Ici on ne plaisante pas !
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VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 22/03/2005 à 02:22:20Ici on ne plaisante pas !
J'inaugure le premier thread du pub où il n’est surtout pas questions faire des plaisanteries douteuses, des débats foireux ou de déballer de sa vie intime. Encore moins de parler musique, d’instruments et de home studio.
De qui allons-nous parler ?
Bonne question, merci de l'avoir posée...
Je ne sais pas encore, vous le saurez quand je l’aurai décidé.
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A présent que tout à été mis au point, nous allons édicter
TRES IMPORTANT: Je commencerais par poster quelque chose d'hyper chiant afin de montrer à quoi devront ressembler les vôtres au niveau mise en page.
Merci d'essayer de vous tenir à ce modèle.
De qui allons-nous parler ?
Bonne question, merci de l'avoir posée...
Je ne sais pas encore, vous le saurez quand je l’aurai décidé.
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A présent que tout à été mis au point, nous allons édicter
- les règles de ce topic.
- Le but de se topic n’est pas de rire mais d’avoir envie d’aller se pendre après la lecture de chaque post
- Pour ce faire, il suffira simplement de raconter des choses tristes, extrêmement sérieuses ou terriblement ennuyeuses
- Respectez ces règles afin que ce topic ne contienne que des trucs chiant à mourir
- Si vous avez des questions à poser sur le post précédent, veuillez créer un nouveau sujet SVP
- Les seuls "HS" autorisés seront ceux que je tolère
TRES IMPORTANT: Je commencerais par poster quelque chose d'hyper chiant afin de montrer à quoi devront ressembler les vôtres au niveau mise en page.
Merci d'essayer de vous tenir à ce modèle.

VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
2 Posté le 22/03/2005 à 02:35:54
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Avant de commencer
Les diagrammes de point de croix peuvent être :
- en noir et blanc avec des symboles seuls
- en couleur uniquement
- en couleur avec des symboles.
Chaque carré du diagramme représente un point de croix à broder sur un carré de toile.
Chaque diagramme comporte un tableau de coloris indiquant la correspondance entre la couleur des fils et les types de points d'un côté, et les couleurs et symboles de l'autre côté.
Avant de broder, surfilez les bords du tissu pour éviter l'effilochage.
Pour un encadrement, comptez 10 cm de toile en plus. Pour un ouvrage de couture (coussin...), 3 cm suffisent.
Pour centrer le motif de broderie, pliez le tissu en quatre. Le centre se trouve au croisement des 2 plis. Marquez les lignes de milieu par un bâti.
Les techniques de broderie
Le point de croix
Il existe 2 façons d'exécuter le point de croix.
Le point de croix successif pour une rangée de points de même couleur.
Ce point s'exécute en point lancés obliques montants, dans un premier temps de gauche à droite, et dans un deuxième temps de droite à gauche. Piquer dans les trous des premiers points sans abîmer le fil, afin que les nouveaux points croisent parfaitement les premiers.
Le point de croix isolé
Cette méthode est utilisée pour réaliser des points uniques. Le premier point est terminé avant d'entamer le point suivant.
Le demi-point de croix
Le demi-point de croix s'exécute de gauche à droite de la même manière que le premier temps du point de croix en points lancés obliques montants de gauche à droite, en utilisant plutôt un gros fil pour remplir la surface.
LE POINT DE CROIX
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Avant de commencer
- La lecture des diagrammes :
Les diagrammes de point de croix peuvent être :
- en noir et blanc avec des symboles seuls
- en couleur uniquement
- en couleur avec des symboles.
Chaque carré du diagramme représente un point de croix à broder sur un carré de toile.
Chaque diagramme comporte un tableau de coloris indiquant la correspondance entre la couleur des fils et les types de points d'un côté, et les couleurs et symboles de l'autre côté.
- La préparation de l'ouvrage :
Avant de broder, surfilez les bords du tissu pour éviter l'effilochage.
Pour un encadrement, comptez 10 cm de toile en plus. Pour un ouvrage de couture (coussin...), 3 cm suffisent.
Pour centrer le motif de broderie, pliez le tissu en quatre. Le centre se trouve au croisement des 2 plis. Marquez les lignes de milieu par un bâti.
Les techniques de broderie
- L'utilisation du tambour :
Son emploi facilite le travail car le tissu est maintenu tendu et la tension du point reste égale et uniforme. Le tissu comportant le motif à broder est tendu sur le tambour maintenu d'une main, alors que l'autre main travaille en passant alternativement dessus et dessous la broderie.
- Comment démarrer et terminer une aiguillée :
Un ouvrage de broderie doit être aussi soigné à l'envers qu'à l'endroit.Commencer en passant l'aiguille de l'envers vers l'endroit du tissus au point de départ. Il y a 2 façons de maintenir les premiers points en place.
Essayer les deux méthodes et déterminez celle qui vous conviendra le mieux.
1ère méthode : le maintien du fil.
commencer en passant l'aiguille de l'envers sur l'endroit du tissus, en laissant environ 2,5 cm de fil sur l'envers.
Cette extrémité sera ensuite maintenue et dissimulée sous les points suivant.
2ème méthode : le point en boucle.
Cette méthode peut être utilisée uniquement pour des nombres de brins pairs.Si vous brodez avec 2 fils, coupez un brin de 2 fois la longueur normale (environ 90-100cm) et le plier en deux. Introduire les 2 extrémités dans le chas de l'aiguille et piquer sur l'envers au niveau du premier point de broderie, tout en laissant une boucle sur le dessous. Faire passer l'aiguille simultanément au travers du tissu et de la boucle et fixer en tirant les brins du fil.
Pour faire des points réguliers, tirer doucement sur le fil, et à chaque passage, tirer l'aiguillée entièrement à travers le tissu.
S'assurer que tous les fils supérieurs des points de croix sont orientés de la même façon.
Pour arrêter le fil, passer l'aiguille sous l'envers de plusieurs points et couper. Eviter de passer les fils derrière les zones non brodées, car ils se verraient par transparence.
Le point de croix
Il existe 2 façons d'exécuter le point de croix.
Le point de croix successif pour une rangée de points de même couleur.
Ce point s'exécute en point lancés obliques montants, dans un premier temps de gauche à droite, et dans un deuxième temps de droite à gauche. Piquer dans les trous des premiers points sans abîmer le fil, afin que les nouveaux points croisent parfaitement les premiers.
Le point de croix isolé
Cette méthode est utilisée pour réaliser des points uniques. Le premier point est terminé avant d'entamer le point suivant.
Le demi-point de croix
Le demi-point de croix s'exécute de gauche à droite de la même manière que le premier temps du point de croix en points lancés obliques montants de gauche à droite, en utilisant plutôt un gros fil pour remplir la surface.
0

