Les filles d'AF
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Anonyme
Anonyme
-marmotte-
pour parler technique, j'avais un pote qui avait un dicton :
"que tu l'essuies ou que tu l'égouttes, c'est pour le slip la dernière goutte."
je pense qu'en effet ils souffrent d'un double handicap : d'une part maîtriser la trajectoire en évitant les projections, et d'autre part le choix du mode d'essorage qui rappelle la méthode de la pose du crépis...
c'est marrant, on les entend plus les gars !
Anonyme
super extra le dicton, je le ressortirai dès la première occaz
scuze Doc pour cette intervention uro-logique moi dès que ça parle de pipi caca je suis partante
Anonyme
Haha excellent marmotte
J'te pardonne BB, on a le droit de parler pipi-caca ici...
-marmotte-
en attendant mon retour, nous pouvons collectivement réfléchir à ça :
Quand l'idéalisme antique se contentait de valoriser d'une façon ou d'une autre l'intelligible du monde, les penseurs de l'époque moderne ont poussé parfois très loin la logique de cette relativisation de la réalité sensible. Au cours du temps, d'idéalisation en renforcement de la subjectivité, le crédit en l'extériorité du monde s'est réduit comme une peau de chagrin et l'idéalisme moderne résiste faiblement à la tentation de nier l'"altérité" de la réalité, qui est réduite dans sa totalité à de l'intelligible.
Descartes, idéalisme problématique (idéalisme empirique, selon Kant) : la pensée est la réalité la plus évidente, la réalité du monde extérieur est problématique. Seul Dieu peut nous la garantir.Leibniz, idéalisme monadique : les substances sont spirituelles, et Dieu établit une harmonie entre elles.
Berkeley, idéalisme immatérialiste : la matière est une fiction ontologique. Berkeley considère que la conscience attribue par erreur une objectivité à ce qui n'est qu'une production idéale. Cette doctrine nie donc que l'on puisse connaître le monde extérieur tel qu'il est puisqu'il n'existe pas en soi mais seulement dans la pensée. Une formule célèbre la résume : "Être, c'est être perçu ou percevoir." (Traité sur les principes de la connaissance humaine, 1710).
Kant, idéalisme transcendantal : limitation de la raison, distinction entre phénomène et noumène, c'est-à-dire entre l'expérience que nous pouvons atteindre, et la chose en soi qui nous est inconnue. Là encore, il n'y a pas d'idéalisme au sens strict, la position de Kant étant plus nuancée (Kant s'opposant par ailleurs à l'idéalisme pur) : la seule réalité connaissable est phénoménale, donnée dans le cadre transcendantal de l'espace et du temps (idéalisme transcendantal), mais seule l'expérience fournit un matériau valide pour la connaissance (réalisme empirique).
Schopenhauer, idéalisme volontariste : le monde est à la fois ma représentation, et un principe non rationnel dépourvu de connaissance, la Volonté, qui parvient à se "connaître" par la représentation dans le monde phénoménal.
Hegel, idéalisme absolu : la seule réalité est l'Esprit absolu, l'esprit est tout et tout est esprit. L'Esprit absolu est aussi Raison universelle : "tout ce qui est réel est rationnel, et que tout ce qui est rationnel est réel".
(wikipedia)
[ Dernière édition du message le 20/03/2010 à 14:10:17 ]
Anonyme
d'accord, ok, t'as tout bon (comme dirait jacques)! mais quand est-il de la sexualité des cochons en milieu aquatique ? hein ? parce que ça hein, tout le monde s'en fout, alors que dans le cochon tout est bon !
jusqu'à quand va durer toute cette mascarade ?
Anonyme
Marmotte, BB mitch et doc...
( faut les retrouver chacune sur la photo )
[ Dernière édition du message le 20/03/2010 à 15:24:55 ]
Anonyme
[ Dernière édition du message le 20/03/2010 à 14:57:19 ]
Anonyme
si Doc, t'es au milieu avec tes Bigoudis sur la tête
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