Ici on ne plaisante pas !
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VFred
De qui allons-nous parler ?
Bonne question, merci de l'avoir posée...
Je ne sais pas encore, vous le saurez quand je l’aurai décidé.
------------------------------------------------------------------------------------------------------
A présent que tout à été mis au point, nous allons édicter
- les règles de ce topic.
- Le but de se topic n’est pas de rire mais d’avoir envie d’aller se pendre après la lecture de chaque post
- Pour ce faire, il suffira simplement de raconter des choses tristes, extrêmement sérieuses ou terriblement ennuyeuses
- Respectez ces règles afin que ce topic ne contienne que des trucs chiant à mourir
- Si vous avez des questions à poser sur le post précédent, veuillez créer un nouveau sujet SVP
- Les seuls "HS" autorisés seront ceux que je tolère
TRES IMPORTANT: Je commencerais par poster quelque chose d'hyper chiant afin de montrer à quoi devront ressembler les vôtres au niveau mise en page.
Merci d'essayer de vous tenir à ce modèle.
Anonyme
Citation : Un autre au-dessus deCalais :
[TVN595]Au dessus de Cholet plutôt non ?[/TVN595]
VFred
Y'a des passages bien chiant aussi
VFred

Agentcarotte
Agentcarotte
Il sera aussi une tribune où s'exprimeront des idées et des opinions suscitant des discussions bénéfiques pour tous.
En fait , il sera ce que VOUS en ferez
Si nous réussissons à alimenter ce bulletin au rythme modéré d'un numéro trimestriel, ce sera déjà le signe d'une volonté collective de s'associer à la problématique du recrutement, et partant, les chances de succès du PNDR en seront augmentées.
N'oublions pas le plus agréable: remercier très sincèrement Louis GIBOIRE (Centre IFREMER de Nantes) pour avoir donné son temps et son talent à la réalisation du logo qui deviendra peut-être le symbole des recherches sur le recrutement en France.
A. HERBLAND
++++++++++++++++++++++++++++++
N°1: Janvier 1986
Pages
Editorial
1
Des nouvelles du Programme
3
Réunions de travail sur l'étude des premiers stages benthiques des Soleïdés
sur la façade Atlantique et en Méditerrannée.
L. TITO de MORAIS
6
Une nurserie a-t-elle une "capacité d'accueil" limitée ?
Y. DESAUNAY, D. DOREL, D. GUERAULT et P. BEILLOIS
8
Considérations sur l'importance des phénomènes physiques dans l'estimation des paramètres biologiques - Cas de la sole du golfe de Gascogne.
C. KOUTSIKOPOULOS
10
Note sur l'utilisation des techniques de la télédétection dans le PNDR.
A. SOURNIA et M. VIOLLIER
15
Quelques réflexions sur le PNDR.
P. FREON
21
Le recrutement au CIEM - Réunion de Londres Octobre 1985
24
Symposiums, congrés
27
Articles annoncés dans le prochain bulletin
29
N°2: Avril 1986
Pages
Le mot du Président
2
Des nouvelles du Programme
4
Compte rendu de réunions de Groupes de travail.
"Comportement larvaire et recrutement"
Arcachon, 10 et 11 février 1986.
"Structure génétique des populations
et déterminisme du recrutement"
Paris, 7 mars 1986
9
Une expérience en cours : des soles et des balises
20
Recrutement du Germon (Thunnus alalunga) et anomalies thermiques
de l'Atlantique tropical.
C. LEROY et D. BINET
23
En attendant mieux : une tentative pour approcher le taux de mortalité
des larves de sole.
D. WOEHRLING
25
Les "recrues"ont aussi un comportement .
M. DIVANACH-KENTOURI et P. DIVANACH.
Dessin : MARYVONNE-CELINE
32
Note de lecture
39
Articles annoncés dans le prochain bulletin
41
Sommaire du "International Symposium on the Early Life history of
Fishes and eight larval fish conference"
42
N°3: Juillet/Août 1986
pages
Editorial
2
Le Programme Sole : objectifs, hypothèses, opérations, équipes
3
Compte rendu de réunions de groupe de travail "La Nutrition larvaire"
Brest, 4 et 5 juin 1986.
A. LUCAS
12
Acquisition automatisée de données biométriques
J.C. DUCHENE
15
Réflexions sur le Programme Recrutement : Problématique, stratégie, choix etc...
19
Trame pour la constitution d'un document de base
S. FRONTIER
19
Vers un nouveau paradigme ?
J.P. TROADEC
29
Eléments pour un programme commun Recrutement
J. BOUCHER
37
Une Maieutique pour un paradigme
S. FRONTIER
40
Informations bibliographiques
43
Articles annoncés dans le prochain bulletin
43
N°4: Décembre 1986
Pages
Editorial
Zooplancton et structure physique
Nécessité de relier les deux
3
Tribune
Nouvelles vues sur un vieux problème
Larves planctoniques, mortalité et variabilité
M. BHAUD
5
Méthodologie utilisée pour étudier la stratégie de colonisation d'un milieu esturarien par les larves de sole (Solea vulgaris) au cours de leur métamorphose
J. MARCHAND et G. MASSON
15
Les larves d'échinodermes comme modèles dans
l'étude du déterminisme du recrutement
L. FENAUX, H. CLAUSTRE, C. CELLARIO
19
Rapport de stage sur la reconnaissance des larves d'annélides polychètes
M. BHAUD et C. CAZAUX
24
Rapports de missions au Canada et aux Etats-Unis sur le thème : Evaluation des progrès en matière d'équipement océanographique (plancton)
P. NIVAL et C. KOUTSIKOPOULOS
26
Le recrutement au CIEM
Recommandations du "IREP Steering Group"
La recherche sur le recrutement au Danemark
Réunion statutaire 1986
41
Symposiums - Congrès
Information sur la 2ème "International Polychete Conference"
M. BHAUD
A propos du symposium sur les changements à long terme parmi les populations de poissons marins (Vigo, Nov. 86)
D. BINET - C. LEROY
47
Livres à paraître
48
Articles annoncés dans le prochain bulletin
49
N°5: Mars 1987
Pages
Editorial
2
Déterminisme du recrutement de la Coquille St-Jacques
Programme et résultats actuels
J. BOUCHER
3
Flux d'énergie et flux d'information
F. BONHOMME
18
De la génétique des populations dans le PNDR
Pourquoi et comment ?
Exemple du recrutement de la sole en Baie de Vilaine
M. AUTEM
21
Recrutement de l'annélide polychète Nephtys hombergii
C. CAZAUX
29
Acoustique Halieutique / Plancton
40
Compte rendu de la réunion "Estimation quantitative du zooplancton"
S. FRONTIER
41
Annonce d'une "mini-table ronde" ichtyoplancton / larves planctoniques
53
Nouvelles brèves
55
N°6: Juillet/Août 1987
Pages
Editorial
2
Le recrutement dans le monde
3
les projets type SARP
6
Le recrutement du Sprat
Recherches coordonnées en Grande Bretagne et R.F.A.
J. ALHEIT
7
Evolution des recherches sur le recrutement des Gadidés sur le Georges Bank : proposition d'une nouvelle stratégie
G.C. LAURENCE
11
Grande Bretagne
17
Japon
18
Norvège
19
Pays-Bas
21
URSS
23
Et sous les tropiques
24
Etude du recrutement de la crevette Penaeus subtilis en Guyane
F. LHOMME
25
N°7: Décembre 1987
Pages
Temporary extinction of stocks as a natural and unpredictable phenomenon
Ph. CURY
3
Le Maigre - Biologie et Recrutement
Cl. QUERO et J.J. VAYNE
9
Les pontes de sole en 1987 au Centre IFREMER de Brest
J. PERSON - LE RUYET
13
Note de lecture :
Un Doctorat d'Etat consacré au Recrutement
17
Les résumés du "Symposium Recrutement"
Nantes, 27-30 octobre 1987
19
N°8: Juin 1990
Pages
Ouverture
P. NIVAL
2
Compte rendu des Bureaux et Conseils de l'année 1989
5
Qu'est-ce que GLOBEC ?
15
Le Programme de Recherche Canadien OPEN (Première partie)
E. BOURGET
18
Compte rendu de Congrès
M. BHAUD
23
Sur un séjour aux USA
G. BACHELET
25
Biométrie d'écailles
P. LAVAL
29
Coquilles St Jacques en Baie de Seine
P. LUBET
31
Informations diverses, annonces
VIII Pectinid Workshop ; Programmes CEE ;
Lettre du MAAF (UK) ; Appel des secrétaires ;
33
N°9: Octobre 1990
Pages
Le mot du Directeur
P. NIVAL
2
Le programme de recherche canadien OPEN (seconde partie)
E. BOURGET
5
Le programme Climapêche et le recrutement
D. BINET et col.
11
Flash 1 : Sur les modalités du recrutement benthique
J.H. Cha
16
Flash 2 : Le meiobenthos temporaire des Sables Fins Littoraux
J.Y. BODIOU
18
Fash 3 : Interactions entre processus hydrodynamiques et biologiques dans la dissémination d'un stade larvaire d'Invertébré
E. THIEBAUT
20
Revue bibliographique
J. BOUCHER
22
Compte rendu des Bureaux et Conseils de l'année 1990
23
Informations diverses
4 et 27
N°10: Mars 1991
Pages
Editorial
P. NIVAL
2
Programme Sole : étude expérimentale et in situ des stades précoces :
résultats obtenus dans la période 1987-1990
Article coordonné par Mmes Gisèle Champalbert, Nicole Lacroix et Françoise Lagardère avec la collaboration de tous les participants au programme
5
Larval Recruitment : Processus in Benthic Marine Invertebrates
H. SEKIGUCHI
28
Compte rendu de mission au Japon dans le cadre du
Déterminisme du Recrutement
M. BHAUD et J. BOUCHER
32
Annonces :
Atelier de Dinard (juin 1991)
41
Colloque de Nantes (octobre 1991)
40
N°11: Juin 1991
Pages
Le mot du Président
P. NIVAL
2
Un modèle mathématique de recrutement d'espèces marines
F. CARLOTTI
5
Japanese activity on larval ecology and recruitment of benthos
T. KIKUCHI
14
Différence dans la qualité des gamètes et le développement larvaire d'oursins, en fonction des stations de récolte
S. GEORGE, L. FENAUX et J. LAWRENCE
21
La phase larvaire : une boite noire à casser : Compte rendu d'un symposium
G. MARCANO
27
Relations internationales liées aux opérations du PNDR
32
Bilbligraphie, Informations diverses, Colloque de Nantes, Atelier de Dinard
34
N°12/13: Novembre 1991
Pages
Editorial
P. NIVAL
3
Compte rendu de l'Atelier de Dinard (2-5 juin 1991)
M. BHAUD
5
Enregistrements actographiques de déplacements larvaires
J.C. DUCHÊNE et C. NOZAIS
8
Les canaux expérimentaux de la Woods Hole Oceanographic Institution, USA et leur apport à la connaissance des processus d'établissement des larves d'Invertébrés benthiques
G. BACHELET et C.A. BUTMAN
16
Distribution spatiale des recrues de l'Annélide polychète Nereis virens dans deux baies d'orientation différente.
Données préliminaires et intérêt des travaux expérimentaux
G. DESROSIERS, M. OLIVIER, A. CARON, B. VINCENT V. KOUTITONSKY et S. CÔTE
21
Approche expérimentale des migrations des jeunes soles.
Variations de comportement au cours de l'ontogenèse
G. CHAMPALBERT
26
L'acquisition de la vie benthique sous conditions contrôlées : origine de la problématique, description de l'installation et premiers résultats
M. BHAUD, J.H. Cha et G. MARCANO
30
Méthodes de Détection de particules et d'Actographie développées au Laboratoire de Biologie Marine de Concarneau
A. CLIQUE et J.F. LENNON
42
Comprendre la mécanique des fluides pour expliquer les phénomènes de couche limite, de transfert et de transport
M. BELORGEY
44
Hydrodynamisme et régulation des populations de recrues et de juvéniles : cas de Pectinaria koreni (Annélide Polychète) ; approche expérimentale
R. LAMBERT, C. RETIERE, G. CHABERT d'HIERES et J.C. JAY
60
Remarques sur le couplage physique-biologie
G. CHABERT d'HIERES
73
Présentation des différents projets d'utilisation du Canal hycobenthos
76
N°14: Mars 1992
Pages
Evolution du Programme
P. NIVAL
3
Dispersion et abondance des larves d'Echinodermes dans une région marquée par un front hydrologique : implications dans le recrutement des juvéniles
M.L. PEDROTTI et L. FENAUX
(Station Zoologique, U.A. 716, Observatoire Océanologique de Villefranche B.P. 28 - 06230 Villefranche-sur-Mer)
5
Recherches d'indices de jeûne chez la larve de sole, Solea solea (Linnaeus, 1758) : approche expérimentale et application dans le Golfe de Gascogne
M. BOULHIC
(Université de Bretagne Occidentale)
14
Symposium de Nantes : liste des publications
22
Les Programmes étrangers parallèles au PNDR à travers les Bulletins "Globec News" et "Open Channels"
24
N°15-16: Septembre 1992
Pages
Editorial
P.Nival
3
Programme PNDR: Perspectives 1993
5
Données bibliographiques sur les Canaux hydrodynamiques par J.H. CHA: Laboratoire Arago, 66650 Banyuls-sur-mer
8
Atelier C.I.E.M. "Microstructure des otolithes" 26 - 28 novembre 1991, Arendal, Norvège; rapport de mission.