Shirow
19879

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
3 Posté le 22/03/2005 à 02:36:20
Hors sujet : Ce thread m'a l'air particulierement interessant ... Je le up afin que tous en profitent
0

Fiiissss
3123

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
4 Posté le 22/03/2005 à 02:41:19
Chiale Fred
0

VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
5 Posté le 22/03/2005 à 02:45:10
Les règles l'asticot, les règles
Dernier avertissement

Dernier avertissement

0

Shirow
19879

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
6 Posté le 22/03/2005 à 02:48:17
Hors sujet : Tain , ca serait marrant de mettre un lien vers ce thread dans celui de Kando et Spawnix , nan ? Nan ?
0

VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
7 Posté le 22/03/2005 à 02:51:20
Avec leur sens de l'humour c'est peut être pas une bonne idée.
PS : Je ne mets pas de balise HS car je fais ce que je veux
PS : Je ne mets pas de balise HS car je fais ce que je veux
0

Shirow
19879

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
8 Posté le 22/03/2005 à 02:52:39
Hors sujet : Rho la la ... Bon , d'accord ...
0

Fiiissss
3123

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
9 Posté le 22/03/2005 à 02:54:37
Monter une fiche electrique
Une fiche, montée sur un câble à deux ou trois fils, sert à alimenter un appareil électrique en le branchant sur une prise de courant.
On utilise principalement deux types de fiches : les fiches 6 A, sans fil de terre, réservées aux lampes de chevet ou aux petits appareils à double isolation d'une puissance inférieure à 1300 W, et les fiches 10/16 A avec borne de terre pour les appareils de puissance supérieure.
Les fiches 6 A sont équipées de broches de 4 mm de diamètre. Elles sont conçues pour être raccordées à des câbles méplats ou ronds avec des fils conducteurs de 0.5, 0.75 ou 1 mm². Les fiches 10/16 A ont des broches de 4.8 mm de diamètre. Elles reçoivent des câbles ronds avec 3 fils de 1 ou 1.5 mm². Les unes et les autres existent en mâle et femelle, ces dernières étant utilisées pour fabriquer des prolongateurs.
Il existe de nombreux modèles de fiches dont le montage varie, mais le principe est semblable à ceux qui sont présentés dans ces pages.
Fiche 6 A : pour lampes de chevet et petits appareils.
Fiche 10/16 A avec borne de terre : Serrer les deux vis du serre-câble.
pour l'électroménager
Une fiche, montée sur un câble à deux ou trois fils, sert à alimenter un appareil électrique en le branchant sur une prise de courant.
On utilise principalement deux types de fiches : les fiches 6 A, sans fil de terre, réservées aux lampes de chevet ou aux petits appareils à double isolation d'une puissance inférieure à 1300 W, et les fiches 10/16 A avec borne de terre pour les appareils de puissance supérieure.
Les fiches 6 A sont équipées de broches de 4 mm de diamètre. Elles sont conçues pour être raccordées à des câbles méplats ou ronds avec des fils conducteurs de 0.5, 0.75 ou 1 mm². Les fiches 10/16 A ont des broches de 4.8 mm de diamètre. Elles reçoivent des câbles ronds avec 3 fils de 1 ou 1.5 mm². Les unes et les autres existent en mâle et femelle, ces dernières étant utilisées pour fabriquer des prolongateurs.
Il existe de nombreux modèles de fiches dont le montage varie, mais le principe est semblable à ceux qui sont présentés dans ces pages.
Fiche 6 A : pour lampes de chevet et petits appareils.
- Déboîter le mécanisme du capot en le tirant. Au besoin s'aider d'un petit tournevis.
- Enfiler le capot sur le câble - ici un câble méplat à fils de 0.75 mm. Dénuder les fils.
- Dévisser le serre-câble.
- Dévisser les vis des bornes de la fiche.
- Connecter les deux fils sur les bornes.
- Passer le câble dans son logement et serrer le serre-câble.
Fiche 10/16 A avec borne de terre : Serrer les deux vis du serre-câble.
