Sujet de la discussionPosté le 10/02/2004 à 10:15:26"Le Saviez-Vous ?"
Vaaaaaaaaala
Je me disais bien qu'il manquait un sujet dans le pub : un pendant culturel à tout ce qui est automatique, un contre-pouvoir pacifique au pub des losers, un petit frère des blagues pourrites ....
Le petit truc en plus en dernière page, la star du papier d'emballage :
Dans la loi italienne, les deux parents doivent explicitement consentir au renouvellement des pièces d'identité de leurs enfants mineurs (narmol) mais également au renouvellement des pièces d'identité de l’autre parent (enfin s’il/elle est Italien(ne)). Ma femme a appris ça ce matin au consulat italien de Bruxelles et il y a un pauvre employé consulaire qui s’est fait maudire sur 17 générations.
Personnellement ça me troue le cul, que dans un pays de l’Union Européenne, genre où la probabilité d’avoir des couples binationaux est quand même pas négligeable (surtout vu le nombre de jeunes italiens qui émigrent), on garde une loi qui crée un tel déséquilibre entre les deux parents. Parce qu’evidemment elle a pas son mot à dire sur mes pièces d'identité. Et évidemment la loi ne se limite pas aux partenaires qui vivent ensemble. Genre si on était séparé c’est la même chose. En gros si le partenaire ne peut/veut consentir, faut soit avancer un certificat de décès du partenaire soit saisir un juge. Un juge italien bien sûr.
Que nenni darinzedottir fait du tae-kwon-do et a demandé un sac de frappe pour travailler les coups de panard. Elle me passe au dessus de la tête comme qui rigole, moi j'ai essayé, j'ai pris une de ces vautres shlaaaaack! par terre comme un malpropre, le coude égratigné et l'honneur en miettes
.. qui tente un coup de pied, le pied part bien, l'autre aussi d'ailleurs, qui ripe sur le sol et tout à coup daRinze fait comme la photo d'Eric Woerth sur son glacier : une rotation spectaculaire à 90° suivie d'un "ouille" à peine déguisé
non, parce que j'ai appris qu'un bon coup de pied, c'était d'abord une bonne jambe d'appui.
Et puis que ça servait à rien de viser trop haut, c'est dans le bas que ça fait mal (ou dans les côtes )