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Sujet Les vieux d'AF

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Sujet de la discussion Les vieux d'AF
Bonjour si,

- tu es proche des obsèques ou l'hopital
- tu veux rien léguer au nouvelles générations
- tu es presbyte
- jeune mais vieux dans ta tête
- que personne supporte les calembours que tu postes
- tu ne comprend rien à la MAO

.... Bref tout un tas de trucs qui te font penser que tu es vieux alors Bienvenu(e) ici





Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 

[ Dernière édition du message le 12/01/2010 à 19:37:56 ]

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1851
icon_facepalm.gif merdmerdmerdmerde... ça y est, ça m'est revenu en tête...

"C'est comme à Chicago, chicago o oooo..." :(((

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

1852
A l'armée ils nous parlaient français mais parfois on n'avait l'impression que c'était une autre langue.

"Aujourd'hui, vous allez apprendre à gicler !"

Ca fait un drôle d'effet à cinquante puceaux au garde à vous. Bien sur, après, faut percuter que cela signifie évacuer d'urgence du blindé ou partir à l'assaut (des ombres sur l'eau). Puis pour le psychopate l'adjudant, il y a deux sortes d'êtres humains sur cette terre : les femmes et les homos. Alors, quand dans le VAB, le gars d'en face a vomi par terre et que toi tu glisse dessus pour sortir tu as droit à une belle remarque cinglante ... Enfin bref, j'ai pas gicler comme il faut. :oops:

Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
1853
Citation de j-master :
icon_facepalm.gif merdmerdmerdmerde... ça y est, ça m'est revenu en tête...

"C'est comme à Chicago, chicago o oooo..." :(((


Et ben ouais. :-D
1854
Citation de Da :
Personne qui fut P4 par ici? sans dec'?


Mon pere et mes deux oncles. Jsais pas si ca compte.
Spoiler - Cliquer ici pour lire la suite

Le chien aboie mais n'invente pas le fil à décongeler le beurre.

Les 6l6, des lampes qui nous éclairaient

1855
Pourquoi ça ne me surprend pas ? :?!:
1856
Moi P4 et fier de l'avoir été
1857
Moi planqué et fier de l'être !

 

1858
on se marre bien ici :-D moi la Marine , fusilier Marin comme maitre chien , j'ai fait parti des 4 pour 100 des appelés sur ce type de corps , le pied quelle chance ! sur une zone hautement sécurisé à l'Ile Longue pour ceux qui connaissent , base de sous marin nucléaire et tout le tsoin tsoin , bloqué 12 semaines sur place sans perme rien quedal ! dut à une alerte ! le con qui a fait passé une arme et des appareils photos parait-il ??! nous avons tous reçu la "DEFNAT" comme on disaient à la fin ! (la médaille de la défense national de bronze) mais ça restera un bon souvenir finalement , les potes , les compagnons de la même galère , et puis j'en garde un souvenir ou la bouffe était pas dégueu ! et comme ont patrouillé à toute heure et tout le temps et à tout les temps les frigos étaient rempli plein la gueule dans les "nichoirs" ont pouvait ce faire une omelette ou des crêpes à 5h du mat sans déc ! bon j’arrête la mon charabia :-D

Je suis naze en ortho et grammaire, je fais au mieux !

 

ont ne se quitte jamais vraiment, nous sommes ailleurs momentanément, pas aux mêmes endroits , puis un jour nous nous retrouvons

 

 

 

1859
Citation :
à l'Ile Longue pour ceux qui connaissent
J'y ai fait une période de réserve à la fin des 90'. On a même eu droit à la visite d'un bassin ou stationnait un sous-marin.
Et pendant mon service, au 41 RI pas loin de là, on allait se poster à la pointe des Espagnols pour dissuader les vils terroristes, quand les SNLE entraient ou sortaient de la rade de Brest. C'est vrai qu'on devait faire sacrément peur, belle bande d'appelés qu'on était, avec notre chargeur de balles réelles bien emballé dans un plastique épais qu'il aurait fallu déchirer avec les dents avant de pouvoir charger le FAMAS. :facepalm:
1860
Un vieux camp fait de baraques en béton et de hangars en ferraille en pleine forêt, une soixantaine d'appelés et une grosse dizaine d'engagés et de personnels civils, à Melun... on ne sait même pas ce qu'on gardait comme matos, en 87 on roulait en camions Simca, nos pétoires dataient d'avant la guerre d'Indochine. Nos sous-offs étaient à la limite de la réforme, un de nos officiers était un ancien des guerres coloniales. Mais p****n j'ai pas vu le jour pendant 11 mois. Vous donner une idée, un sous-off, genre 45 piges dont 25 d'armée, vient un jour bouffer avec nous (3 appelés) à la cantine plutôt que d'aller au mess... Le langage fleuri mais pas chien avec les mômes.
- Bon, les couilles de loup, va falloir se calmer un peu sur la fumette...
- De quoi vous parlez, mon adjudant chef ?
- Faites pas les cons avec moi, vous savez de quoi je parle... Le nouveau colonel trouve ça bizarre ce camp où tous les appelés ont les yeux rouges et se bidonnent comme des débiles à tout moment... Faites passer le message.
- Ouais, on a bien capté. Merci mon adjudant chef.
Comment qu'on s'est empressé de prévenir tout le monde... On a arrêté les 12 feuilles à toute heure, on se contentait de quelques petits sticks par ci par là...

N'empêche la plus gigantesque crise de fou rire de ma vie c'était quand même là bas.