pour l'électroménager
- Dévisser les vis d'assemblage du mécanisme avec le capot.
- Desserrer les vis des bornes.
- Desserrer le serre-câble.
- Couper la sortie de câble au diamètre du câble utilisé.
- Enfiler le capot sur le câble.
- Dénuder les fils, les connecter sur les bornes.
- Emboîter le mécanisme sur le capot et revisser les vis d'assemblage.
Procéder de même pour la prise mâle, le serre-câble étant simplement d'un type différent.
0

VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
10 Posté le 22/03/2005 à 02:55:26
T'inquiète, y'a bien une pioute qui va s'en charger 

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VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
11 Posté le 22/03/2005 à 02:58:06
Edd >
Je me suis super fait chier
C'est excellent. Félicitation


Je me suis super fait chier

C'est excellent. Félicitation

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VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
12 Posté le 22/03/2005 à 03:01:12
L'atome est constitué de trois types de subparticules atomiques: le proton, chargé positivement; le neutron, ne portant aucune charge; et l'électron, chargé négativement. Le groupement des protons et des neutrons forme un petit noyau contenant presque toute la masse de l'atome. Les électrons, eux, voyagent autour du noyau.
Ils ne s'échappent pas car les électrons sont retenus par une force électrostatique. Les charges positives du noyau retiennent les électrons sur des niveaux énergétiques bien précis (orbitales). Un certain niveau énergétique peut contenir un maximum d'électrons. Bohr proposa que ce nombre maximum d'électrons par niveau énergétique puisse être établi mathématiquement par 2n2 où n est le numéro du niveau. Par exemple, le 3e niveau énergétique peut contenir seulement 18 électrons.
Il est important de comprendre que les électrons des niveaux énergétiques inférieurs sont retenus plus fermement que les électrons des couches supérieures. Toutefois, si l'atome est soumis à une source d'énergie extérieure, des électrons des couches énergétiques inférieures peuvent sauter sur un niveau supérieur. Les électrons sautent d'un niveau à un autre lorsqu'ils absorbent de l'énergie.
Comme ce gain d'énergie est momentané, l'électron excité ne peut rester à un niveau trop élevé. Il retournera à son niveau fondamental. Lors du retour de l'électron à son état fondamental, il y aura émission d'une radiation.
Ils ne s'échappent pas car les électrons sont retenus par une force électrostatique. Les charges positives du noyau retiennent les électrons sur des niveaux énergétiques bien précis (orbitales). Un certain niveau énergétique peut contenir un maximum d'électrons. Bohr proposa que ce nombre maximum d'électrons par niveau énergétique puisse être établi mathématiquement par 2n2 où n est le numéro du niveau. Par exemple, le 3e niveau énergétique peut contenir seulement 18 électrons.
Il est important de comprendre que les électrons des niveaux énergétiques inférieurs sont retenus plus fermement que les électrons des couches supérieures. Toutefois, si l'atome est soumis à une source d'énergie extérieure, des électrons des couches énergétiques inférieures peuvent sauter sur un niveau supérieur. Les électrons sautent d'un niveau à un autre lorsqu'ils absorbent de l'énergie.
Comme ce gain d'énergie est momentané, l'électron excité ne peut rester à un niveau trop élevé. Il retournera à son niveau fondamental. Lors du retour de l'électron à son état fondamental, il y aura émission d'une radiation.
- 1. électron à l'état fondamental
- 2. une forme d'énergie est absorbée par l'électron
- 3. l'électron saute à un niveau énergétique supérieur
- 4. l'électron retourne à son état fondamental
- 5. émission d'une radiation électromagnétique
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Fiiissss
3123