Françoise Lagardère
CREMA (CNRS-IFREMER), B.P. 5, F-17137 L'Houmeau
15
Résultats de l'enquête bibliographique
22
Des nouvelles de GLOBEC
40
N°17: Janvier 1993
Pages
Génétique des populations d'Owenia fusiformis: premiers résultats E. Thiébaut & M. Solignac
2
Des nouvelles de GLOBEC (suite)
7
Publications récentes
12
ESCA / ERF Conference
15
Annonces diverses
22
Atelier Banyuls
24
N°18: Mai 1993
Pages
Editorial
P. Nival
2
La prolifération de la Palourde Japonaise et le déterminisme du recrutement
G. Bachelet, J. Boucher, J. Daguzan, M. Glémarec,
J. Guillou, M. Le Pennec, J. Mazurié,S.Claude
4
Le modèle bivalve au sein du PNDR:
une aide à la hiérarchisation des processus régulant le recrutement.
Guy Bachelet
(Laboratoire d'Océanographie biologique, Université de Bordeaux I
& CNRS, 2 rue du Professeur Jolyet, 33120 Arcachon)
12
Compte rendu du Conseil Scientifique du 21/4/93
24
Atelier Banyuls
29
N°19-20: Novembre 1993
Pages
Editorial
P. Nival
2
Les échelles spatiales de dispersion des larves de poissons récifaux en Polynésie française: influence sur la différenciation géographique des populations .
S. Planes
4
Réorganisation de la distribution des larves au moment de l'installation ..
J.H. Cha
20
Comportement et redistribution des stades juvéniles de Bivalves
sous conditions hydrodynamiques contrôlées:
premiers résultats avec le canal Hycobenthos.
X.de Montaudouin & G. Bachelet
26
Un modèle conceptuel sur les sources de la variabilité interannuelle.
M. Bhaud
28
Etude expérimentale de la redistribution des post-larves et juvéniles
de Pectinaria koreni(Annélide polychète) etAbra alba(Mollusque lamellibranche)
sous l'action d'un courant unidirectionnel.F. Olivier,
C.Vallet et C. Retiere
34
Atelier PNDR: Acquisition de la vie benthique sous conditions contrôlées:
l'occasion d'une réflexion..
M. Bhaud
38
Activité natatoire et orientation des juvéniles de soles dans un courant.
Influence de la lumière, de la salinité et du sédiment.
G.Champalbert
44
Rapport de Mission: Second International Symposium on Flatfish Ecology,
Texel, Pays Bas, 30 septembre-6 octobre 1993.
G. Champalbert
48
N°22: 1995
Pages
Variability, Plasticity and Flexibility:
multiple paths to reproductive success for benthic marine invertebrates
Michael G. Hadfield
Kewalo Marine Laboratory, University of Hawaii
41 Ahui Street, Honolulu. Hawaii 96813
1
COMPTE RENDU DE LA TABLE RONDE
INTERACTIONS DES FACTEURS BIOTIQUES ET ABIOTIQUES
AU COURS DES PHASES LARVAIRE ET ADULTE DES
INVERTEBRES MARINS BENTHIQUES
Villefranche-sur-mer : 19 au 23 septembre 1994.
"Biotic and abiotic interactions during larval
and adult stages of marine benthic invertebrates"
Villefranche-sur-mer 19th-23rd September 1994
8
COMPTE RENDU DE LA TABLE RONDE
INTERACTION PLANCTON-ANCHOIS
DANS LE GOLFE DE GASCOGNE
Nantes 7-8 Novembre 1994
par Constantin Koutsikopoulos
Centre IFREMER de Nantes
LA SOLE, SOLEA SOLEA (L.), DU GOLFE DE GASCOGNE:
METAMORPHOSE, TRANSFERT DES LARVES VERS LA COTE ET COLONISATION DES NOURRICERIES. (1)
Rachid Amara
Centre IFREMER de Nantes
BP 1049, 44037 Nantes Cedex 01
15
La plasticité chez l'oursin Sphaerechinus granularis en rade de Brest
(Bretagne, France)
Lawrence J. L. Lumingas
Université de Bretagne Occidentale,
Faculté des Sciences et Techniques de Brest
Avenue Le Gorgeu 29 Brest Cedex
20
Etude expérimentale du cycle de vie de Eupolymnia nebulosa (Polychète Terebellidae): reproduction et recrutement benthique.
CHA Jae Hoon
Observatoire Océanologique de Banyuls,
Université P. et M. Curie et CNRS-URA 117,
Laboratoire Arago, 66650 Banyuls-sur-mer, France
23
Dynamique du recrutement et dispersion larvaire de deux Annélides Polychètes Owenia fusiformis et Pectinaria Koreni en régime mégatidal (Baie de Seine Orientale, Manche) .
Eric THIEBAUT
Observatoire océanologique de Roscoff,
Université P. & M. Curie et C.N.R.S. UPR 4601, B.P. 74,
29682 Roscoff cedex, France
27
Etude du transport larvaire chez les Annélides Polychètes dans un écosystème soumis aux courants de marée (Bassin d'Arcachon)
Guillermo MARCANO
Institut de Biologie Marine, Université de Bordeaux
Rue du Professeur Jolyet
33120 Arcachon, France
31
L'écosystème hydrothermal profond et le recrutement
D. Desbruyères et M. Bhaud
35
N°23: Octobre 1995
Pages
Editorial
P. Nival
2
Annonce de table ronde (1): Stations benthiques instrumentées
5
Compte rendu du Cours MAST:
" Ocean Turbulence: a basic environmental property for plankton "
Barcelone 198-29 Septembre 1995
P. Caparroy, A. Grioche et L. Seuront
6
Annonce de table ronde (2):Enrichissement en Atlantique Equatorial
13
L'expérimentation in situ: développement de stations benthiques uinstrumentées
J.C. Duchêne
14
Etude expérimentale de l'impact de facteurs biotiques et abiotiques sur le recrutement, la croissance et la survie des Coques
Cerastoderma edule (Mollusque Bivalve)
X. de Montaudouin
22
Changements à long terme dans les écosystèmes marins
et recrutement des espèces marines: une interface à développer
J.C. Dauvin et G. Bachelet
28
N°24: Avril 1996
Pages
Pelagic fisheries and environmental constraints in upwelling areas:
how much is possible?
V. Faure and P. Cury
2
Biological physical process interactions during larval planktonic life
and settlement in the bay of Banyuls.
Ch. Nozais
13
Etude de la structure génétique des populations
de Sar commun (Diplodus sargus, Linné 1758).
P.Lenfant
18
Compte rendu de réunion:
"International GLOBEC Numerical Modeling Working Group".
F. Carlotti
23
Compte rendu de la Table Ronde : Enrichissement en Atlantique équatorial.
E. Marchal
26
Informations sur l'utilisation des navires côtiers
31
A.F.H. Association Française d' Halieumétrie
43
N°25: Octobre 1996
Pages
Upwellings et zones de rétention.
Claude Roy
1
Enquête bibliographique 1992-1996
10
Modélisation des courants en Baie de Banyuls et influence sur la dissémination larvaire d'Owenia fusiformis.
C. Verdier-Bonnet
30
Des nouvelles de GLOBEC
38
N°26: Mars 1997
Pages
Présentation du Programme SPACC.
C. Roy
1
Compte rendu du Conseil Scientifique du PNDR (8 nov. 1996)
5
Compte rendu de la Table Ronde
"Modélisation de la dynamique des organismes marins"
8
Annonce " XVIIème Séminaire annuel de la Société Française de
Biologie Théorique "
13
Le point sur le programme "Recrutement de l'anchois"
Y. Désaunay
15
Annonces ICES et Programmes Européens
20
Le point sur le programme "Recrutement de la sole"
Y. Désaunay
26
N°27 février 98
Pages
Compte rendu du Conseil des Tutelles du 28 avril 1997
2
Compte rendu du Conseil Scientifique du 10 juin 1997
4
Rapport de Mission 1: 'Recruitment dynamics of exploited marine populations:
physical-biological interactions' and 2: ICES Annual science conference 1997
C. ROY & P. CURY
6
Annonce: GLOBAL OCEAN ECOSYSTEM DYNAMICS:
First Open Science Meeting Paris: 17-20 Mars 1998.
10
Un serveur pour le PNDR
14
Table Ronde 'Génétique et Dispersion': 8/9 janvier 1998
15
Résumés de la table Ronde
17
Calendrier 1998
28
N°28: Juin 1998
Pages
La prochaine ligne droite
1
Compte rendu de la réunion du Comité Scientifique du 12 mai 1998
au Siège de l'IFREMER (Issy les Moulineaux)
3
Rôle de la turbulence dans les interactions entre le zooplancton et ses proies
(phytoplancton et microzooplancton). Modélisaton des processus,
paramétrisation, expériences au laboratoire.
P. Caparroy
6
Compte Rendu de la Table Ronde
"Dispersion larvaire et conséquences sur lavariabilité génétique spatiale et temporelle du recrutement en milieu marin"
Perpignan - les 8 et 9 Janvier 1998
S. Planes
11
The PICOLO Program: from Instability Waves to tuna in the Tropical Atlantic
C.Menkes et col.
16
Mission Internationale COVARE 98:
quantification du recrutement chez les poissons récifaux
V.Dufour
17
Le programme international GLOBEC: Global Ocean Ecosystem Dynamics
F. Carlotti
18
Calendrier - Symposium PNDR Décembre 1998 - Informations pratiques
23
n°29: Décembre 1998
Pages
Un paradigme en examen: Les larves pélagiques
sont-elles faites pour être dispersées?
M. Bhaud
1
Modélisation du cycle de vie d'un poisson:
Conséquences pour la gestion des ressources exploitées
S.Souissi
4
ICES Symposium: Crète Octobre 1998
9
Flatfish Symposium: Texel 1996
12
C I E M (ICES): Conférence scientifique annuelle,
Cascais, Portugal 16-19 septembre 1998
13
Ecologie du recrutement sur les côtes ouest-africaines
G. Vidy
18
Premières données sur la structuration des populations de
Laminaria digitata (Laminariales, Phaeophyceae)
C. Billot, S. Rousvoal, B. Kloareg et M. Valero
20
Compte rendu de l'atelier PNDR du Groupe " Mollusques "
Yves-Marie Paulet
25
Compte rendu de la réunion du groupe de travail PICOLO
F. Ménard et A. Morlière
31
honorbrachios
VFred
honorbrachios
[ 21/03/2005 22:02 ] Nicolas FORISSIER a achevé aujourd'hui, à Rennes, la deuxième phase des travaux du Partenariat National pour le développement de l'industrie agroalimentaire : c'est la dernière des six rencontres en région organisées pour tester, auprès des entreprises, de leurs partenaires économiques et institutionnels et de la profession agricole, les propositions contenues dans les six axes du plan d'action (développement économique, export, innovation, emploi, normes et réglementations, attentes des consommateurs). Ce sont les propositions destinées à soutenir la Recherche-Développement et l'innovation qui ont été débattues aujourd'hui.
Nicolas FORISSIER a dressé un premier bilan de cette deuxième phase, sur le terrain, et fait le point de l'avancée des travaux de son plan d'action pour les industries agroalimentaires.
Il a ainsi annoncé qu'au total depuis juillet 2004, date de début des travaux, près d'un millier d'entreprises ont été associées à la réflexion, au travers des groupes nationaux, des réunions en région et des rencontres avec les chefs d'entreprise lors de plus de 45 déplacements dans les départements.
Les réunions, auxquelles ont participé à chaque fois un grand nombre d'industriels, ont permis d'affiner ou de modifier les propositions d'actions pour répondre le plus précisément possible à leurs besoins. Toutes les mesures formant le Partenariat National auront ainsi été validées par les acteurs mêmes auxquels elles sont destinées.
Compte tenu du calendrier dynamique des travaux, grâce à la mobilisation de tous les acteurs concernés et de ses services, Nicolas FORISSIER a pu annoncer aujourd'hui que près de 90% des mesures du Partenariat national sont désormais arrêtées.
Il a rappelé qu'il s'était engagé dès le début à annoncer le contenu de son plan d'action au fur et à mesure de sa finalisation. Nicolas FORISSIER lance donc maintenant la dernière phase des travaux et devrait présenter le Partenariat national, dans son entier, au mois de mai prochain, sans passer par une étape intermédiaire. Il respecte ainsi son engagement de mettre à disposition des entreprises un plan concret en juin 2005.
