Sujet de la discussionPosté le 10/02/2004 à 12:34:22Le syndrome de la page blanche
Les écrivains sont, parait-il, souvent victime du syndrome de la page blanche. Désemparés qu'ils sont devant cette feuille qui n'attend que leur écriture pour avoir un sens. J'ai toujours trouvé cela étonnant mais compréhensible.
Et ne voilà t'y pas que, maintenant que j'ai du matériel pour travailler confortablement (on parle musique maintenant), j'ai dépassé l'apprentissage laborieux des bases de mes logiciels ainsi que la configuration des divers périphériques....bref, j'attendais ce moment avec impatience, et pourtant, je découvre avec horreur que je suis victime du syndrome de la partition vide!
Ou plutot, je me force à trouver des bouts de morceaux, je réecoute, et là, aucun doute:c'est à chier!
Je me rends compte qu'il me faudra du temps pour apprivoiser mes nouvelles possibilités pratiques.
Lorsque l'on a un carcan restreint au niveau matériel, on va plus facilement à l'essentiel, là, les choses se compliquent...
donc, cela m'intéresserait de savoir si vous avez été, ou etes victimes de ce syndrome.
Citation : En ce moment je prépare une pièce pour orchestre perso pour sortir un peu des commandes, et bien je prend beaucoup de temps pour conceptualiser mon histoire, donc ma forme. Je me suis donné deux ans pour mener ce chantier à bien
Je pourrais dire à mes petits enfants que j'ai été sobre toute une semaine.
Agentcarotte
25217
Vie après AF ?
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28Posté le 22/10/2004 à 13:22:23
Moi je fais de la zic quand j'ai beaucoup de temps libre, que je peux attendre trois heures du matin pour rallumer l'ordi.
Quand je bosse et que j'ouvre cubase, j'ai toujours le sentiment que j'ai un compte à rebours "temps-libre restant" qui se lance...alors j'essais de trouver un truc rapidement au lieu de prendre mon temps à jouer n'importe quoi en attendant l'idée...et ça donne de la merde effacée le lendemain.