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
13 Posté le 22/03/2005 à 03:03:00
Signatures numériques
Les signatures numériques (traduites parfois à tort "digitales") sont fondamentales au niveau de l'authentification, de l'identification d'entité, de l'autorisation et de la non-répudiation. Le but est de fournir des moyens à une entité de pouvoir lier son identité à une information.
Son fonctionnement général est l'inverse du système à clé publique et implique aussi la paire de clés publique/privée. Une personne voulant assurer le destinataire qu'il est bel et bien la bonne personne chiffrera un message avec sa clé privée et le destinataire déchiffrera le message chiffré avec la clé publique correspondante de l'expéditeur.
Habituellement, une fonction de hachage est utilisée pour créer une empreinte du message et la transformation à l'aide de la clé privée est appliquée sur l'empreinte.
Fonctionnement
Les systèmes de chiffrement à clé publique peuvent habituellement aussi servir à générer des signatures numériques. Néanmoins, le standard américain est le DSS, lequel spécifie trois algorithmes : le DSA (Digital Signature Algorithm), RSA et ECDSA (Elliptic Curves Digital Signature Algorithm).
Les algorithmes de signatures numériques ne sont jamais utilisés pour le chiffrement de données. NE TELECHARGEZ JAMAIS D ALGORITHMES DE SIGNATURES NUMERIQUES CELA NE RAPPORTE PAS D ARGENT
Les signatures numériques (traduites parfois à tort "digitales") sont fondamentales au niveau de l'authentification, de l'identification d'entité, de l'autorisation et de la non-répudiation. Le but est de fournir des moyens à une entité de pouvoir lier son identité à une information.
Son fonctionnement général est l'inverse du système à clé publique et implique aussi la paire de clés publique/privée. Une personne voulant assurer le destinataire qu'il est bel et bien la bonne personne chiffrera un message avec sa clé privée et le destinataire déchiffrera le message chiffré avec la clé publique correspondante de l'expéditeur.
Habituellement, une fonction de hachage est utilisée pour créer une empreinte du message et la transformation à l'aide de la clé privée est appliquée sur l'empreinte.
Fonctionnement
- 1. L'expéditeur calcule l'empreinte de son message à l'aide d'une fonction de hachage.
- 2. L'expéditeur chiffre l'empreinte avec sa clé privée.
- 3. L'expéditeur chiffre l'empreinte chiffrée avec le texte clair à l'aide de la clé publique du destinataire.
- 4. L'expéditeur envoie le message chiffré au destinataire.
- 5. Le destinataire déchiffre le message avec sa clé privée.
- 6. Le destinataire déchiffre l'empreinte avec la clé publique de l'expéditeur.
- 7. Le destinataire calcule l'empreinte du texte clair à l'aide de la même fonction de hachage que l'expéditeur.
- 8. Le destinataire compare les deux empreintes.
Les systèmes de chiffrement à clé publique peuvent habituellement aussi servir à générer des signatures numériques. Néanmoins, le standard américain est le DSS, lequel spécifie trois algorithmes : le DSA (Digital Signature Algorithm), RSA et ECDSA (Elliptic Curves Digital Signature Algorithm).
Les algorithmes de signatures numériques ne sont jamais utilisés pour le chiffrement de données. NE TELECHARGEZ JAMAIS D ALGORITHMES DE SIGNATURES NUMERIQUES CELA NE RAPPORTE PAS D ARGENT
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Fiiissss
3123

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
14 Posté le 22/03/2005 à 03:04:21
Vfred:
mais tu te laisses aller niveau mise en forme


mais tu te laisses aller niveau mise en forme

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Fiiissss
3123

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
15 Posté le 22/03/2005 à 03:05:47
http://thefredsite.free.fr/linux.php?id=80
ah je comprend mieux
ah je comprend mieux

