Potar?
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Anonyme
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Greem Grim
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Je voudrai revenir sur la technologie des potentiomètres voila il y a log et linéaire mais j'ai lu log pour volume mais sur thomann log => tone c'est qui qui a raison????? 
Greem Grim
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Greem Grim
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Anonyme
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Pour le choix des tiges longues/courtes: c'est purement de la mécanique, les fabricants ne pouvant pas fabriquer de potards pour chaque cas de figure, ils les livrent avec du rab (4 ou 5 cm), qu'il faut ensuite retailler à la mimine. Un potard à tige longue a donc toujours une tige pleine, tandis que les tiges courtes ou moyennes (taillées pour une situation donnée) sont le plus souvent fendues de façon à donner un effet "ressort", souvent indispensables si on utilise des boutons de potards sans dispositif de serrage ou de blocage. Inversement, avec des boutons à serrage latéral, les tiges fendues sont déconseillées. Avec des boutons à serrage concentrique, on met ce qu'on veut.
Pour les valeurs: les montages d'un potard de volume et d'un potard de tonalité n'ont rien à voir.
Le potard de volume est monté en "montage potentiométrique". C'est donc un cas de figure où le potard présente une impédance d'entrée fixe (sa valeur complète, en parallèle des micros) et une impédance de sortie variable (qui dépend du réglage, entre 0 et R). Combiné avec les micros, le tout possède une impédance de sortie, qui varie de 0 (potard à 0), et Zmax.
On peut appeler Zpu l'impédance du micro (qui dépend de la fréquence) et Rpot la valeur du potard (qui est indépendante de la fréquence). Zmax est donnée, en première approche, par la formule des impédances en parallèle:
ZMax = Zpu * Rpot/(Zpu+Rpot)
Comme Zpu dépend de la fréquence, ZMax aussi. Pour ne pas perturber la réponse en fréquence du micro, on doit donc prendre Rpot le plus grand possible. Si on fait tendre Rpot vers l'infini, on trouve bien Zmax qui tend vers Zpu. Un potard de forte valeur ne gêne donc pas, mais une valeur trop faible va modifier le son en modifiant la façon dont ZMax varie avec la fréquence.
Le potard de tonalité, lui, est monté en résistance variable combinée avec un condo, le tout mis à la masse depuis le point chaud. On a donc intérêt à prendre une valeur forte pour que cette résistance variable soit vue comme une résistance infinie lorsque la tonalité est à fond (comme si il n'y a avait pas de potard, en fait). Grand, pour une valeur de potard, c'est entre 500k et 1M. On n'aime pas trop utiliser des résistances ou des potards de très forte valeur (2M, 5M, 10M, etc...)
Pour que cette valeur du potard de tonalité puisse être considérée comme grande, il faut bien sûr que la valeur du potard de volume ne le soit pas encore plus.
Donc ce qui limite la valeur du potard de volume, c'est en pratique la valeur du potard de tonalité (sinon, on prendrait toujours 1M pour les deux). Si on veut que les deux réglages agissent de façon correcte, il faut respecter un équilibre.
En pratique, il y a donc une valeur mini pour le potard de volume (qui est un log, bien sûr, because réponse de l'oreille): 250k est un mini, 500k c'est mieux. Le potard de tonalité est choisi au moins égal à la valeur du potard de volume. Dit autrement, on a aussi une valeur maxi pour le potard de volume: celle du potard de tonalité.
Avec une config simple genre Fender, 500k pour les deux, ou 250k pour les deux, bref tout est possible sans problème pourvu qu'on soit au moins au dessus de l'impédance des micros.
Pour les configs genre Gibson, où les deux séries de potards peuvent se trouver en interaction, on doit éviter les valeurs "faibles" genre 250k: 500k partout, c'est mieux.
Sur un cas simple: deux micros avec chacun un potard de volume. Si les deux potards font 250k, on se retrouve avec une valeur équivalente de 125k, ce qui est insuffisant par rapport aux micros.