M.Low
Festival "Octobre en musique".
CM1, CM2,école Charles Moureux,
Mourenx bourg (64) 2001
L'agent Carotte a une grosse tête
Et une petite barbichette
Mais comme il fait tout à l'envers
Il conduit même, les pieds en l'air
Il se lève à 9 heures
Pour partir à 8 heures
Au lieu du revolver
Il prend un poireau vert
Il est tellement zinzin
Et boum ! la voiture du voisin
Refrain
Il confond le dentiste
Et l'hôtel de police
Il menotte ses amis
Et libère les bandits
Il est tellement foufou
Et aïe ! il se cogne le genou
Refrain
Il est très amoureux
D'une fille des banlieues
Il voudrait l'embrasser
Oui mais comment on fait ?
Elle est tellement jolie
Qu'elle ne veut pas de lui
Refrain
Surfer sur internet [note du copieur BACDSE
Sur sa planche à roulette
Il est vraiment pas net
Un grain sous la casquette
Il est tellement craquant
Et croqu' ! on l'aime tant
Refrain
La fleur parfaite est chose rare. On pourrait passer sa vie à en chercher une, et ce ne serait pas une vie gâchée.
honorbrachios
Le Plan Epargne Entreprise est un cadre juridique et fiscal qui va permettre aux salariés de se constituer un capital en valeurs mobilières avec l’aide de leur entreprise. Dans le réceptacle que constitue le PEE, le salarié peut effectuer des versements volontaires ( son épargne individuelle ), verser le montant lié à l’accord de participation, et/ou tout ou partie de sa prime d’intéressement. Les salariés peuvent également transférer dans le PEE le montant de la participation gérée en CCB, compte courant bloqué, et devenue disponible à l’issue de la période de blocage des 5 ans. En complément des versements volontaires des salariés, l’entreprise peut décider d’abonder. Cette contribution financière de l’entreprise vient ainsi compléter le versement volontaire du salarié dans les limites annuelles prévues : 300% du versement du salarié limité à 2300 euros par an et par salarié, 3450 euros si les sommes sont investies en titres de l’entreprise. Les versements volontaires du salarié sont plafonnés à 25% de sa rémunération annuelle brute. Les fonds investis dans le PEE sont bloqués 5 ans en-dehors des cas de déblocage anticipé. Au-delà de cette période de blocage, le salarié peut laisser ou retirer tout ou partie de son épargne disponible ( les plus-values réalisées étant exonérées d’impôt ).
Les mandataires sociaux et les chefs d’entreprise des sociétés dont l’effectif est compris entre 1 et au plus 100 salariés peuvent bénéficier des PEE, PEI, PPESV. Les versements volontaires effectués par ces nouveaux bénéficaires vers le plan ne peuvent excéder le quart de leur revenu professionnel imposé à l’impôt sur le revenu au titre de l’année précédente.
2- Mise en place
Le PEE peut être octroyé par l’employeur mais il est le plus souvent négocié avec les partenaires sociaux. Si le PEE est mis en place unilatéralement par le chef d’entreprise, le code du travail exige désormais que le projet de règlement du plan soit soumis à la consultation du comité d’entreprise, ou à défaut aux délégués du personnel, au moins 15 jours avant son dépôt auprès de la direction départementale du travail. Tous les salariés de l’entreprise doivent bénéficier du PEE. Une condition minimale d’anciennté dans l’entreprise peut être prévue dans le règlement, dans la limite de 3 mois maximum. Depuis l’adoption de la loi Fabius, les règlements de PEE établis à partir du 20 février 2001 doivent être déposés auprès de la direction départementale du travail.
3- Gestion financière
Les sommes versées dans un PEE ( participation, intéressement, versements volontaires du salarié, abondement de l’entreprise ) sont investies dans un ou plusieurs FCPE ( Fonds Communs de Placement Entreprise ) gérés par une société de gestion spécialisée. Un minimum de connaissance du milieu financier est nécessaire pour aborder le fonctionnement de la gestion financière du PEE. Un rappel de quelques définitions peut être utile :
- Action : titre de propriété négociable d’une fraction du capital d’une société.
- Obligation : titre de créance représentant la part d’un emprunt émis par l’Etat, une collectivité publique ou une société.
- FCPE : les Fonds Communs de Placement Entreprise sont gérés par des sociétés de gestion spécifiquement agréées. Les FCPE ont pour vocation exclusive de recueillir les sommes issues de l’épargne salariale. Les valeurs mobilières - actions, obligations,...- détenues constituent le portefeuille du FCPE dont la valeur évolue selon les cours de Bourse. L’actif net divisé par le nombre de parts permet de calculer la valeur de la part. Lorsqu’un salarié demande le déblocage de ses avoirs, le remboursement s’effectue en multipliant le nombre de parts détenues par la valeur de la part.
4- Observations
L’épargne salariale, c’est avant tout l’argent des salariés. Le salarié peut donc légitimement se poser des questions sur la gestion de son épargne :
- Comment évolue mon épargne ?
- Quel est le degré de risque des placements proposés ?
- Suis-je correctement conseillé sur les FCPE proposés par rapport à des durées d’indisponibilité, par rapport à des objectifs d’épargne à court, moyen ou long terme ?
- Nature, périodicité, clarté de l’information financière fournie par la société de gestion ?
A ce titre, il est important que les partenaires sociaux s’impliquent fortement sur ces sujets et prennent le temps de maîtriser ces mécanismes d’épargne salariale.
Certains critères sont déterminants dans le choix des FCPE et de sa société de gestion.
Choix des FCPE :
Préambule : l’expérience montre l’importance de ne pas cantonner les salariés à placer leur épargne uniquement sur 1 ou 2 fonds. Il faut éviter le choix forcé ( 1 seul fonds proposé ) et expliquer les différences et le nature de chaque FCPE. L’idéal est de présenter et de détailler un choix qui permet d’être présent dans les grandes catégories de FCPE, sans tomber dans la surabondance.
Quatre grandes catégories de FCPE se détachent :
1) Placements Actions :
Ces FCPE comportent un fort taux d’actions ( minimum 75 % ). Ce type de placement permet de profiter au mieux de l’essor des entreprises à forte croissance tant sur la zone euro que hors zone euro. Il peut s’adapter aux salariés qui n’envisagent pas de retrait anticipé immédiat de leurs avoirs et qui recherchent une forte rentabilité. L’évolution de la valeur de la part est influencée par les aléas des marchés financiers. Cette notion de rentabilité est donc également liée à des critères de risque et de volatilité qu’il ne faut pas sous-estimer.
2) Placements diversifiés :
Ces FCPE se composent de manière plus ou moins mixte entre obligations et actions. Il est important de ne pas se laisser abuser par le vocabulaire “diversifié” qui ne signifie pas automatiquement équilibré. Il est essentiel de connaître de manière précise l’orientation de gestion du fonds. Un fonds réellement mixte ( un équilibre dans la répartition actions/obligations ) indiquera clairement dans sa notice d’information un plafond maximum en actions ( 45% ou 50% ). Ce type de placement permet de profiter des opportunités du marché actions en diminuant le risque avec un investissement en produit de taux. L’évolution de la valeur de la part est influencée par les aléas des marchés financiers.
3) Placements de taux d’intérêt :
Ces FCPE comportent en majorité des supports obligataires. Les cours des obligations réagissant aux mouvements des taux d’intérêts sur le marché, il est important de connaître la sensibilité des obligations détenues dans le FCPE.
4) Placements monétaires :
Ces FCPE sont principalement composés de supports à court terme avec des résultats proches de ceux du marché monétaire. Ce type de placement sécuritaire assure une préservation du capital.
Ces quatres catégories de FCPE connaissent des performances très différentes. La proposition de la société de gestion doit permettre une utilisation “ à la carte “ en donnant la possibilité à chaque salarié de répartir son épargne en cours d’année entre les différents placements proposés.
L’Investissement Socialement Responsable - ISR
L’investissement socialement responsable consiste à intégrer des critères sociaux et environnementaux dans les décisions d’investissement des gérants. Le processus de gestion est axé autour de la notion de développement durable des sociétés. Pour sélectionner les valeurs répondant à ces critères, la société de gestion s’appuie sur ses analyses et les notations d’entreprises effectuées par des agences telles que Innovest, Novethic, Ethibel,Vigeo ou Eiris.
Label CIES
Le CIES - Comité Intersyndical de l’Epargne Salariale - a été créé le 29 janvier 2002 par quatre confédérations syndicales : CGT, CFDT, CFTC et CGC. Le label CIES est accordé aux offres d’épargne salariale qui satisfont à des critères d’investissement socialement responsable, de bons rapports qualité/prix, de représentation des salariés, de sécurité.
VFred
Tomb
Charte liée aux forums (A lire et accepter à la première utilisation.)
Pour poster, merci de bien vouloir suivre les points suivants :
* Tu commenceras par regarder si ta question n'a pas déjà été posée par quelqu'un d'autre. Il y a un moteur de recherche fait pour cela.
* Tu chercheras le forum approprié et tu limiteras ton post à ce forum (quoi de plus énervant que de répondre à un message, puis de le voir sans réponse dans un autre forum ?). Les doublons sont systématiquement effacés.
* Tu posteras dans la catégorie la plus précise, cela est mieux pour les autres, mais aussi pour toi ! En effet, prenons l'exemple suivant :
o Tu as une question sur la carte son XXX ? Le mieux est de poster ton message dans le mailing-forum "carte son XXX". Ceci ne limite pas la visibilité de ton message ! Il sera automatiquement visible dans les catégories parentes ("cartes audionumériques" et "informatique musicale" dans cet exemple).
o De plus, les utilisateurs de cette carte XXX qui font une recherche seront ravis de voir toutes les questions propres à cette carte XXX d'un coup d'oeil (c'est le cas puisque l'on peut rechercher les posts par produit).
o Enfin - et c'est l'un des points les plus importants ! - les membres inscrits au mailing-forum de cette carte son XXX recevront ta question par email, ce qui permet d'augmenter encore la visibilité de ta question, et à des personnes concernées car utilisatrices de ce produit.
o A contrario, écrire une question dans "informatique musicale" alors que ta question porte sur la carte son XXX ne rend service à personne et n'augmente pas ta visibilité !
* Tu ne parleras que de choses légales (pas de cracks, sites de warez, proposition de logiciels ou ressources piratés etc). De plus, tout ce qui peux choquer les mineurs est interdit sur les forums.
* Les logiciels sont fournis avec une doc. Souvent elle est en anglais. Mais, si vous la cherchez en français, le distributeur du produit est censé pouvoir vous la fournir. Etant donné qu'il est ambigu de demander une documentation d'un logiciel (avez-vous une licence si vous demandez une doc ?), les demandes de manuel pour les logiciels sont interdits.
* Tu tâcheras d'écrire quelque chose d'explicite, avec le maximum de détails afin que l'on puisse te répondre précisément (On n'est pas devant ton matériel, il nous faut donc le plus d'infos possible !)
* Tu écriras un titre explicite afin de renseigner les membres qui voudraient lire ton post : les messages du type "help", "lisez ceci", "besoin d'aide"... sont tout sauf explicites et ne donnent pas envie d'être lus.
* Tu éviteras les fotes d'ortografe à tou lé maux
* Dans le même esprit, le style SMS est à proscrire. Si tu veux que les gens prennent le temps de te répondre, prends le temps de leur écrire.
* TU N'ECRIRAS PAS TOUT EN MAJUSCULES : Pour l'habitué du net, c'est l'équivalent de crier !
* Tu ne feras pas de publicité sauvage : un forum est un lieu d'échange d'informations, pas de publicité personnelle. Seules sont tolérées les demandes d'avis sur des compos.
* Tu ne posteras pas de petite annonce dans les forums. Il existe une rubrique "petites annonces" faite pour cela.
* En règle générale, la courtoisie est de rigueur. Tout manque de respect est malvenu, vis à vis de personnes ou d'entités quelles qu'elles soient.
* La plupart des forums sont dédiés aux aspects techniques en musique ou en audio, et ne sont pas des zones de bavardage hors sujet (les rares hors sujet tolérés doivent être mises entre les balises prévues à cet effet pour limiter le parasitage qu'ils génèrent dans la lecture du thread). Les sujets abordés dans le pub sont plus larges mais la courtoisie reste de rigueur.
* Tout propos diffamant sera systématiquement supprimmé car le contenu que tu publies demeure de notre responsabilité.
Merci pour ton attention et bon post !
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Il s'agit de mailing-lists spécifiques à chaque produit que vous retrouvez sur le site sous forme de forums.
Ces mailing-forums ont été créés pour permettre à chacun de poser une question à l'ensemble des utilisateurs d'un produit. Pour que les réponses profitent au plus grand nombre, tous les échanges sont archivés sur le site sous la forme d'un mini-forum spécifique à chaque produit.
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Particulièrement dans les mailing-forums, il est interdit d'être hors sujet puisqu'un post entraîne l'envoi d'un email à tous les membres inscrits à ce mailing-forum.