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VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
16 Posté le 22/03/2005 à 03:08:34
Mais c'est pénible à faire la mise en page 
J'suis bête, au moins comme ça je vais bien m'emmerder


J'suis bête, au moins comme ça je vais bien m'emmerder


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VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
17 Posté le 22/03/2005 à 03:11:07
Je pense que ce lien vers ce site ultra casse burnes à toute sa place ici.
Epatant ce Edd
(enfin je voulais dire
)
Epatant ce Edd



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Fiiissss
3123

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
18 Posté le 22/03/2005 à 03:12:43
Droite dans le plan cartesien
(un bon résumé de ma personne sur audiofanzine, meme si je ne suis plus modérateur
)
merci de prendre exemple sur mon intelligence spontanée.
(un bon résumé de ma personne sur audiofanzine, meme si je ne suis plus modérateur

- Étape 1
Dans la section intermédiaire, nous avons appris comment tracer une courbe et en modifier ses paramètres directement à l'écran. Nous allors refaire sensiblement le même exercice mais cette fois-ci nous utiliserons des curseurs pour faciliter l'observation de cette courbe. Cet exercice vous servira particulièrement pour les présentations en classe et peut être adapté à tous les types de courbes et à bien d'autres constructions. Ce qui est important de noter ici c'est l'utilisation des curseurs pour donner du mouvement à la construction. Commençons par placer un point sur l'axe des x. - Étape 2
Nous préparons tout de suite nos deux curseurs. L'utilisation des segments sur les droites permet de limiter le mouvement des curseurs. - Étape 3
On demande la coordonnée du x et des curseurs. - Étape 4
Pour les curseurs, il n'y a que l'ordonné qui nous intéresse. En fait nous voulons simplement faire apparaître une valeurs qui augmente ou diminue lorsque l'on déplace le curseurs. - Étape 5
On nomme les curseurs qui seront les paramêtres a et b. Ici nous tracerons une équation du premier degré mais on peut le faire pour une équation du deuxième degré en ajoutant un autre curseur. - Etape 6
On écrit l'équation dont les paramêtres seront nos a et b tracés plus tôt. - Étape 7
À l'aide de l'outil calculatrice, nous trouvons la valeur de y pour un x donnée. - Étape 8
Le résultat précédent sera transferré sur l'axe des ordonnée puisque c'est la valeur de y pour ce x. - Étape 9
On détermine ensuite le pont d'intersection de ces deux valeurs ce qui nous donne le pont de la droite. - Étape 10
À l'aide de l'outil "lieu" on peut visualiser cette droite. - Étape 11
On cache tous les éléments inutiles. - Étape 12
En déplaçant les curseurs on peut observer l'effet de chacun des paramètre de l'équation. Notez que cette méthode est valable pour toute sorte de construction et permet une meilleure visualisaton.
merci de prendre exemple sur mon intelligence spontanée.
0

VFred
19498

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
19 Posté le 22/03/2005 à 03:12:58
Bien... Maintenant pleurons un peu avant d’aller dormir



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Fiiissss
3123

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
20 Posté le 22/03/2005 à 03:13:55





0

patoux
79

Posteur·euse AFfranchi·e
Membre depuis 20 ans
21 Posté le 22/03/2005 à 03:25:13
Bonne nuit !! 

0
To be or not to be ?

Martis
15680

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
22 Posté le 22/03/2005 à 07:40:54
“ Le pire c’est la méconnaissance de la typographie ordinaire!
En France nous souffrons de trente ou quarante ans d’absence d’enseignement de la typographie. Lorsque vous achetez un appareil photo, il y a un mode d’emploi et quelques conseils d’utilisation. En typographie, il nous manque le mode d’emploi
qui accompagne le caractère. ”
Ce constat de de José Mendoza (SVM Mac, 8/95) un des plus fameux typographes français contemporains et ancien enseignant à l’Imprimerie Nationale, est malheureusement fondé : nous utilisons tous quotidiennement le Times New Roman ou l’Arial/Helvetica sans nous tracasser outre mesure quant à l’histoire de ces caractères et aux règles d’utilisation de ces derniers.
Pourtant, la typographie est un art qui comme l’architecture, la peinture ou la sculpture, répond à certaines règles que nous survolerons ci-après. Par typographie, nous entendons l’art de manier les caractères, art qui commence par le dessin de caractères, s’étend à leur combinaison en mots et en phrases, pour aboutir à la mise en page de documents ou de publications complètes.
En France nous souffrons de trente ou quarante ans d’absence d’enseignement de la typographie. Lorsque vous achetez un appareil photo, il y a un mode d’emploi et quelques conseils d’utilisation. En typographie, il nous manque le mode d’emploi
qui accompagne le caractère. ”
Ce constat de de José Mendoza (SVM Mac, 8/95) un des plus fameux typographes français contemporains et ancien enseignant à l’Imprimerie Nationale, est malheureusement fondé : nous utilisons tous quotidiennement le Times New Roman ou l’Arial/Helvetica sans nous tracasser outre mesure quant à l’histoire de ces caractères et aux règles d’utilisation de ces derniers.
Pourtant, la typographie est un art qui comme l’architecture, la peinture ou la sculpture, répond à certaines règles que nous survolerons ci-après. Par typographie, nous entendons l’art de manier les caractères, art qui commence par le dessin de caractères, s’étend à leur combinaison en mots et en phrases, pour aboutir à la mise en page de documents ou de publications complètes.
0