C'est renforcé par le fait que l'impédance de sortie des humbuckers est en principe supérieure à celle des simples bobinages. Et comme Gibson, c'est le plus souvent du HB, c'est également souvent du 500k.
Le mieux, c'est encore pas de potard du tout: il y a assez de réglages comme ça dans l'ampli
Bon, je suis pas sûr d'avoir été clair, mais sinon, tout est dans la loi d'ohm et dans l'étude des quadripôles: faites un tour sur Wikipedia, vous saurez tout !
Pour les valeurs: les montages d'un potard de volume et d'un potard de tonalité n'ont rien à voir.
Le potard de volume est monté en "montage potentiométrique". C'est donc un cas de figure où le potard présente une impédance d'entrée fixe (sa valeur complète, en parallèle des micros) et une impédance de sortie variable (qui dépend du réglage, entre 0 et R). Combiné avec les micros, le tout possède une impédance de sortie, qui varie de 0 (potard à 0), et Zmax.
On peut appeler Zpu l'impédance du micro (qui dépend de la fréquence) et Rpot la valeur du potard (qui est indépendante de la fréquence). Zmax est donnée, en première approche, par la formule des impédances en parallèle:
ZMax = Zpu * Rpot/(Zpu+Rpot)
Comme Zpu dépend de la fréquence, ZMax aussi. Pour ne pas perturber la réponse en fréquence du micro, on doit donc prendre Rpot le plus grand possible. Si on fait tendre Rpot vers l'infini, on trouve bien Zmax qui tend vers Zpu. Un potard de forte valeur ne gêne donc pas, mais une valeur trop faible va modifier le son en modifiant la façon dont ZMax varie avec la fréquence.
Le potard de tonalité, lui, est monté en résistance variable combinée avec un condo, le tout mis à la masse depuis le point chaud. On a donc intérêt à prendre une valeur forte pour que cette résistance variable soit vue comme une résistance infinie lorsque la tonalité est à fond (comme si il n'y a avait pas de potard, en fait). Grand, pour une valeur de potard, c'est entre 500k et 1M. On n'aime pas trop utiliser des résistances ou des potards de très forte valeur (2M, 5M, 10M, etc...)
Pour que cette valeur du potard de tonalité puisse être considérée comme grande, il faut bien sûr que la valeur du potard de volume ne le soit pas encore plus.
Donc ce qui limite la valeur du potard de volume, c'est en pratique la valeur du potard de tonalité (sinon, on prendrait toujours 1M pour les deux). Si on veut que les deux réglages agissent de façon correcte, il faut respecter un équilibre.
En pratique, il y a donc une valeur mini pour le potard de volume (qui est un log, bien sûr, because réponse de l'oreille): 250k est un mini, 500k c'est mieux. Le potard de tonalité est choisi au moins égal à la valeur du potard de volume. Dit autrement, on a aussi une valeur maxi pour le potard de volume: celle du potard de tonalité.
Avec une config simple genre Fender, 500k pour les deux, ou 250k pour les deux, bref tout est possible sans problème pourvu qu'on soit au moins au dessus de l'impédance des micros.
Pour les configs genre Gibson, où les deux séries de potards peuvent se trouver en interaction, on doit éviter les valeurs "faibles" genre 250k: 500k partout, c'est mieux.
Sur un cas simple: deux micros avec chacun un potard de volume. Si les deux potards font 250k, on se retrouve avec une valeur équivalente de 125k, ce qui est insuffisant par rapport aux micros.
C'est renforcé par le fait que l'impédance de sortie des humbuckers est en principe supérieure à celle des simples bobinages. Et comme Gibson, c'est le plus souvent du HB, c'est également souvent du 500k.
Le mieux, c'est encore pas de potard du tout: il y a assez de réglages comme ça dans l'ampli
Bon, je suis pas sûr d'avoir été clair, mais sinon, tout est dans la loi d'ohm et dans l'étude des quadripôles: faites un tour sur Wikipedia, vous saurez tout !
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