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Agentcarotte
Je pense mériter la plame du post le plus inintéressant. Sauf si ceci
Citation : COMPTE RENDU DE LA TABLE RONDE
INTERACTION PLANCTON-ANCHOIS
DANS LE GOLFE DE GASCOGNE
Chien Qui A Les Crocs...
Dern. Cours: 4.047,18
Heure: 18h01
Variation: 14,18 (0,35%)
Clôture Préc.: 4.033,00
Ouverture: 4.036,26
Var. Journalière: 4.010,67 - 4.051,80
Var. sur 1 an: 3.452,41 - 4.108,00
ANALYSE CLOTURE AOF FRANCE / EUROPE - Hausse prudente, avant la Fed
(AOF) - Comme prévu, la séance a été placée sous le signe de la prudence, dans l'attente de la décision d'Alan Greenspan sur les taux américains ce soir. Aux craintes d'un resserrement de la politique monétaire outre-Atlantique s'ajoute un pétrole toujours cher. Au chapitre microéconomique, plusieurs valeurs à l'image de l'allemand Metro (Xetra: 725750.DE - actualité) et du français Pinguely-Haulotte ont profité de leurs bons résultats annuels. Suite à leur repli de la veille, les indices européens ont affiché un léger rebond, le Cac 40 (Paris: actualité) et le DJ Stoxx 50 ayant respectivement gagné 0,35% à 4047,18 pts et 0,19% à 2862,72 pts.
(pts) (%)
CAC 40* 4047,18 +0,35
DJ STOXX 50 2862,72 +0,19
DAX 30 (Xetra: actualité) 4320,69 +0,57
FTSE (actualité) 100 4937,30 +0,08
DOW JONES (actualité) 10583,05 +0,17
NASDAQ (NASDAQ: actualité) 2011,06 +0,18
NIKKEI (actualité) * 11841,97 -0,32
* Clôture du 22.03.05
Le distributeur allemand Metro a signé l'une des plus fortes hausses du DAX 30 au jour de la publication de résultats 2004 jugés satisfaisants. Le groupe a notamment su tirer parti de ses activités à l'international. Celles-ci ont permis de compenser l'atonie du marché domestique. Résultat, Dresdner Kleinwort Wasserstein a relevé sa recommandation sur la valeur de Conserver à Accumuler avec un objectif de cours porté de 40 à 44 euros.
Avec une plus grande ampleur, les titres du britannique Eidos (London: EID.L - actualité) ont grimpé de plus de 27% à Londres dans la perspective d'un rachat de la société. L'éditeur de jeux vidéo a en effet accepté l'offre qui lui a été présentée par la société d'investissement américaine Elevation Partners au prix de 50 pence par action. Ce montant représente une prime de 27,4% par rapport au dernier cours coté de 39,25 pence. Le conseil d'administration juge la proposition d'Elevation Partners raisonnable et recommande aux actionnaires d'approuver l'opération.
A la Bourse de Paris, le titre Sanofi-Aventis (Paris: FR0000130460 - actualité) a progressé de 2,40% à 64,05 euros, la Cour Fédérale canadienne d'Ottawa ayant accordé au laboratoire pharmaceutique la requête de demande d'interdiction d'une autorisation par le Ministère de la Santé de mise sur le marché d'une version générique de Clopidogrel hydrogénosulfate (comprimés) demandée par Apotex Inc. en 2003. La Cour canadienne a rejeté la contestation du brevet Plavix par Apotex et jugé que les revendications du brevet mises en cause par Apotex sont nouvelles, non évidentes et contrefaites.
Le titre Casino (Paris: FR0000125585 - actualité) , qui avait gagné 3,70% lundi, a poursuivi sa progression (+5,07% à 66,30 euros), dans le sillage de l'annonce de la nomination de Jean-Charles Naouri en tant que PDG de Casino. Du fait des compétences de ce dernier en matière de montages financiers, les investisseurs spéculent sur de nouvelles opérations dans la distribution française.
Sur le SRD, porté par la reprise du marché de la nacelle élévatrice, Pinguely-Haulotte a publié lundi soir des résultats 2004 de très bonne facture : Le résultat d'exploitation a été multiplié par 3, et le résultat net par 5,4. En conséquence, le titre a gagné 2,02% à 8,07 euros et se maintient à ses plus hauts niveaux historiques. Un bureau d'études parisien a revu à la hausse ce matin son conseil sur Pinguely-Haulotte de Conserver à l'Achat avec un objectif de cours relevé de 8 à 9,5 euros.
A l'inverse, le titre Eiffage (Paris: FR0000130452 - actualité) a cédé 2,48% à 90,60 euros. Confirmant l'information propagée tôt ce matin par des sources de marché, BNP Paribas (Paris: FR0000131104 - actualité) a annoncé officiellement avoir placé, auprès d'investisseurs institutionnels en France et à l'étranger, sa participation de 19% dans le groupe de BTP Eiffage, soit 5,66 millions d'actions. Le prix devrait être fixé dans la journée. Les sources de marché ont déjà évoqué un prix compris entre 90,80 et 91,50 euros par action. Cette opération portera le flottant d'Eiffage à plus de 70% et améliorera la liquidité de l'action.
LES CHIFFRES MACROECONOMIQUES
A 8h45, l'INSEE a fait part du fléchissement de 1% des dépenses de consommation des ménages français en produits manufacturés, exprimées à prix constants, corrigées des effets de jours ouvrables et des variations saisonnières, au mois de février, après +2,1% en janvier, révisé de +0,6 point.
Aux Etats-Unis, à 14h30, a été publié l'indice des prix à la production pour le mois de février, ressorti en hausse de 0,4% : une progression légèrement supérieure aux attentes des spécialistes qui tablaient sur +0,3%. Hors énergie et alimentation, cet indice a progressé de 0,1%, en ligne avec les anticipations. L'indice des prix à la consommation pour le même mois sera dévoilé mercredi.
Rendez-vous clé de cette semaine boursière au chapitre macroéconomique, le comité de politique monétaire de la Réserve fédérale américaine fera connaître, à 20h15, sa décision concernant l'évolution des taux directeurs. Le marché, qui anticipe un relèvement du taux principal d'un quart de points à 2,75%, sera particulièrement attentif au discours tenu par la Fed et au maintien du terme "mesuré" pour qualifier le rythme de relèvement des taux.
Sur le marché des changes, l'euro cote 1,3205 dollar à la clôture parisienne.
Bourse de Paris: le CAC finit en hausse de 0,35%, dopé par Sanofi et Casino
PARIS (AFP) - La Bourse de Paris a fini en hausse mardi, le CAC 40 (Paris: actualité) gagnant 0,35% à quelques heures de la décision de la Réserve fédérale américaine (Fed) sur ses taux, dopé par les progressions de Casino (Paris: FR0000125585 - actualité) et Sanofi-Aventis (Paris: FR0000130460 - actualité) .
Le CAC 40 a gagné 14,24 points à 4.047,24 points, proche du plus haut de la séance (4.051,80 points), avec 3,53 milliards d'euros échangés, dont 700 millions d'euros sur Sanofi-Aventis.
Londres a reculé de 0,19%, Francfort gagnait 0,29% et le DJ Euro Stoxx 50 (Zurich: actualité) 0,09%.
Après l'indice des prix à la production en février aux Etats-Unis, légèrement supérieur aux attentes, les regards seront tournés vers la réunion de la Fed (à 19H15 GMT), qui devrait relever ses taux de 25 points de base, selon des analystes.
L'attention sera surtout portée sur le discours du président de la Fed, Alan Greenspan.
"Il y a fort à parier que la banque centrale américaine devrait réaffirmer sa volonté de poursuivre à un rythme modéré la remontée de ses taux", anticipe B-Capital dans une note à ses clients.
"Seul l’abandon ce soir de la référence +rythme mesuré+ risquerait de jeter un trouble et d’effrayer davantage les marchés", estime cette maison de courtage.
Casino (+5,07% à 66,30 euros) a continué de progresser, après une hausse de 3,70% la veille, toujours soutenu par la nomination de Jean-Charles Naouri au poste de PDG et du départ du directeur général Pierre Bouchut. SG Securities a aussi relevé sa recommandation sur le titre à "conserver" contre "vendre" auparavant.
Sa holding Rallye, qui va publier ses résultats annuels ce mardi, a gagné 5,19% à 42,60 euros.
Sanofi-Aventis (+2,40% à 64,05 euros) a profité d'une décision de justice favorable au Canada dans le litige sur son anticoagulant Plavix, qui l'opposait au génériqueur Apotex.
BNP Paribas (Paris: FR0000131104 - actualité) (+0,18% à 54,95 euros), Eiffage (Paris: FR0000130452 - actualité) (-2,48% à 90,60 euros): le placement auprès d'investisseurs institutionnels de la part de 19% de BNP Paribas dans le capital d'Eiffage s'est fait au prix de 91 euros, ont indiqué mardi plusieurs courtiers parisiens.
Renault (+0,52% à 68,05 euros) s'est ressaisi avec le marché dans l'après-midi, effaçant les pertes de la séance suscitées par les résultats de Renault Samsung Motors, qui a accusé une chute de 90% de son bénéfice net à 7,8 milliards de wons (7,7 millions de dollars) en raison de la baisse de la consommation en Corée du Sud.
Bouygues (-1,56% à 30,35 EUR) a reculé à la veille de la présentation par Bouygues (Paris: FR0000120503 - actualité) immobilier de son bilan, des perspectives et de l'analyse du marché.
Air France (Paris: FR0000031122 - actualité) -KLM (+2,50% à 13,92 euros) est couvert à 70% pour ses besoins en pétrole sur son exercice 2005-2006, qui débute le 1er avril, et n'envisage pas d'augmenter sa surtaxe pétrolière pour l'instant, a annoncé mardi son Pdg Jean-Cyril Spinetta.
Le groupe a par ailleurs relevé son objectif de synergies "à l'horizon 2008-2009" à 580 M EUR contre une prévision initiale de 385 à 495 M EUR, a affirmé M. Spinetta dans un entretien à La Tribune.
Pinguely-Haulotte (+2,02% à 8,07 euros) a plus que quintuplé son résultat net part du groupe en 2004, à 16 M EUR.
Le DJ Euro Stoxx 50 en progression de +0,41% à 3 050,58 pts.
(AOF) - A 17h45 heure de Paris, l'indice DJ Euro Stoxx 50 (Zurich: actualité) est en hausse de +0,41% à 3 050,58 points et l'indice DJ Stoxx 50 est en hausse de +0,19% à 2 862,73 points.
Parmi les plus fortes hausses des valeurs de l'indice DJ Stoxx 50, on trouve SANOFI-AVENTIS (+2,40%), ABN AMRO HOLDING (+1,40%), BANCO DE BILBAO VIZCAYA S.A (+1,38%), FRANCE TELECOM (Paris: FR0000133308 - actualité) (+1,24%), et SANTANDER CENTRAL HISPANO (+1,17%). Les plus fortes baisses des valeurs de l'indice DJ Stoxx 50 concernent LAFARGE (Paris: FR0000120537 - actualité) (-0,60%), UNILEVER CVA (-0,59%), DANONE (Paris: FR0000120644 - actualité) (-0,53%), ASSICURAZIONI GENERALI (Milan: GASI.MI - actualité) (-0,44%), et SANPAOLO IMI SPA (-0,43%).
Paris (clôture : 17h30)
L'indice CAC 40 (Paris: actualité) progresse de +0,35% à 4 047,18 points avec un plus haut à 4 051,80 points et un plus bas à 4 010,67 points.
Londres (clôture : 17h30)
L'indice FTSE (actualité) 100 s'inscrit en hausse de +0,08% à 4 937,30 points avec un plus haut à 4 946,80 points et un plus bas à 4 908,50 points.
Bruxelles (clôture : 17h30)
L'indice BEL 20 recule de -0,29% à 3 084,73 points avec un plus haut à 3 096,86 points et un plus bas à 3 071,77 points.
Francfort (clôture : 17h30)
L'indice DAX (Xetra: actualité) progresse de +0,57% à 4 320,69 points avec un plus haut à 4 323,96 points et un plus bas à 4 281,75 points.
Amsterdam (clôture : 17h30)
L'indice AEX 25 gagne +0,17% à 369,67 points avec un plus haut à 370,11 points et un plus bas à 367,20 points.
Le CAC 40 en progression de +0,35% à 4 047,18 pts.
(AOF) - A 17h45, le CAC 40 (Paris: actualité) est en hausse de +0,35% à 4 047,18 points, avec un plus haut à 4 051,80 points, et un plus bas à 4 010,67 points.
En Europe, l'indice DJ Euro Stoxx 50 (Zurich: actualité) est en hausse de +0,41% à 3 050,58 pts.
Le CAC 40 a ouvert ce matin en hausse de +0,08% à 4 036,26 points.