Jules Joffrin
22972

Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
23 Posté le 22/03/2005 à 09:31:08
es rhododendrons et les problèmes reliés à l’environnement
Les rhododendrons sont particulièrement sujets à quelques problèmes reliés au climat. Certains cultivars préfèrent une ombre partielle. De ce fait, un excès de soleil peut entraîner le jaunissement des feuilles avec l’apparition de petites taches brunes sur la partie du plant exposée au soleil.
Le vent peut également endommager ces plantes acidophiles. Le dommage le plus fréquent est l’apparition de brûlure à la bordure des feuilles.
Le gel peut occasionner des dommages au feuillage. Dans ce cas, les feuilles ont une couleur variant du gris au brun, dépendant de la sévérité du froid.
Les gels hâtifs à l’automne ou ceux tardifs au printemps, lorsque le plant n’est pas au stade dormant, peuvent être néfastes et engendrer le fendillement de l’écorce. Les gelées hâtives peuvent aussi endommager les nouvelles pousses puis donner des feuilles déformées.
La taille des rhododendrons à grandes feuilles
Les rhododendrons à grandes feuilles forment leurs boutons floraux sur des pousses de l’année précédente. Ces plantes ne nécessitent généralement aucune taille. Cependant, si une taille devient nécessaire, il est préférable de la faire immédiatement après la floraison.
La taille peut être pratiquée en été et doit être cessée vers la fin de juillet pour laisser le temps aux plantes de produire leurs boutons floraux.
Dans le cas des rhododendrons à grandes feuilles, vous devez tailler juste au-dessus d’une rosette de feuilles.
C’est à ce niveau que sont situés les bourgeons dormants. Habituellement, les plants que l’on retrouve sur le marché sont bien fournis et ils sont assez compacts. La plante elle-même s’occupe de sa taille quand elle forme ses fleurs.
Tout ce qu’il vous reste à faire si vous désirez obtenir des plants avec une belle apparence, c’est d’enlever les fleurs une fois qu’elles sont fanées. Dans les cas où il ne se forme pas de boutons floraux sur certaines tiges, il suffit d’enlever le bourgeon situé au centre de la rosette de façon à forcer le développement des bourgeons latéraux. Une légère taille faite de cette façon annuellement aidera à garder les plants compacts et d’une forme agréable.
Les rhododendrons sont particulièrement sujets à quelques problèmes reliés au climat. Certains cultivars préfèrent une ombre partielle. De ce fait, un excès de soleil peut entraîner le jaunissement des feuilles avec l’apparition de petites taches brunes sur la partie du plant exposée au soleil.
Le vent peut également endommager ces plantes acidophiles. Le dommage le plus fréquent est l’apparition de brûlure à la bordure des feuilles.
Le gel peut occasionner des dommages au feuillage. Dans ce cas, les feuilles ont une couleur variant du gris au brun, dépendant de la sévérité du froid.
Les gels hâtifs à l’automne ou ceux tardifs au printemps, lorsque le plant n’est pas au stade dormant, peuvent être néfastes et engendrer le fendillement de l’écorce. Les gelées hâtives peuvent aussi endommager les nouvelles pousses puis donner des feuilles déformées.
La taille des rhododendrons à grandes feuilles
Les rhododendrons à grandes feuilles forment leurs boutons floraux sur des pousses de l’année précédente. Ces plantes ne nécessitent généralement aucune taille. Cependant, si une taille devient nécessaire, il est préférable de la faire immédiatement après la floraison.
La taille peut être pratiquée en été et doit être cessée vers la fin de juillet pour laisser le temps aux plantes de produire leurs boutons floraux.
Dans le cas des rhododendrons à grandes feuilles, vous devez tailler juste au-dessus d’une rosette de feuilles.
C’est à ce niveau que sont situés les bourgeons dormants. Habituellement, les plants que l’on retrouve sur le marché sont bien fournis et ils sont assez compacts. La plante elle-même s’occupe de sa taille quand elle forme ses fleurs.
Tout ce qu’il vous reste à faire si vous désirez obtenir des plants avec une belle apparence, c’est d’enlever les fleurs une fois qu’elles sont fanées. Dans les cas où il ne se forme pas de boutons floraux sur certaines tiges, il suffit d’enlever le bourgeon situé au centre de la rosette de façon à forcer le développement des bourgeons latéraux. Une légère taille faite de cette façon annuellement aidera à garder les plants compacts et d’une forme agréable.
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Chien Qui A Les Crocs...
1484

