[ Dernière édition du message le 17/12/2016 à 01:46:55 ]
Anonyme
9049
5252Posté le 21/12/2016 à 11:04:56
Citation :
Entre ces lignes comptables se lit une insouciance. Celle d'avant la crise de 2008. Les collectivités locales contractent à l'époque des prêts intéressants... mais risqués. Adossés à des produits financiers ou des monnaies étrangères, les taux d'intérêts peuvent connaîtrent des hausses et des baisses inexpliquées. En 2015, ces prêts représentent toujours 10,2% du total de la dette picto-charentaise, près de 49 millions d'euros.