Principaux mouvements
Sur le front des valeurs, parmi les plus fortes hausses du CAC 40, on trouve CASINO GUICHARD (+5,07%), THOMSON (Paris: FR0000184533 - actualité) (+2,70%), SANOFI-AVENTIS (+2,40%), ESSILOR INTERNATIONAL (Paris: FR0000121667 - actualité) (+1,47%), et FRANCE TELECOM (Paris: FR0000133308 - actualité) (+1,24%). Les plus fortes baisses du CAC 40 concernent VINCI (Paris: FR0000125486 - actualité) (-2,03%), BOUYGUES (-1,56%), MICHELIN (Paris: FR0000121261 - actualité) (-1,18%), PINAULT PRINTEMPS (-0,73%), et LAFARGE (Paris: FR0000120537 - actualité) (-0,60%).
A 17h45, les valeurs du CAC 40 les plus actives sont SANOFI-AVENTIS (11 309 726 titres échangés), ALCATEL (Paris: FR0000130007 - actualité) (8 500 660 titres échangés), et FRANCE TELECOM (8 083 318 titres échangés).
Les plus fortes hausses du marché SRD sont emmenées par RALLYE (+5,19%), CASINO GUICHARD (+5,07%), EUROTUNNEL PLC/EUROTUNNEL SA (London: ETL.L - actualité) (+4,35%), SCHLUMBERGER (+3,75%), et THOMSON (+2,70%). Les plus fortes baisses du SRD concernent EURO DISNEY (Paris: FR0000125874 - actualité) (-7,69%), IMERYS (Paris: FR0000120859 - actualité) (-4,00%), PENAUILLE POLYSERVICES (Paris: FR0000053381 - actualité) (-3,25%), AVENIR TELECOM (Paris: FR0000066052 - actualité) (-2,92%), et EIFFAGE (Paris: FR0000130452 - actualité) (-2,48%).
Shirow
VFred
"Il" a participé à la rédaction de la charte, c'est obligé
M.Low
signes simples
signes doubles
parenthèses, guillemets etc
titres et unités
bibliographies
divers
caractères spéciaux
Quelques références bibliographiques
On remarquera qu'en typographie le mot "espace" est au féminin quand il s'agit du caractère :
UNE espace...
Signes simples
Les signes simples sont :
- la virgule ","
- le point "."
- les points de suspension "..."
La règle est : "signe simple, espace simple" ; l'espace se trouve après le signe.
Exemple :
Une virgule, un point. La suite... au prochain paragraphe.
Signes doubles
Les signes doubles sont :
- le point-virgule ";"
- les deux-points ":"
- le point d'exclamation "!"
- le point d'interrogation "?"
La règle est : "signe double, espace double" (une espace avant, une espace après).
Exemple :
Oui ? Non ! Voyez donc : c'est ainsi ; ça ne se discute pas.
On fera attention à ce que le signe de ponctuation ne soit pas rejeté au début de la ligne suivante (utiliser des espaces insécables).
Parenthèses, guillemets etc.
Parenthèses, crochets, accolades
On laisse des espaces à l'extérieur, mais pas à l'intérieur.
Exemple :
Nous dirons donc (sans insister) que l'on doit respecter les Règles de ponctuation (et de typographie).
Exception : pas d'espace entre la parenthèse finale et la ponctuation simple qui suit.
Guillemets droits, à l'anglaise et à la française
Guillemets droits " "
On applique la même règle que pour les parenthèses : on laisse des espaces à l'extérieur, mais pas à l'intérieur.
Exemple :
On consultera les ouvrages suivants : "La typographie pour les nuls" et "Typographie avancée".
Guillemets à l'anglaise “ ”
On les obtient avec la touche ALT et le pavé numérique :
ALT-0147 pour “
ALT-0148 pour ”
(ne marche que sous Windows)
On applique la même règle que pour les guillemets droits : on laisse des espaces à l'extérieur, mais pas à l'intérieur.
Exemple :
On consultera les ouvrages suivants : “La typographie pour les nuls” et “Typographie avancée”.
Guillemets à la française « »
[sous Windows]
On les obtient avec la touche ALT et le pavé numérique :
ALT-174 pour «
ALT-175 pour »
On applique la règle des signes doubles (espaces avant et après sauf s'ils sont suivis d'une ponctuation simple).
Exemple :
On consultera les ouvrages suivants : « La typographie pour les nuls » et « Typographie avancée ».
Tirets
Il existe trois longueurs de tirets, mais la plupart des logiciels ne font pas la différence.
Trait-d'union, mots composés (tiret court)
Pas d'espace :
C'est-à-dire que...
Où est-il ?
Y a-t-il un arc-en-ciel ?
Césure (tiret court)
C'est la coupure en fin de ligne d'un mot trop long. On met un tiret à la fin de la première ligne (sans espace) et rien sur le début de la deuxième.
Exemple :
anticonsti-
tutionnellement
listes (tiret moyen)
Laisser une espace entre le tiret et le mot qui suit :
Noter qu'il existe deux écoles pour les listes :
1) pas de virgule à la fin de chaque élément de la liste, ni de point à la fin.
– un
– deux
2) un point-virgule à la fin de chaque élément de la liste, un point à la fin
– un ;
– deux.
L'on suivra de préférence la règle 2.
Incises (tiret moyen)
Mettre une espace avant et une espace après :
Le brave homme – pas si brave que ça, il faut le dire – ne dit rien.
Dialogues (tiret long)
— Ça va ?
— Oui, et toi ?
— Oui, et toi ?
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Titres et unités
Titres
Mlle - Mme - Mmes - M. (et non Mr) - MM. - Me (maître) - Mgr (monseigneur)
Unités
Laisser une espace :
1,3 cm
1 000 000,00 F
20,6 %
Divers
Citations tronquées
On utilisera (...) ou [...] :
Le brave Martin écrivait « A mon avis (...) tout ceci n'a aucune importance », et il avait raison.
etc.
"etc." = "et cetera" = "et caetera"
On ne met jamais de points de suspension après etc.
Acronymes
On écrit les acronymes en majuscules, avec ou sans points :
On écrira BASIC, COBOL, mais Pascal (qui n'est pas un acronyme),
O.C.D.E. ou OCDE...
Accents dans les titres en majuscules
Il est fortement recommandé de mettre des accents dans les titres
(ce qui peut lever certaines ambigüités) :
ELEVES EN PLEIN AIR = ÉLÈVES EN PLEIN AIR ou ÉLEVÉS EN PLEIN AIR ?
Premier, première, deuxième...
On écrira 1er, 1re, 2e...
Siècles
Le siècle en chiffres romains petites capitales, suivi d'un e minuscule en exposant (ou er pour premier) :
Du Ier s. av. J.-C. au XIXe s. ap. J.-C.
Bibliographies
Plusieurs normes existent. On pourra utiliser la forme suivante :
NOM Prénom, titre, ville, éditeur, année, autres renseignements.
ou
NOM Prénom, article, titre de revue, ville, éditeur, année, autres renseignements.
les derniers champs étant facultatifs.
Exemples :
DUPONT Jules César, Ma vie, Paris, Éditions Dubois, 1950.
DUPONT J.-C., La vie cachée des mouches, Revue des Naturalistes, Paris, InterEdiSciences, 1999, p. 15-16.
Il est également possible de mettre des références à une bibliographie dans un texte.
Exemple :
Voir les ouvrages de J.-C. DUPONT [DUPONT96] [DUPONT97a] [DUPONT97b] pour plus d'information.
Et dans la bibliographie :
[DUPONT96] DUPONT J.-C., Les mouches ont-elles une vie cachée ?, Revue des Naturalistes n°15, Paris, InterEdiSciences, 1996.
[DUPONT97a] DUPONT J.-C., La vie cachée des mouches (I), Revue des Naturalistes n°20, Paris, InterEdiSciences, 1997.
[DUPONT97b] DUPONT J.-C., La vie cachée des mouches (II), Revue des Naturalistes n°21, Paris, InterEdiSciences, 1997.
Caractères spéciaux
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È ou è È
Ê ou ê Ê
Alt-0192 À ou À À
Alt-0194  ou  Â
æ ou æ æ ligature ae
Æ ou Æ Æ ligature AE
Alt-0156 œ ou œ œ ligature oe
Œ ou Œ Œ ligature OE
Alt-174 « ou « « guillemets français ouvrants
Alt-175 » ou » » guillemets français fermants
Alt-0147 “ ou “ “ guillemets anglais ouvrants
Alt-0148 ” ou ” ” guillemets anglais fermants
- - - tiret quart-cadratin = tiret court
Alt-0150 – ou – – tiret demi-cadratin = tiret moyen (tiret d'incise)
Alt-0151 — ou — — tiret cadratin = tiret long (tiret de dialogue)
< < <
> > >
& & &
ou " " Espace insécable
ou " " Espace fine
AltGr-E € ou € € Euro
♠ ♣ ♥ ♦ ♠♣♥♦ Cartes à jouer
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https://www.w3.org/TR/2002/REC-xhtml1-20020801/dtds.html#a_dtd_Latin-1_characters
Quelques références bibliographiques
Imprimerie nationale, Lexique des règles typographiques en usage à l'Imprimerie nationale, Paris, Imprimerie nationale, 1990, ISBN 2-12-081075-0, 70 F.
ARABYAN Marc, Le prêt-à-clicher - Typographie et mise en page, Paris, L'Harmattan, 1997, ISBN 2-7384-4159-9, 75 F.
CFPJ (Centre de formation et de perfectionnement des journalistes), Abrégé du Code typographique à l'usage de la presse, Paris, Les éditions du CFPJ, 1995, ISBN 2-85900-020-8, 75 F.
GUÉRY Louis, Le secrétariat de rédaction : de la copie à la maquette de mise en page, Paris, Les éditions du CFPJ, 1990, ISBN 2-85900-045-3, 320 F.
GUÉRY Louis, Précis de mise en page, Paris, Les éditions du CFPJ, 1995, ISBN 2-85900-116-6, 80 F.
MOMMÉJA Frédéric, GARGANTIEL Jean-Marc, BOUDON Corinne , FAQ fr.comp.pao, 1999, https://www.fdn.fr/usenet-fr/fr.usenet.reponses/faq-pao.html, document diffusé sous forme électronique.
PERROUSSEAUX Yves, Manuel de typographie française élémentaire, Reillanne, Atelier Perrousseaux éditeur, 1997, ISBN 2-911220-00-5, 120 F.
PERROUSSEAUX Yves, Mise en page & impression : notions élémentaires, Reillanne, Atelier Perrousseaux éditeur, 1997, ISBN 2-911220-01-3, 200 F.
http://www.perrousseaux.com : le site Web de l'Atelier Perrousseaux.
RAMAT Aurel, Le Ramat de la typographie, Édition 2005, ISBN 2-922366-03-0, 18 EUR
http://www.ramat.fr : le site Web de l'ouvrage « Le Ramat de la typographie »
En complément sur la typographie, l'écriture et l'image imprimée :
MÉRON Jean, Orthotypographie : Recherches bibliographiques. Préface de Fernand Baudin, Paris, Convention typographique, 2002, 424 p., illustrations. ISBN 2-9517971-1-7, 30,00 EUR
FÉVRIER James, Histoire de l'écriture, Grande Bibliothèque Payot, Paris, Éditions Payot et Rivages, 1995, ISBN 2-228-88976-8, 145,00 F, reproduction de l'édition originale de 1959
ZALI Anne, BERTHIER Annie (sous la direction de), L'Aventure des écritures - Naissances, Paris, Bibliothèque nationale de France, 1997, ISBN 2-7177-2023-5, 28,96 EUR
FLORIO Emmanuel, Guide de la couleur et de l'image imprimée, 1999, http://www.multimania.com/guidcoul/sommaire.html, document diffusé sous forme électronique, 76 p.
La fleur parfaite est chose rare. On pourrait passer sa vie à en chercher une, et ce ne serait pas une vie gâchée.
VFred
... Pardon...
M.Low
Historique
La xylographie regroupe l'ensemble des caractères en bois.
La typographie fut créée au 15e siècle, vers 1450, par Gutenberg. Le procédé de composition des textes est le même qu'en xylographie, à la différence près que les caractères sont en plomb. De par la maîtrise même des techniques de fonderie, les avantages sont une plus grande solidité et une reproduction aisée des caractères. L'autre avantage qui en découle, c'est qu'une fois la matrice du caractère prête, le dessin de chaque caractère sera exactement le même d'une reproduction à l'autre. Alors qu'en xylographie, le dessin du caractère dépendait de l'habileté de la personne chargée de graver le bois.
En xylographie il y a deux inconvénients. Le premier est que l'on doit créer manuellement tous les caractères un à un. Le deuxième est que tous ces caractères s'abîment très vite. Pour ces raisons il était fastidieux de construire un jeu complet de caractères, surtout dans les petites tailles.
Aujourd'hui, la photocomposition puis la bureautique ont détrôné ces anciennes méthodes. Le principe de la photocomposition est la photographie des caractères. À partir d'une matrice en plastique dur, où le caractère est en négatif, on reproduit sur film photographique les différents signes. Sur d'autres photocomposeuses, le principe est le même mais avec un écran composant l'image du caractère à photographier.