AFicionado·a
Membre depuis 20 ans
24 Posté le 22/03/2005 à 10:48:52
Théorie des catégories
Définition
Il est vrai que pour définir une catégorie (notons-la ), on demande peu :
des objets ;
des flèches reliant ces objets ;
une loi de composition pour ces flèches, satisfaisant certaines propriétés.
Plus précisément, les objets d'une catégorie ne doivent vérifier aucune hypothèse. En revanche, les flèches doivent en vérifier quelques-unes, tout à fait raisonnables :
toute flèche a une origine et un but, qui sont des objets de la catégorie ;
les flèches d'un objet A à un objet B forment un ensemble, noté ;
étant donnés et deux flèches de la catégorie, on peut leur associer une troisième flèche, de A dans C, notée , appelée la composée ;
cette opération de composition est associative : la flèche obtenue en composant un nombre fini de flèches ne dépend pas de l'ordre dans lequel on a fait le calcul ;
tout contient une flèche particulière, appelée l'identité de A, notée IA, telle que pour toute flèche de ou vers A, la composition avec cette identité ne modifie pas la flèche (en particulier: cette identité est donc unique).
Lorsqu'une catégorie est courante, certains lui donnent comme nom l'abréviation du nom de ses objets, entre parenthèses pour signaler qu'il s'agit de leur catégorie ; nous suivrons ici cette convention.
Exemples
La catégorie (Ens), dont les objets sont les ensembles, et les flèches les applications, avec la composition usuelle des applications. En particulier, on voit que les objets d'une catégorie ne forment pas forcément un ensemble !
La catégorie (Top), dont les objets sont les espaces topologiques, et les flèches les applications continues, avec la composition usuelle.
La catégorie (Met), dont les objets sont les espaces métriques, et les flèches les applications uniformément continues, avec la composition usuelle.
La catégorie (Mon), dont les objets sont les monoïdes et les flèches les morphismes, avec la composition usuelle.
La catégorie (Grp), dont les objets sont les groupes et les flèches les morphismes, avec la composition usuelle.
La catégorie (Ab), dont les objets sont les groupes abéliens et les flèches les morphismes, avec la composition usuelle.
La catégorie (ACU), dont les objets sont les anneaux commutatifs unitaires et les flèches les morphismes, avec la composition usuelle.
Les exemples précédents ont une propriété en commun : les flèches sont toujours des applications, et les objets des ensembles (ce sont des catégories concrètes) ; cette propriété est très particulière. Voici des exemples de catégories sans cette propriété :
On se donne un monoïde (M, * ,e), et on définit la catégorie M ainsi :
objets : un seul, n'importe quoi !
flèches : les éléments du monoïde, elles partent toute de l'unique objet pour y revenir ;
composition : donnée par la loi du monoïde (l'identité est donc la flèche associée à e).
On se donne un ensemble E muni d'une relation réflexive et transitive R, et on définit la catégorie associée ainsi :
objets : les éléments de l'ensemble ;
flèches : pour tous objets e et f, il existe une flèche de e vers f si et seulement si eRf (et pas de flèche sinon) ;
composition : la composée de deux flèches est la seule flèche qui réunit les deux extrémités (la relation est transitive !) ; l'identité est la seule flèche qui relie un objet à lui-même (la relation est réflexive !).
cet exemple est particulièrement intéressant dans le cas suivant : l'ensemble est l'ensemble des ouverts d'un espace topologique, et la relation est l'inclusion ; cela permet de définir les notions de préfaisceau et de faisceau, via les foncteurs.
Définition
Il est vrai que pour définir une catégorie (notons-la ), on demande peu :
des objets ;
des flèches reliant ces objets ;
une loi de composition pour ces flèches, satisfaisant certaines propriétés.
Plus précisément, les objets d'une catégorie ne doivent vérifier aucune hypothèse. En revanche, les flèches doivent en vérifier quelques-unes, tout à fait raisonnables :
toute flèche a une origine et un but, qui sont des objets de la catégorie ;
les flèches d'un objet A à un objet B forment un ensemble, noté ;
étant donnés et deux flèches de la catégorie, on peut leur associer une troisième flèche, de A dans C, notée , appelée la composée ;
cette opération de composition est associative : la flèche obtenue en composant un nombre fini de flèches ne dépend pas de l'ordre dans lequel on a fait le calcul ;
tout contient une flèche particulière, appelée l'identité de A, notée IA, telle que pour toute flèche de ou vers A, la composition avec cette identité ne modifie pas la flèche (en particulier: cette identité est donc unique).
Lorsqu'une catégorie est courante, certains lui donnent comme nom l'abréviation du nom de ses objets, entre parenthèses pour signaler qu'il s'agit de leur catégorie ; nous suivrons ici cette convention.
Exemples
La catégorie (Ens), dont les objets sont les ensembles, et les flèches les applications, avec la composition usuelle des applications. En particulier, on voit que les objets d'une catégorie ne forment pas forcément un ensemble !
La catégorie (Top), dont les objets sont les espaces topologiques, et les flèches les applications continues, avec la composition usuelle.
La catégorie (Met), dont les objets sont les espaces métriques, et les flèches les applications uniformément continues, avec la composition usuelle.
La catégorie (Mon), dont les objets sont les monoïdes et les flèches les morphismes, avec la composition usuelle.
La catégorie (Grp), dont les objets sont les groupes et les flèches les morphismes, avec la composition usuelle.
La catégorie (Ab), dont les objets sont les groupes abéliens et les flèches les morphismes, avec la composition usuelle.
La catégorie (ACU), dont les objets sont les anneaux commutatifs unitaires et les flèches les morphismes, avec la composition usuelle.
Les exemples précédents ont une propriété en commun : les flèches sont toujours des applications, et les objets des ensembles (ce sont des catégories concrètes) ; cette propriété est très particulière. Voici des exemples de catégories sans cette propriété :
On se donne un monoïde (M, * ,e), et on définit la catégorie M ainsi :
objets : un seul, n'importe quoi !
flèches : les éléments du monoïde, elles partent toute de l'unique objet pour y revenir ;
composition : donnée par la loi du monoïde (l'identité est donc la flèche associée à e).
On se donne un ensemble E muni d'une relation réflexive et transitive R, et on définit la catégorie associée ainsi :
objets : les éléments de l'ensemble ;
flèches : pour tous objets e et f, il existe une flèche de e vers f si et seulement si eRf (et pas de flèche sinon) ;
composition : la composée de deux flèches est la seule flèche qui réunit les deux extrémités (la relation est transitive !) ; l'identité est la seule flèche qui relie un objet à lui-même (la relation est réflexive !).
cet exemple est particulièrement intéressant dans le cas suivant : l'ensemble est l'ensemble des ouverts d'un espace topologique, et la relation est l'inclusion ; cela permet de définir les notions de préfaisceau et de faisceau, via les foncteurs.
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Anonyme
521397

