"Le Saviez-Vous ?"

Nous vivons encore dans l’enfance de l’espèce humaine

on ne parle de température que pour des sytèmes contenant plein de constituants. Parler de la température d'un électron dans un atome n'a pas de sens. Si tu as un gaz d'hydrogène et que tu le refroidis, l'électron garde la même agitation dans l'atome.

Enfin, jusqu'à ce que le gaz se liquéfie puis se solidifie, là les électrons changent carrément d'état, ils se mettent dans des bandes d'énergie collectives. Et là, non ils ne sont jamais au repos, le principe d'exclusion de Pauli interdit à deux électrons d'être dans le même état quantique, si bien que dès que les états peu agités sont pris, les suivants doivent se mettre dans des états plus agités, même à température nulle.

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Pas de bol, c'est pas vrai. Le blasphème existe bel et bien dans le droit français, et il est décrit expressément et puni sévèrement. Le truc, c'est que c'est pas partout en France, mais uniquement dans 3 départements : la Moselle, le haut rhin, et le bas rhin, ce qu'on appelle l'Alsace Moselle. 

"On connaît les particularités locales sur le régime des cultes et sur le statut scolaire. On connaît beaucoup moins les dispositions sur les atteintes aux libertés religieuses. L'article 166 du code pénal local (code pénal allemand) vise les blasphèmes, injures ou outrages. L'article 167 du même code concerne les entraves au libre exercice du culte. Ces textes n'ont pas d'équivalent dans la France de l'intérieur, font l'objet de peu de jurisprudence et sont souvent confondus. Ces infractions sont des délits, punis d'une peine d'emprisonnement maximum de 3 ans. Mais en réalité, le délit de blasphème qui est issu d'un texte en langue allemande n'ont pas fait l'objet d'une publication officielle en français (dans l'arrêté du 29 août 2013, page 9), ce qui lui enlève son caractère opposable, est inapplicable.
Seul l'article 167 a été transposé . Le délit de blasphème (présent dans l'article 166 non transposé) n'existe donc pas. Il n'y a donc pas lieu de l'abroger."