Par rapport à la matrice en plastique dur, l'avantage de l'écran est que l'image du caractère est modifiable à volonté (par exemple : réglage à volonté du degré d'inclinaison de l'italique ou modification de la chasse). L'inconvénient est que l'on doit avoir une définition importante de l'image. Ceci afin d'obtenir une bonne qualité de reproduction des caractères. Cette définition doit être au moins de 1 200 dpi (voir plus) sur la plupart des systèmes de photocomposition.
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Les unités de mesures
Au 18e siècle, afin d'uniformiser les unités de mesure et faciliter l'achat et l'échange de matériel, les points didot ont été créé. Au moment de l'introduction du système métrique, on essaya sans succès d'introduire le nouveau système. Le matériel étant déjà très répandu, les points didot ont été conservé.
Aujourd'hui avec l'informatisation de l'imprimerie (photocomposition et bureautique), il y a actuellement un nouvel essai d'introduction du système métrique. Les ordinateurs étant fabriqués principalement par les pays anglo-saxons, les mesures anglaises (inch et pica) sont encore très répandues.
Conversion
En ce qui concerne les points didot, le douze (d.), comme son nom l'indique, représente 12 p.
Mesure anglaise
1 inch = 2,54 cm = 6 picas
1 pica = 12 points
1 inch = 72 points pica
Mesure typographique française
10 cm = 266 points didot
1 cicéro = 12 points
Une taille de 12 points pica signifie que le texte aura une hauteur d'environ 4,23 mm. (2,54 cm par 6 pour être plus précis).
Règles de composition des textes
Composition des dates
Il existe deux façons de composer les dates.
En toutes lettres :
le lundi 10 février 1964
Abrégée :
à la française (jour mois année), 10/02/1964 ou 10/02/64,
à l'américaine (mois jour année), 02/10/1964 ou 02/10/64.
La plupart du temps, on utilise le signe slash (/) comme séparateur de nombres bien que certain clavistes utilisent d'autres séparateurs comme le trait d'union (ou tout simplement l'espace) par exemple.
Il est conseillé de mettre l'année sur 4 chiffres pour éviter toute ambiguïté avec les siècles. Aujourd'hui il est devenu courant de manipuler des différences de plus de cent ans. Les personnes centenaires ou nées dans les années soixante (196x) et qui prendront leur retraite dans les années vingt (202x). (Voir les problèmes de mémorisation des dates en informatique actuellement d'actualité.)
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Composition des nombres
Les chiffres et les nombres
Pour tout nombre supérieur ou égale à 1 000 et dans les cas où ils sont écris en chiffres, le séparateur est maintenant une espace. Exemple : 2 799 814. On ne devra pas séparer en deux ce nombre, à cheval sur deux lignes (cas de mauvaise coupure de texte).
Quand un nombre décimal est inférieur à 1 (ou supérieur à -1), on doit normalement ramener à l'unité en traduisant cette absence par un zéro. Exemple : cette règle a 0,15 mètres de long.
Dans les textes à dominante littéraire, on a tendance à écrire les nombres en toutes lettres, au détriment de ceux écrits en chiffres. À la limite dans la poésie, les lettres sont exigées dans tous les cas.
Mais parfois, faute de place et en particulier dans les titres, l'usage de la presse est beaucoup plus tolérant. C'est ainsi que l'on accepte souvent des nombres écrits en chiffres là où, normalement, ils devraient être en toutes lettres.
Le signe ° des claviers de machines à écrire s'emploie après un chiffre pour marquer les points d'une énumération (1° = primo ; 2° = secundo, etc) mais non pour traduire l'adjectif ordinal qui, lui, s'abrège en lettres (dans la typographie : en lettres supérieures) : 1er = premier ; 2e = deuxième, etc.
Rappelons qu'il ne faut jamais commencer un paragraphe par un adjectif numéral écrit en chiffres.
Pluriel des nombres composés en toute lettre
dix-huit, quatre-vingt-dix-sept, vingt et un ;
cent vingt-deux, trois cent trente et un ;
quatre-vingts mais quatre-vingt-un ;
trois cents mais trois cent dix, ou sept cent mille ;
mille neuf cent quatre-vingt-seize.
Composition des nombres
Nombres à composer en chiffres :
les mesures. Exemple : ce meuble mesure 2 mètres de long. Cet arbre a 1,20 mètres de circonférence. Un cercle comporte 360 degrés. Une masse de 10 kilogrammes ;
les sommes. Exemple : 4 375 F ;
les pourcentages. Exemple : 70 % ;
les dates. Exemple : le lundi 10 février 1964. En 1998 la fête des vendanges a eut lieu les 3 et 4 octobre ;
les heures lorsqu'elles indiquent un moment précis et non une durée. Exemple : le train partit à 14 h 32 ;
les populations. Exemple : la FRANCE compte 50 376 200 habitants ;
les numéros (d'articles de loi, d'immeubles, de pages, etc). Exemple : article 19, alinéa 3, de la loi sur les loyers : p. 17 ; il habite 21 rue Jean-Jaurès ;
les degrés de température, d'alcool, de latitude et de longitude. Exemple : il y avait ce matin -10o. Du vin de 9,5o. Le bateau sombra par 14o 28' 44'' de latitude nord et 37o 12' 46'' de longitude ouest ;
la pagination courante, les paragraphes, les articles (autres que le premier), les versets, les vers. Exemple : rypographie, p. 149, 3 ;
les numéros d'unités militaires, à l'exclusion des armées et des régions. Exemple : cet homme appartient au 67e R.M.I., 10e compagnie, 4e section, 12e groupe ;
les subdivisions d'un texte (1o, 2o, 3o, etc.). Exemple : un compositeur doit avoir : 1o un composteur ; 2o un typomètre ; une paire de pinces, etc ;
les numéros de rues, de départements, de localités ou d'arrondissements. Exemple : 18 boulevard Auguste-Blanqui, 75013 PARIS. L'administration des P. et T. demande que les adresses soient désormais libellées selon ce code à cinq chiffres. Les deux premiers indiquant le numéro du département et les trois suivants, accolés aux précédents sans point ni espace, l'arrondissement ou la localité.
Les nombres à composer en toutes lettres :
les nombres inférieurs à 10. Exemple : cette citation contient cinq mots. Cela fait trois fois que je le répéte.
les nombre employés comme substantifs. Exemple : entrer en sixième.
les fractions d'heures suivant les mots midi et minuit. Exemple : midi vingt, minuit dix-sept.
certaines expressions. Exemple : les années soixante, la guerre de Trente ans.
les dénombrements. Exemple : il y a vingt-quatre personnes dans cette salle. Mais si les dénombrements présentent un caractère de comparaison ou de statistique, pour plus de clarté on les compose en chiffres ordinaires ;
les âges. Exemple : un informaticien de trente-quatre ans (mais dans une simple désignation d'état civil, on écrira : Jean Durand, 34 ans, demeurant à...) ;
les durées. Exemple : j'ai mis quarante-cinq minutes à parcourir cette distance. Cependant, les durées comprenant des fractions s'expriment en chiffres. Exemple : il a couru le 10 000 mètres en 29 mn 55 s 2/10 ;
les quantités autres que celles qui sont exprimées en unités de mesure. Exemple : il y a deux cents candidats.
les cartes à jouer. Exemple : j'avais en main le sept et le neuf de coeur ;
les nombres qui font partie de nom de départements, de voies publiques (sauf s'il s'agit d'une date). Exemple : la rue des Quatre-Frères-Peignot. Le département des Deux-Sèvres. Mais : la rue du 14-Juillet, etc ;
les mots "article premier". Exemple : Article PREMIER. Il est indispensable que chaque enfant de moins de dix ans soit accompagné durant les déplacements dans le département ;
les arrondissements qui ne figurent pas dans une adresse. Exemple : le huitième arrondissement est un quartier résidentiel.
NOTA. Tout nombre entrant dans la composition d'un vers doit, bien entendu, figurer au long.
Chiffres romains
Les nombres à composer en chiffres romains :
Les siècles. Exemple : au début du XXe siècle.
Les lignées royales. Exemple : Louis XIV.
Les tomes, parties, actes, planches, fascicules etc. Exemple : le tome XII de la correspondance de Diderot.
Les numéros de conciles, congrès, salons, jeux Olympiques, etc. Exemple : il était délégué au XVe congrès.
Les numéros des armées et régions militaires. Exemple : la IIIe armée.
Style des chiffres romains :
GRANDES CAPITALES : les tomes, les livres, les titres, les actes (divisions d'ouvrages), les rois ou souverains, les millésimes (seulement dans les pages de titres de certains ouvrages), ainsi que les numéros d'armées et de régions militaires. Exemple : Horace, t. I. Henri IV. Jean XXIII.
PETITES CAPITALES : les chapitres, les scènes, les épîtres, les satires, les odes (subdivisions d'ouvrages), les siècles et les folios des pages de préfaces. Exemple : le XXe siècle est celui des grandes révolutions.
NOTA. Pour exprimer les siècles, quand on ne dispose pas d'une police de caractères comportant les petites capitales :
Composer les chiffres romains en capitales, puis les mettre dans la taille immédiatement inférieure.
Dans le cas ou le texte est destiné à être en texte pur (corps de l'e-mail par exemple), on peut composer les chiffres en toutes lettres, mais jamais en grandes capitales.
Composition des chiffres romains
Valeurs de base : I = 1, V = 5, X = 10, L = 50, C = 100, D = 500, M = 1000.
Un nombre exprimé en chiffres romains ne peut comprendre plus de trois lettres identiques les unes à la suite des autres.
Toute lettre de valeur égale ou inférieure placée à la droite d'une autre s'ajoute à cette dernière.
Exemple : CCC = 300, CLV = 155.
Toute lettre de valeur inférieure placée à la gauche d'une autre s'en retranche.
Exemple : CD = 400, M CM = 1900, XL = 40.
À noter que le chiffre I ne peut se retrancher que de V et de X et que V ne se retranche pas.
Exemple : pour 99, il ne faut pas composer IC, mais XCIX. Pour 1959 : M CM LIX. Pour 95 : XCV.
Quand les nombres traduits en chiffres romains sont importants (millésimes), il est d'usage, pour en faciliter la lecture et la compréhension, de séparer les groupes de lettres par une espace moyenne, au moins en ce qui concerne les milliers et les centaines.
Du point de vue disposition, les chiffres ordinaires s'alignent toujours sur les unités ; alors que les chiffres romains peuvent s'appuyer à droite, à gauche, ou être centrés les uns sur les autres, suivant la présentation la plus souhaitable.
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Les abréviations conventionnelles courantes
Une abréviation qui ne se compose que des premières lettres du mot se termine par un point :
référence = réf.
Une abréviation qui se termine par la dernière lettre du mot ne comporte pas ce point final :
boulevard = bd
L'abréviation des groupes de mots ne comporte pas de point final :
s'il vous plaît : SVP ou svp
Il y a cependant des exceptions consacrées par l'usage.
Les abréviations suivantes sont de rigueurs.
Titres de civilité au singulier :
A.I. Altesse Impériale
A.R. Altesse Royale
Dr Docteur
M. Monsieur (et non pas par Mr.)
Me Maître
Mgr, Mgr Monseigneur
Mlle, Mlle Mademoiselle
Mme, Mme Madame
S. Em. Son Éminence (le cardinal)
S. ou St Saint
S.A.I. et R. Son Altesse Impériale et Royale
S.E. ou Exc Son Excellence
S.M. Sa Majesté
S.S. Sa Sainteté, sécurité social
Ste Sainte
au pluriel :
Drs Docteurs
LL. EEm Leurs Éminences
LL. MM. Leurs Majestés
LL. AA. Leurs Altesses
Mes Maîtres
Mlles, Mlles Mesdemoiselles
MM. Messieurs
Mmes, Mmes Mesdames
NN. ss. Nos seigneurs
Remarques :
Ces abréviations ne s'utilisent que si le mot à abréger est employé à la troisième personne et suivi du nom propre ou de la qualité de ceux qui sont désignés. Exemple : Mlle Denise Durand, M. le président. Elles ne s'utilisent pas lorsqu'on s'adresse à la personne. Exemple : bonjour, mademoiselle ; lorsqu'on parle de quelqu'un sans employer son nom propre ou sa qualité. Exemple : j'ai rencontré madame votre mère ; lorsqu'ils constituent la seule désignation de la personne dont on parle. Exemple : ce monsieur est déjà venu ce matin.
En France, et quand on parle de Français, on n'emploie l'abréviation "Dr" que pour les docteurs en médecine. Mais lorsqu'on désigne leur profession, il faut dire "un médecin" et non pas "un docteur". Exemple : il est allé chez son médecin, le Dr Durand.