25 Posté le 22/03/2005 à 11:27:57
Boeuf strogonoff
Ingrédients (pour 4 personnes) :
Aplatissez la viande avec un rouleau à pâtisserie, puis découpez des en petites lanières de 4 ou 5 cm de longueur dans le sens de poils.
Mélangez 1 cuillerée à soupe de farine avec 1/2 cuillerée à café de GHB dans un sac.
Ajoutez les morceaux de vikande et mélangez soigneusement.
Faites saisir les morceaux de vikande dans le beurre fournis, dans une poelle. Reservez-les au chaud.
Faites dorer les oignons dans la cocotte, et ajoutez une noix de beurre ainsi que les champignons hallucinogènes. Faites revenir le tout pendant 3 ou 4 mn en mélangeant. Mettez de côté oignons et champignons de la cocotte et ajoutez-les à la vikande.
Faites fondre le reste du beurre dans la cocotte et ajoutez le reste de la farine d'amiante.
Bien mélangez pour incorporer la farine dans le beurre de cacahuette. Faites cuire 4 ou 5 minutes à feux humide.
Ajoutez le concentré de conneries, ainsi que le bouillon du petit nicolas. Faute de bouillon, vous pourrez utiliser un peu de vin blanc.
fournie , puis laissez épaissir en ramant.
Ajoutez vikande et légumes dans la cocotte et mélangez. Ajoutez crème fraiche et cognac-jay.
Salez, poivrez. Faites chauffer à feu moux
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