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réactions au dossier Petit point sur les ventes d’instruments en France

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Sujet de la discussion Petit point sur les ventes d’instruments en France
Dossier sur le marché de la facture instrumentale en France : les acheteurs et vendeurs d'instruments de musique
Les résultats d’une étude portant sur le marché français des instruments viennent d’être publiés. Nous vous proposons un résumé des éléments principaux mis en exergue par l’étude.

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Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
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Hors sujet :
Citation :
Kosmix :C'est quoi la musique ?


La musique, c'est ça :
https://fr.audiofanzine.com/le-pub-des-gentlemen/forums/t.654137,mythes-et-flops-de-l-electro-dance-ou-le-meilleur-du-pire-des-chansons-electroniques-a-danser.html

:-D:-D:-D

Bientôt la deuxième manche de "Mythes et Flops" pour les mélomanes débutants ou confirmés...:bravo:

"Je voudrais connaître la musique dont la queue de mon chien bat la mesure"

Mes oreilles préfèrent une bonne musique mal enregistrée qu'une mauvaise musique bien enregistrée.

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Un grand merci perigo, je ne connaissais pas ce thread. Je crois que j'ai des heures de rigolade à passer :-D
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Citation :
On n'ira pas concurrencer sur l'entrée ou le milieu de gamme des production à bas coûts notamment salariaux. Il faut faire ce qu'on sait faire en France : du haut de gamme et de l'innovation et promouvoir ce savoir faire à l'international. Le secteur français du luxe tout comme les constructeurs automobiles allemands montrent bien que faire du haut de gamme n'empêche en rien un gros développement international.


C'est exactement ça! C'est pas que l'on ne veut pas produire de l'entrée de gamme en France mais c'est tout simplement que l'on ne peut pas. On ne pourra jamais s'aligner sur des prix aussi bas que des instruments produits en chine.

Citation :
Dans le même ordre d'idée, les patrons sont trop souvent les créateurs d'une seule boîte. Ils la créent, la développent et veulent en rester maîtres ad vitam aeternam. Or, j'en ai rencontré beaucoup qui étaient des créateurs, mais pas des gestionnaires. Une fois le bébé créé de bien développé, il faudrait qu'ils passent la main, vendent leur affaire au bon moment à des gens plus compétents pour la développer et utilisent le fruit de cette vente pour créer autre chose.


Effectivement, les "patrons créateurs" sont rarement de bons gestionnaires (dans le sens de "vendre leur création"). Mais une entreprise est très difficile à faire fructifier (plusieurs dizaines d'années) mais très facile à couler (quelques mois seulement si on fait des mauvais choix). D'où une certaine réticence à passer la main.

Ensuite pour monter autre chose c'est difficile et risqué. Dans la vente des murs et du fond de commerce d'une affaire, l'état prend 30%. Les créateurs se retrouvent amputés d'une part importante du fruit de plusieurs années de labeur. Alors pour remonter une autre affaire avec ce qui leur reste, prendre de nouveau risque et re-galérer pendant plusieurs années pour faire aboutir une nouvelle idée. Comment dire ... c'est dissuasif.
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Hors sujet :
Je n'ai pas dit que les patrons créateurs étaient forcément de mauvais gestionnaires.

Ce que je voulais dire, c'est qu'ils ne mettent pas la même passion, le même engagement dans la gestion et le développement d'une affaire une fois celle-ci lancée qu'ils n'en mettent dans la création. Ce qui fait qu'une fois l'affaire lancée, elle peut finir par ronronner au lieu de se développer.

Le problème, c'est qu'ils s'y accrochent au lieu de la céder et de partir créer autre chose. Aussi parce que la réussite est souvent plus valorisée sur le fait de diriger une boîte éventuellement la plus grosse possible que sur le fait d'en créer plein.
La crainte légitime de céder la boîte à quelqu'un qui en fera de la merde joue aussi. La responsabilité ressentie face au sort des employés envers qui on est reconnaissant d'avoir participé au développement de l'affaire est, heureusement, aussi assez présente.
Ceci fait que la plupart des patrons de PME ne cèdent leur affaire que quand l'heure de la retraite sonne.

Et en plus, il y a l'idée "c'est mon bébé à moi et personne d'autre ne doit y mettre son nez" qui est un gros frein à l'arrivée d'investisseurs externes, mais aussi souvent au recrutement de personnel hautement qualifié (il ne faudrait pas que le patron se sente "largué") et au développement d'idées venant de l'intérieur. Si un employé a une bonne idée de produit ou service innovant, ses meilleures chances de la développer est de se barrer pour monter lui-même sa boîte. Grosse perte de temps, d'énergie et de ressources par rapport à ce qui serait possible s'il pouvait la développer au sein de son entreprise (avec les responsabilités et les rémunérations idoines), avec des collègues qu'il connaît, des faisceaux de compétences et de process rodés, etc.

Comme toutes les généralités, c'est évidemment à nuancer. Mais en gros, c'est l'ambiance que j'ai connu chez l'écrasante majorité des patrons de PME que j'ai côtoyé et que je côtoie.
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Tout cela est très intéressant. Dommage cependant qu'il n'y ai plus de dates sur les émissions de commentaires... une info importante pour juger de la vivacité de la discussion et de l'intérêt d'y participer...

V

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Si il y a les dates : le dernier message avant le tien date d'il y a 3 ans.

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?