameux son de piano M1 de Korg, présent sur moult titres de Dance sitôt sa sortie, façonnant un style, à l' instar de Robin s, qui démocratisa l' orgue de jazz dans le genre. Il est à noter, que chaque recette, innovation popularisée, provoque un engouement commercial.
Mais conjointement aux idées, le développement technologique permet aussi l' évolution musicale, par de nouvelles manières de procéder.

En général, un musicien aime à montrer sa personnalité, ce qu' il sait faire, avoir une griffe à son nom, comme un coup de patte magique laissant une emprunte. A ce titre, un gros synthé d' explorations sonores comme Omnisphere, puissant, demande que l' on s' y attarde. Il octroie bien des manipulations, permettant de ne pas sonner comme le voisin, de sortir du lot, à condition, de ne rester à l' orée des choses. En sound design, les plugins cités (pratiques mais dont l' utilisation peut être détournée de leur fonction première) peuvent être considérer au coeur d' un système plus large. Par exemple, rien n' empêche, pour affiner sa sonorité et éviter les presets, d' enregistrer sa propre guitare, de la doubler en sous mix avec un instrument virtuel du même type, préalablement travaillé via le logiciel, puis de sampler le tout dans une Machinedrum Uw pour tirer avantage de son grain particulier, et de ses effets; en quête d' originalité, pourquoi ne pas jumeler un woosh-boom de Native avec le "bruit" d' un micro dynamique frappé dans la paume de la main, d' y ajouter une reverb, de pitcher avec un S3000, d' inverser la lecture... On ne sait jamais ce que cela peut donner, l' important étant de trouver une méthode plaisante, propre à chacun, rompant avec la monotonie, en combinant workflow et efficacité créatrice. Car dans un milieu audio visuel où tout le monde est pressé, les contraintes de temps sont en effet légion et on ne s' y lance pas comme compositeur sans un travail important réalisé en amont, une préparation à la hauteur, ou une bonne connaissance de son environnement.

Nous évoluons au sein d' une époque formidable pour fabriquer de la musique, bénéficiant des outils les plus modernes, où toute nouveauté se veut une opportunité promouvant de nouvelles bases de recherche. Par ailleurs, aucun produit passé n 'est laissé au placard, pas plus que les solutions d' enregistrement, sachant qu' hardware, software et acoustique, se combinent à souhait.

Faire du son à l' image signifie flexibilité en relation avec un réalisateur et les désidératas que son projet impose, mais pas absence de liberté. Loin d' être un ordi, le réalisateur représente un auditeur qui considère la bande originale comme un exhausteur de goût au service de son oeuvre. Le musicien est choisi pour sa valeur ajoutée et son savoir-faire. Son rôle est de surprendre, de toucher par la foi en son attractive composition. Tout n' est pain perdu.

[ Dernière édition du message le 13/09/2014 à 19:56:22 ]

35
Citation :
il ne me semble pas que les sampleurs soient equipés a la base de sons, mais qu'il faut se sortir les doigts pour les faire, et les mettre dedans.

A la luscus

Lui, il va carrément à la casse.

[ Dernière édition du message le 14/09/2014 à 00:16:05 ]

36
Vidéo géniale, merci.
Au passage, une petite erreur de sous-titrage qui change le sens du propos à 6:00:
"dans le rock, il y a eu de grandes chansons avec une bonne musique et un mauvais texte, mais jamais l'inverse."

[ Dernière édition du message le 12/09/2014 à 22:56:58 ]

37
A regarder. C' est le making of de pouet-pouet.
38
spectrasonics a fait et fait beaucoup pour le sound design, pour ceux qui trouve ca encore un peu figé et qui souhaite allez plus loin, je leur conseil d'ecouter les precurseurs, avec entre autre les young gods et einsturzende neubauten dont voici un extrait https://www.youtube.com/watch?v=JZ4Q9_bDwLY

et il y a notamment un concert des suisses au paleo festival 2001 sur le tube.
et si vous chercher vous trouverez encore d'autres pepites
39
Je suis sûr que cet article concernant l' évolution de la musique de film va vous intéresser.
https://callcine.wordpress.com/2014/11/26/dossier-hans-zimmer/