Comment c dead!
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Anonyme
521397
Sujet de la discussion Posté le 02/07/2003 à 21:10:47Comment c dead!
Non?
Sibmol
10753
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
9001 Posté le 04/10/2007 à 12:14:44
0
Lgg
6971
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
9002 Posté le 18/10/2007 à 22:23:33
Ouh pinaize...
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Anonyme
18168
9003 Posté le 26/10/2007 à 21:08:27
0
Sibmol
10753
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
9004 Posté le 27/10/2007 à 01:02:12
Dvt
5880
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
9005 Posté le 27/10/2007 à 01:48:25
Y en encore qui bougent par là !


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Anonyme
3446
9006 Posté le 11/11/2007 à 13:20:21
Déterrage de thread dead
parce que c'est bigrement dead par ici
parce que c'est bigrement dead par ici
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Sibmol
10753
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
9007 Posté le 11/11/2007 à 14:15:41
Anonyme
3446
9008 Posté le 18/11/2007 à 11:29:02
Service de réanimation de thread dead, présent 
(voix radio on)
chef, je pense qu'il n'y a plus d'espoir, c'est dead içi
(voix radio off)

(voix radio on)
chef, je pense qu'il n'y a plus d'espoir, c'est dead içi
(voix radio off)
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Ostràl
1736
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
9009 Posté le 18/11/2007 à 23:52:47
C'est bizzarement dead en ce moment ?nan!
y'a une épidémie et j'suis pas au courant?
faut que j'allume la télé!
y'a une épidémie et j'suis pas au courant?
faut que j'allume la télé!
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::::::::::désolé mais j'suis pas un cas isolé, et j'connais tout plein d'autres potes à camisoler::::::
Anonyme
8427
9010 Posté le 23/03/2008 à 19:08:49
C'est bien dead là quand même 
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Sibmol
10753
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
9011 Posté le 23/03/2008 à 22:45:24
Anonyme
3446
9012 Posté le 24/03/2008 à 07:53:48
Zone désaffectée ici:
c'est une dead zone

c'est une dead zone

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Martis
15680
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
9013 Posté le 25/03/2008 à 23:05:45
Dead comme gilardi
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Anonyme
30851
9014 Posté le 01/04/2008 à 20:27:05
On est au cœur du problème !
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Ostràl
1736
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
9015 Posté le 01/04/2008 à 23:06:38
Le pub c'est naze 
0
::::::::::désolé mais j'suis pas un cas isolé, et j'connais tout plein d'autres potes à camisoler::::::
Pictocube
36871
Ma vie est un thread...
Membre depuis 18 ans
9016 Posté le 02/04/2008 à 12:10:29
Non c'est dead, sinon c'est bien...
0
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
crossroads
9944
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
9017 Posté le 02/04/2008 à 12:58:14
0
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
Hùrin
43
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 17 ans
9018 Posté le 02/04/2008 à 15:00:28
Ca me rappelle :
"Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,
Ce beau matin d'été si doux :
Au détour d'un sentier une charogne infâme
Sur un lit semé de cailloux,
Les jambes en l'air, comme une femme lubrique,
Brûlante et suant les poisons,
Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique
Son ventre plein d'exhalaisons.
Le soleil rayonnait sur cette pourriture,
Comme afin de la cuire à point,
Et de rendre au centuple à la grande Nature
Tout ce qu'ensemble elle avait joint ;
Et le ciel regardait la carcasse superbe
Comme une fleur s'épanouir.
La puanteur était si forte, que sur l'herbe
Vous crûtes vous évanouir.
Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
D'où sortaient de noirs bataillons
De larves, qui coulaient comme un épais liquide
Le long de ces vivants haillons.
Tout cela descendait, montait comme une vague,
Ou s'élançait en pétillant ;
On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,
Vivait en se multipliant.
Et ce monde rendait une étrange musique,
Comme l'eau courante et le vent,
Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
Agite et tourne dans son van.
Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
Une ébauche lente à venir,
Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
Seulement par le souvenir.
Derrière les rochers une chienne inquiète
Nous regardait d'un œil fâché,
Épiant le moment de reprendre au squelette
Le morceau qu'elle avait lâché.
Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
À cette horrible infection,
Étoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion !
Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces,
Après les derniers sacrements,
Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.
Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés !"
"Rappelez-vous l'objet que nous vîmes, mon âme,
Ce beau matin d'été si doux :
Au détour d'un sentier une charogne infâme
Sur un lit semé de cailloux,
Les jambes en l'air, comme une femme lubrique,
Brûlante et suant les poisons,
Ouvrait d'une façon nonchalante et cynique
Son ventre plein d'exhalaisons.
Le soleil rayonnait sur cette pourriture,
Comme afin de la cuire à point,
Et de rendre au centuple à la grande Nature
Tout ce qu'ensemble elle avait joint ;
Et le ciel regardait la carcasse superbe
Comme une fleur s'épanouir.
La puanteur était si forte, que sur l'herbe
Vous crûtes vous évanouir.
Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,
D'où sortaient de noirs bataillons
De larves, qui coulaient comme un épais liquide
Le long de ces vivants haillons.
Tout cela descendait, montait comme une vague,
Ou s'élançait en pétillant ;
On eût dit que le corps, enflé d'un souffle vague,
Vivait en se multipliant.
Et ce monde rendait une étrange musique,
Comme l'eau courante et le vent,
Ou le grain qu'un vanneur d'un mouvement rythmique
Agite et tourne dans son van.
Les formes s'effaçaient et n'étaient plus qu'un rêve,
Une ébauche lente à venir,
Sur la toile oubliée, et que l'artiste achève
Seulement par le souvenir.
Derrière les rochers une chienne inquiète
Nous regardait d'un œil fâché,
Épiant le moment de reprendre au squelette
Le morceau qu'elle avait lâché.
Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,
À cette horrible infection,
Étoile de mes yeux, soleil de ma nature,
Vous, mon ange et ma passion !
Oui ! telle vous serez, ô la reine des grâces,
Après les derniers sacrements,
Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,
Moisir parmi les ossements.
Alors, ô ma beauté ! dites à la vermine
Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés !"
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Quand Hùrin rentre dans une pièce il n'allume pas la lumière, il éteint l'obscurité.
Ostràl
1736
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
9019 Posté le 02/04/2008 à 20:19:03
Qu'est que je vous disais!!! 

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::::::::::désolé mais j'suis pas un cas isolé, et j'connais tout plein d'autres potes à camisoler::::::
Lgg
6971
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
9020 Posté le 03/04/2008 à 23:01:54
Anonyme
521397
9021 Posté le 03/04/2008 à 23:14:59
Bonne nuit les morts... 

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Hùrin
43
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 17 ans
9022 Posté le 03/04/2008 à 23:17:03
Demain on travaille
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Quand Hùrin rentre dans une pièce il n'allume pas la lumière, il éteint l'obscurité.
Ostràl
1736
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
9023 Posté le 05/04/2008 à 09:10:44
:afien en berne:
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::::::::::désolé mais j'suis pas un cas isolé, et j'connais tout plein d'autres potes à camisoler::::::
Sibmol
10753
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
9024 Posté le 05/04/2008 à 15:01:09
Anonyme
3446
9025 Posté le 06/04/2008 à 00:51:29
Pinaize, ça sent la mort ici 
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