Unités de mesure :
A ampère
a are
ca centiare(s)
cg centigramme(s)
ch cheval-vapeur
cl centilitre
cm centimètre
D angle droit
dal décalitre(s)
dam décamètre(s)
dB décibel(s)
F franc
g gramme
gr grade
h heure
ha hectare
hg hectogramme(s)
hl hectolitre
hm hectomètre(s)
j jour(s)
kg kilogramme(s)
km kilomètre(s)
kW kilowatt(s)
kWh kilowatt(s)-heure
l litre
m mètre
m2 mètre carré
m3 mètre cube
mbar millibar(s)
ml millilitre(s)
mm millimètre
mn minute (temps), le simple signe apostrophe désigne l'unité d'angle la minute
m.s-1 mètre(s) par seconde
q quintal, quintaux
s seconde (temps), le double apostrophe désigne l'unité d'angle la seconde
st stère
t tonne
V volt
W watt
° degré
N.B. Ces abréviations ne prennent pas la marque du pluriel.
Remarque, les unités de mesure ne s'abrègent pas :
quand elles ne sont accompagnées d'aucun chiffre. Exemple : une course de plusieurs kilomètres ;
quand le nombre qui les accompagne est composé en toutes lettres. Exemple : il a couru pendant cinq minutes ;
quand le nombre qui les accompagne ne comporte ni décimale, ni fraction. Exemple : un tonneau de 110 litres.
Divers :
% (ou p. 100) pour cent
0/00 (ou p. 1000) pour mille
& et
© copyright
1er premier
1ers premiers
1re première
1res premières
2e deuxième (Le terme second est utilisé quand l'énumération s'arrête à deux ; sinon on utilise deuxième quand l'énumération va au delà. Exemple : deuxième République, seconde mi-temps)
2es deuxièmes
3e troisième
3es troisièmes
1o primo
2o secundo
apr. J.-C. (ou apr. J-C) après Jésus-Christ
arr. arrondissement
art. article (ne s'abrège pas lorsqu'il s'agit de l'article premier de statuts ou de titres de lois)
av. avenue
av. J.-C. (ou av. J-C) avant Jésus-Christ
BAT bon à tirer
BT basse tension
bdc bas de casse (minuscules)
B.D. bande dessinée
B.F. basse fréquence
boul., bd boulevard
cap. capitale (d'un pays)
CAP capitale (majuscule)
c.-à-d. (ou c-à-d) c'est-à-dire
C.D. corps diplomatique
cf confer
dép. département
chap. chapitre
Cie compagnie
d. douze, douzes
do dito
E. Est
env. environ
etc. et caetera (pas de points de suspension ni de répétition)
ex. exemple
f. feuillet, feuillets
F.M. modulation de fréquence
fém. féminin
FFos folios
fg faubourg
fig. figure
Fo folio
G.M.T. Greenwich mean time (temps universel)
hab. habitants
H. ou haut. hauteur (H est le symbole de l'hydrogène)
HT haute tension
ht hors taxes
ibid. ibidem
id. idem
in-40 in-quarto
in-8 in-octavo
introd. introduction
J.-C. Jésus-Christ
l. ou larg. largeur (l veut dire litre)
L ou par long. longueur
masc. masculin
MT moyenne tension
N. Nord
N.-D. Notre-Dame
N.-S. J.-C. Notre-Seigneur Jésus-Christ
NB (ou N.B.) nota bene
N.D.A. Note de l'auteur
N.D.L.R. Note de la rédaction
No numéro
Nos numéros
O. Ouest
p. page(s), point, points
page ne se répète pas : mettre p. 127 et 128
pdg président directeur-général
pp. pages
p.i. par intérim
p.o. par ordre
P.-S. (ou P-S ) post-scriptum
P.-V. procès-verbal (contravention)
P.M.E. petites et moyennes entreprises
P.N.B. produit national brut
par. (ou §) paragraphe (ne se répète pas : § 4 et 5, idem que pour page)
Q.G. quartier général
Q.I. quotient intellectuel
r. rue
R.N. route nationale
R.S.V.P. (ou RSVP) répondez, s'il vous plaît
ro recto
s. siècle
S. Sud
S.A. (ou SA) Société anonyme
S.A.M.U. service d'aide médicale d'urgence
S.A.R.L. (ou SARL) Société à responsabilité limitée
SGDG (ou sgdg) sans garantie du gouvernement
s.l.n.d. sans lieu ni date
suiv. suivant(e)(s)
suppl. supplément
S.V.P. s'il vous plaît
SI système international (d'unités)
sté (ou Sté) société
t. tome
tél. (ou Tél.) téléphone
TTC toutes taxes comprises
TVA taxe sur la valeur ajoutée
T.H.T. très haute tension
T.S.F. télégraphie sans fil
T.S.V.P. tournez, s'il vous plaît
TU temps universel
v. voir, voyez
V.I.P. Very Important Person
vo verso
vol. volume
Points cardinaux :
NE, NO, SE, SO, NNE, NNO, SSE, SSO, NNE-SSE, etc.
Il convient de citer également les symboles qui, contrairement aux abréviations, ne comportent ni points abréviatifs, ni supérieurs.
' minute (angle)
'' seconde (angle)
''' tierce
0 degré (zéro supérieur)
0C degré Centigrade (25 0C)
0F degré Farenheit (64 0F)
Enfin, en ce qui concerne les décorations les plus usuelles, leurs abréviations sont utilisées uniquement après un nom de personne et principalement dans les cartes de visite et les listes de noms.
Les sigles
Dans un sigle ou une abréviation, toutes les lettres se composent en majuscules et sont suivies par des points. Exemple : S.N.C.F., R.E.R., etc.
Par contre, s'ils se prononcent aisément (Assedic, Euratom, Inserm, Unesco), les sigles ne comportent ni séparations ni points.
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Les signes de ponctuation
Utilisation des signes de ponctuation
Les phrases se terminent par un point final, un point d'exclamation, un point d'interrogation ou des points de suspension.
La virgule sépare les différentes parties d'une proposition ou d'une phrase sauf quand elles sont réunies par les conjonctions et, ou, ni. Elle fragmente les énumérations et isole les mots mis en apostrophe. On ne met pas de virgule devant une parenthèse, un tiret ou un crochet.
Le point virgule scinde différentes propositions de même nature.
Le deux-points introduit une explication, une citation, un discours ou une énumération.
Les points de suspension sont au nombre de trois.
Les guillemets "informatiques" sont si simplifiés qu'ils empêchent de respecter les règles typographiques françaises traditionnelles. Le point final se met avant ou après le guillemet fermant en fonction du contexte, il n'est pas doublé.
Les parenthèses ajoutent une précision dans la phrase.
Les crochets signalent une précision à l'intérieur d'une parenthèse ou d'une coupure dans une citation.
Utilisé seul, le tiret définit chaque terme d'une énumération ou le changement d'interlocuteur dans un dialogue. Utilisés par paires, ils s'utilisent comme les parenthèses. En fin de phrase, le second tiret est supprimé avant le point final.
Les énumérations
elles sont introduites par un deux-points ;
les énumérations de premier rang sont introduites par un tiret et sont terminées par un point-virgule, sauf la dernière par un point final ;
les énumérations de second rang sont introduites par un tiret décalé et se terminent par une virgule.
Les titres et intertitres
Quand la structure des lignes permet d'en comprendre le sens, on ne met pas de point, de virgule ou de point virgule.
Positionnement des espaces
Une espace avant mais pas après le signe :
Parenthèse ouvrante... (
Accolade ouvrante... {
Crochet ouvrant ]
Tirets de dialogues ouvrant _
Ou ce tiret de dialogue ouvrant -
Guillemet ouvrant "
Une espace fine insécable avant et une espace normale après le signe :
Deux points :
Point d'exclamation !
Point d'interrogation ?
Point virgule ;
Une espace après mais pas avant le signe :
Parenthèse fermante )
Accolade fermante }
Crochet fermant ]
Tirets de dialogues fermant _
Ou ce tiret de dialogue fermant -
Guillemet fermant "
Point de fin de phrase .
La virgule ,
Les trois points de suspension ...
Les tirets de coupures de mots en fin de ligne -
Pas d'espace ni avant ni après :
Apostrophe '
Trait d'union -
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Les coupures
Coupures de mots
Quand un mot ne rentre pas dans une ligne, il passe à la ligne suivante. Ce qui laisse parfois des espaces plus importants soit entre les mots dans le cas d'un paragraphe justifié, soit en début ou en fin de ligne dans le cas d'un texte margé à droite ou à gauche.
Dans le dernier cas, cela donne une irrégularité dans les différentes longueurs des lignes (au premier coup d'œil on a l'impression que l'on a affaire à deux paragraphes distincts). Ce qui est inesthétique quand la répartition des espaces est trop importante d'une ligne à l'autre.
Régles de coupures des mots
On coupe le mot en deux en insérant à la fin de la ligne le plus possible de syllabes.
On coupe toujours un mot entre deux syllabes. Une syllabe ne doit jamais être scindée en deux.
La première ou la dernière lettre d'un mot ne peut jamais se retrouver seule en fin ou début de ligne. Ce qui signifie que les mots de moins de quatre lettres ne seront donc jamais coupés.
Exemples de bonnes coupures de mots :
cou-pures, pour-tant, tou-jours, aussi-tôt...
Exemples de mauvaises coupures de mots :
co-upures, a-vant, aprè-s, po-ur, pou-rtant...
Quelque fois aussi d'un point de vue phonétique, bien qu'au niveau de la syntaxe la coupure soit correct :
Je suis con-tent...
Surtout si cette coupure se retrouve en fin de page, je vous laisse deviner pourquoi elle est incorrect d'un point de vue phonétique le temps de tourner la page.
Comme on peut le constater, certaines coupures, bien qu'apparemment correctes d'un point de vue de la syntaxe, peuvent carrément modifier le sens du début de la phrase si elle n'est pas lue d'une seule traite.
Nombre de coupures
On ne doit pas avoir plus de 3 coupures de mots consécutives.
Coupures de textes
Dans un groupe de mots composés, ou un mot suivi d'un signe de ponctuation où il y a une espace avant, les espaces doivent rester insécables.
Exemples de bonnes coupures de textes :
Début de paragraphe. Bonne coupure
de textes. ...texte... Etc. Fin
de paragraphe.
Exemples de mauvaises coupures de textes :
Début de paragraphe. Quelle heure est-il
? Idem pour les autres signes de ponctuations. Henri
IV. M. DUPONT et Mme
DURAND vont à la pêche. Etc.
La vitesse de la lumière est de 300
000 km par seconde.
La distance terre lune est de 380 000
km.
Dans ces derniers exemples, il faut prendre l'habitude de systématiquement mettre des espaces insécables pour être sûr qu'il n'y aura pas de mauvaises coupures à cet endroit.
La mise en page
Définition
La mise en page ne consiste pas seulement à faire des pages d'égale hauteur ; il faut se soumettre à certaines règles qui, quoique simples, compliquent parfois la tâche du maquettiste.
Les titres et sous-titres ne devront jamais se retrouver en bas de bas de page. Un sous-titre ne pourra être en pied de page que s'il est suivit d'au moins deux ou trois lignes de texte.
Il faut impérativement faire passer les titres à la page suivante. Il est préférable de laisser une ou deux lignes creuses en fin de page.
Juste avant le titre il faut insérer un vrai saut de page, surtout pas de retour chariot. Si ultérieurement, pour une quelconque raison, on modifie la mise en page ou la composition du texte (marges, ajout ou suppression de texte par exemple), on est sûr que le titre restera en début de la page suivante.
S'il ne reste plus que quelques lignes à composer, il est préférable d'avoir une page plus longue de deux ou trois lignes plutôt que de commencer une autre page. Pour cette raison, il est indispensable, à la composition du texte, de ne jamais remplir totalement les pages (toujours laisser un jeu d'une ou deux lignes). Arrivé à l'atelier de composition et d'impression, le texte doit normalement être entièrement rédigé, mais il faut toujours savoir parer aux imprévus et aux changements de dernière minute.
Les titres et sous-titres doivent être entourés de blancs aussi constants que possible et toujours plus important avant qu'après. Il faut se méfier de cette particularité au moment où des corrections d'auteur peuvent bouleverser les blancs initiaux.
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Divers
Signes divers
Les signes divers sont les signes qui ne font pas partie des caractères usuels (signes de ponctuation, lettres, chiffres, etc). Ce sont, par exemple : la croix d'évêque, l'astérisque, le signe %, etc.
Les vignettes sont des éléments décoratifs qui peuvent être utilisés isolément ou en groupe pour former des encadrements ou des bordures.
Les thèmes des vignettes sont variables (géométriques fantaisies ou modernes, tirés de la flore ou de la faune par exemple). On peut combiner plusieurs thèmes.
Les filets
Les filets sont de simples traits entrant dans la composition des tableaux et éventuellement dans les travaux en multicolonnage.
Il y a de très nombreuses sortes de filets. Les plus répandus existent ordinairement dans les épaisseurs allant de 1 à 6 points. Pour mémoire, ce sont les filets :
maigre 3 p. ;
quart-gras 3 p. ;
demi-gras 3 p. ;
mat 3 p. ;
double-maigre 3 p. ;
de cadre 3 p. ;
de cadre 6 p. (oeil de 4 p.) ;
de cadre 6 p. (plein oeil).
Les filets dits "fantaisie" et qui peuvent présenter les aspects les plus divers ont des épaisseurs allant parfois jusqu'à 24 points, voire même 36 et 48 points.
Les paragraphes
Il existe quatre principaux modes de présentation du texte dans les paragraphes :
En texte appuyé à gauche
(Composition des vers par exemple). Le mode margé à gauche (aussi appelé fer à gauche en imprimerie). C'est le traditionnel mode de composition dactylographique, le texte est en dent de scie, aligné à gauche. Les espaces auront tous la même chasse entre les mots.
En texte appuyé à droite
Le mode margé à droite (aussi appelé fer à droite en imprimerie). Idem que pour le mode précédent, sauf que le texte est aligné à droite et que les dents de scie se retrouvent à gauche.
Le mode centré
Les espaces auront tous la même chasse entre les mots, mais des blancs sont répartis à gauche et à droite de chaque ligne pour que le texte soit centré au milieu par rapport au reste du texte.
Le mode justifié
Des espaces seront répartis entre les mots pour que les lignes aient toutes la même longueur.
Il existe aussi d'autres façon de composer les lignes.
En pavé ou en bloc
Toutes les lignes ayant la même longueur. Il n'y a aucune indentation et toutes les lignes sont justifiées, même la dernière. Dans ce cas il est souhaitable de laisser un interlignage plus important entre chaque paragraphe. Ce qui permet de mieux distinguer les différents paragraphes.
En sommaire simple
La première ligne pleine, les suivantes renfoncées d'au moins un cadratin. Le sommaire simple ne peut se concevoir que s'il y a plus de deux lignes.
En figure géométrique
Les lignes forment entre elles une figure géométrique régulière (cercle, losange, etc.).
En alinéa
La première ligne étant renfoncée d'au moins un cadratin (espace égale au corps du caractère), les suivantes pleines. Cette espace supplémentaire en première ligne est appelé indentation. Si on utilise le mode de composition du texte justifiée, on compose toujours la dernière ligne en mode margé à gauche. Sinon cette dernière ligne sera composée dans le mode utilisé par les autres lignes du paragraphe.
En sommaire brisé ou style lapidaire
Toutes les lignes justifiées les unes au milieu des autres.
En cul-de-lampe droit
Les lignes d'une longueur décroissante dont l'ensemble forme un triangle la pointe tournée vers le bas.
En cul-de-lampe renversé
Disposition inverse de la précédente ; les lignes forment un triangle dont la pointe est tournée vers le haut.
En allégorie
Les lignes affectent la forme d'une allégorie quelconque (silhouette d'un objet, d'un animal, etc.).
En ce qui concerne la longueur de l'indentation, bien qu'il n'y pas de règles précises elle varie généralement du double cadratin au cinquième de la longueur des lignes composant le paragraphe. Dans les petites justifications (inférieures à 5 cm), l'indentation doit être d'un cadratin environ. En plus de cela, on peut laisser un interlignage légèrement plus important entre les paragraphes, ce qui permet de pouvoir mieux distinguer les paragraphes.
L'interlignage
L'interlignage est la distance séparant deux lignes. Il existe deux façons d'exprimer l'interlignage. L'interligne réel qui se situe entre le pied d'une ligne et la tête de la ligne suivante, et l'autre interlignage qui exprime la distance entre le pied d'une ligne et le pied de la ligne suivante. Cette interligne qui est donc la somme de l'interligne réelle et du corps des caractères composant cette ligne.
Partant d'une épreuve imprimée et connaissant le corps de composition, on peut rapidement évaluer l'interlignage. Pour cela, il est nécessaire de se munir d'un typomètre.
Si l'on a à sa disposition au moins treize lignes de textes, l'opération est simple : poser le typomètre, au point zéro, sur le pied des lettres courtes bas de casse de la première ligne ; lire la graduation correspondant au pied des lettres courtes bas de casse de la troisième ligne.
À moins d'un interlignage sur demi-point, ce qui est extrêmement rare, cette graduation doit correspondre à un nombre de douzes et équivaut à la valeur de douze intervalles.
Le nombre de douzes lu au typomètre représente en points la valeur d'un intervalle (une ligne plus une interligne) et, puisque le corps est connu, il est facile, par différence, de connaître l'interlignage.
Exemple :
De 1re à 13e ligne = 14 douzes ;
1 intervalle = 14 points ;
S'il s'agit, par exemple, de corps 12, l'interlignage est de 14-12 = 2 points
Quand on n'a pas treize lignes, en prend 7 (soit 6 intervalles) et multiplier le résultat par 2 avant de tenir le raisonnement énoncé plus haut.
S'il n'y a pas 7 lignes, en prend 5 (4 intervalles) et multiplier le résultat par 3.
Faute d'avoir 5 lignes, en prend 4 (3 intervalles) et multiplier le résultats par 4.
Enfin, si l'on n'a que trois lignes (deux intervalles), on multiplie par 6 ou l'on divise par 2.
Pour un interlignage normal :
Sur 13 lignes, la graduation lue tombe normalement sur 12 points ;
Sur 7, la graduation peut être sur 6 ou 12 p. ;
Sur 5, la graduation peut être 4, 8 ou 12 p. ;
Sur 4, la graduation peut être 3, 6, 9 ou 12 p. ;
Sur 3, la graduation peut être 2, 4, 6, 8, 10 ou 12 p.
À noter que, pour la précision du résultat, on a toujours intérêt à prendre le plus grand nombre possible de lignes, sans qu'il soit toutefois nécessaire de dépasser treize.
L'approche
L'approche est le talus doublement latéral qui sert à isoler, dans un caractère ordinaire, une lettre de ses voisines.
Elle se règle, pour le bas de casse, sur l'm et l'o et, et pour les grandes capitales, sur l'h et l'o.
Il est évident que l'approche sera tenue un peu plus faible dans les lettres arrondies (c, e, o, b, d, p, q) ainsi que dans les deux lettres aux angles fuyants (v, w, x, y).
Malgré ces précautions, on est amené parfois, surtout dans les grandes capitales, "à rectifier les approches". Cette rectification s'impose particulièrement lors de la juxtaposition d'un A et d'un W, ou d'un T, ou d'un Y, ou d'un P, ou d'un F. On l'obtient, soit en jetant des espaces supplémentaires entre les autres lettres de la ligne, soit en encochant les lettres ci-dessus énumérées.
AVIS AVIS AVIS
tel espacé encoché
Certains caractères écritures n'ont pratiquement pas d'approche puisque les lettres sont liées les unes aux autres comme dans l'écriture manuelle.
Mise en page des caractères
Style de caractères
Il existe cinq principaux styles de caractères couramment employés :
romain. Les caractères sont droit (pas d'inclinaison) ;
maigre. Les traits de chaque caractères sont très fins ;
gras. Les caractères sont épais ;
souligné. Trait placé au pied de chaque caractère et ayant généralement la même chasse que le caractère ;
italique. Les caractères sont penchés à droite. Sur quelques systèmes de photocomposition en imprimerie, on peut régler l'angle d'inclinaison et même faire pencher les caractères à gauche.
Sur certain logiciels de P.A.O. il existe d'autre styles comme les caractères ombrés, en relief, large ou étroit par exemple.
On peut mélanger plusieurs styles sur un caractère.
Emploi de l'italique
Le rédacteur demandera en italique les mots ou expressions qui doivent obligatoirement être imprimés dans ce caractère. Dans un texte manuscrit ou dactylographié, l'italique est indiqué par l'utilisation du souligné droit (le gras est demandé par un souligné tremblé).
Les principaux cas de rigueur sont les suivants :
les titres d'oeuvres littéraires ou autres. Exemple : Madame Bovary, Introduction à la médecine expérimentale. La grande illusion, ou les titres de journaux et revues : La Gazette, L'Ami des bêtes. On notera que l'italique exclut les guillemets avant et après ces titres.
les noms de bateaux ou d'aéronefs, ainsi que les dénominations commerciales. Exemple : France, un Mystère IV, Au Bon Marché ;
les mots ou expressions en langue étrangère, ainsi que les néologismes et termes familiers. Exemple : statu quo, clearing, être au parfum.
Remarques
Lorsqu'on cite, conjointement avec le titre d'une publication, celui d'un article qui en est extrait, on ne met pas le titre d'article en italique mais entre guillemets. Exemple : voir, dans le Mercure de France, l'étude de M. Jean Fabre intitulée : "Un grand amour de George Sand".
Dans un texte entièrement composé en italique, on fera venir en romain les mots soulignés d'un trait droit.
Emploi des capitales
L'utilisation des capitales est soumise, en français à des règles précises mais souvent transgressées, notamment sous l'influence de l'anglais et des habitudes de la publicité.
On met une capitale :
au premier mot de chaque phrase, ainsi qu'après les points d'interrogations, d'exclamations et de suspension (quand ceux-ci terminent une phrase) ;
aux noms propres, les patronymes, les prénoms, les surnoms et aux noms de lieux ;
au commencement d'une citation. C'est-à-dire après les guillemets ouvrants ;
à des mots allégoriques. Exemple : Amour ; au nom des institutions ayant un caractère unique. Exemple : l'Académie pour l'Académie française ;
à certains noms communs employés dans un sens absolu. Exemple : l'Église (catholique), le Trésor, l'État, etc ;
à la première lettre des titres d'ouvrages littéraires ;
aux noms des points cardinaux lorsqu'ils indiquent une région. Exemple : il est né dans le Sud-Ouest : mais pas lorsqu'ils indiquent une direction. Exemple : Le vent froid vient du nord ;
aux noms des peuples lorsqu'ils désignent leurs habitants et ont une valeur de substantif. Il faut donc écrire : un Français, un Allemand, un Parisien, etc, quand on désigne des personnes. En revanche, on écrira : le français, l'anglais, le parisien, quand il s'agit de la langue ou de la manière de parler. On écrira de même : la politique française, le point de vue allemand, les monuments parisiens, puisqu'on se trouve alors en présence d'adjectifs.
On ne met pas de capitale :
après deux-points, à l'intérieur d'une phrase, ni après un point-virgule ;
aux adjectifs accompagnant un nom géographique. Exemple : l'Afrique noire, l'Amérique latine ;
aux noms de jours et de mois. Exemple : la fête est fixée au mercredi 6 avril ;
aux divisions administratives, aux juridictions civiles et militaires. Exemple : il va passer en cour d'assises. Elle est originaire du département ;
aux noms des religions et des doctrines, aux noms de leurs adeptes, au nom désignant les membres d'un parti ou d'un ordre. Exemple : le protestantisme, un capitaliste ;
aux adjectifs saint et sainte. Exemple : les apôtres saint Pierre et saint André. Mais on doit mettre une capitale lorsqu'ils entrent dans une expression ayant le caractère d'un nom de monument ou d'institution et, bien entendu, lorsqu'ils font partie intégrante d'un nom de personne. Exemple : l'église Saint-Augustin, la ville de Saint-Omer, le merveilleux massif de la Sainte-Baume, l'ordre du Saint-Sépulcre, les feux de la Saint-Jean, Sainte-Beuve. L'abréviation "St" s'utilise exclusivement pour les noms de communes.
Voyelles accentuées
On met l'accent sur les capitales.
Exemples de composition
Organismes d'État
l'académie de Reims mais l'Académie de médecine
l'université René Descartes, l'université de Toulouse
la préfecture de Haute-Savoie
le Muséum d'histoire naturelle
le Collège de France
la Commission européenne
les Nations unies
Titres
le ministre de l'Éducation nationale
M. le professeur Morel
La fleur parfaite est chose rare. On pourrait passer sa vie à en chercher une, et ce ne serait pas une vie gâchée.
Number-6
Je recherche des informations sur le nombre d'or.
VFred
Citation : en cas d'agression sexuelle évidente ou suspectée, les organes génitaux internes doivent être extraits "en bloc" en même temps que les organes génitaux externes, le rectum et l'anus, pour être ensuite disséqués. Cette dissection sera précédée de prélèvements par écouvillonnage au niveau des différents orifices et cavités.
Chien Qui A Les Crocs...
Tomb
VFred
C'est très long mais pas chiant du tout.
M.Low
Citation : Bonjour,
Je recherche des informations sur le nombre d'or.
Le nombre d'or est la solution positive de l'équation :
, c'est-à dire le nombre
Les 100 premières décimales du nombre d'or sont :
1,618 033 988 749 894 848 204 586 834 365 638 117 720 309 179 805 762 862 135 448 622 705 260 462 189 024 497 072 072 041
Le record de calcul des décimales date de 1998 et a été réalisé par Simon Plouffe : 10 000 000 décimales (29 minutes de calcul). (petit joueur, entre nous soit dit)
La fleur parfaite est chose rare. On pourrait passer sa vie à en chercher une, et ce ne serait pas une vie gâchée.
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