Les super films d'audiofanzine que l'on ne verra jamais mais ça aurait été cool ...
- 903 réponses
- 62 participants
- 52 401 vues
- 54 followers
Afficher le sujet de la discussion
La classe HSK !
Le sigle Alpha m’a induit en erreur au début.
/
Anonyme
24289
C'est auréolé du succès de la liste du GASeur que Kevin Keyboard nous revient cette fois avec un film pocorn décomplexé à savourer en famille. On nous annonce déjà une révolution visuelle et une débauche d'effets spéciaux.
Alors qu'il travaille tranquillement sur son site de fouille archéologique, tout occupé qu'il est à exhumer des ossements de dinosaures, le professeur Rinze voit débarquer tambours battant et gourmette au vent, Youtou. Le célèbre et excentrique milliardaire descend nonchalamment de sa fusée rehaussée d'une Tesla. Il avance à la rencontre du professeur pour lui faire part de sa dernière création. En effet grâce à de l'ADN récupéré sur une vieille lame de cutter, son équipe de chercheurs avec à leur tête le docteur Clou de Brique, sont parvenus à redonner vie au Librariarus Rex, une espèce disparue il y a plusieurs millions d'années. Bonne ou mauvaise idée, n'auraient ils pas ouvert la boîte de Pandore...
Alors qu'il travaille tranquillement sur son site de fouille archéologique, tout occupé qu'il est à exhumer des ossements de dinosaures, le professeur Rinze voit débarquer tambours battant et gourmette au vent, Youtou. Le célèbre et excentrique milliardaire descend nonchalamment de sa fusée rehaussée d'une Tesla. Il avance à la rencontre du professeur pour lui faire part de sa dernière création. En effet grâce à de l'ADN récupéré sur une vieille lame de cutter, son équipe de chercheurs avec à leur tête le docteur Clou de Brique, sont parvenus à redonner vie au Librariarus Rex, une espèce disparue il y a plusieurs millions d'années. Bonne ou mauvaise idée, n'auraient ils pas ouvert la boîte de Pandore...
Traumax
51839
Goncourt du Grouik
Membre depuis 19 ans
Rifki
16851
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
sqoqo
7050
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
Anonyme
24289
Anonyme
24289
Commissions dans le filet production présente...
Rifki
16851
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Mékilékon Méssétrobon !
Anonyme
27133
W-Addict
43932
Ma vie est un thread...
Membre depuis 20 ans
La classe HSK !
Anonyme
65640
nan mais lol, sur la dernière page !
Dr Pouet
52038
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Oiseau Bondissant
20560
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien
Elemmir
4825
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 16 ans
La flemme est l'avenir de l'homme. Pff, jsuis fatigué je ne vais pas plus lo..
Anonyme
24289
Après le fiasco de dragon ball évolution, les studios de la fox n'ont plus le droit à l'erreur. C'est ainsi que pour leur prochain long métrage, Dragon Ball Alfa (bataille pour Namek) ils ont fait appel à un tout jeune réalisateur, Arnold Jumpingpiaf, qui s'est déjà illustré dans le genre avec son adaptation ultra violente de Caliméro. Ne rechignant pas à la dépense les studios ont même engagé Xione Belmouyama le célèbre acteur de film d'action japonais. Bien que ce dernier s'illustre plus régulièrement dans des chambara ou des yakuza eiga, nul doute que ce rôle, écrit sur mesure pour lui, saura lui faire crever l'écran. Par contre nous n'avons pas tout compris, il semblerait d'après nos sources que le principal antagoniste du film serait un réfrigérateur, information restant toutefois à confirmer.
[ Dernière édition du message le 08/02/2018 à 18:35:33 ]
Oiseau Bondissant
20560
Vie après AF ?
Membre depuis 22 ans
Citation :
Arnold Jumpingpiaf
« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien
Dr Pouet
52038
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Le sigle Alpha m’a induit en erreur au début.
Anonyme
24289
C'est fort de son succès dans Rambollywood, qui connu à la surprise générale une belle reconnaissance l’international (Belette d'or au festival de Montcuq, comme même !), que la star indienne d'action moovies nous revient, plus bodybuildée que jamais. C'est donc dans un thriller culinaire haletant et oppressant que Xavishar Belmoufli fait étalage de tout son tallent. Un véritable rôle de décomposition. En effet alors qu'il attend ses convives pour le dîner dans sa petite, bien que confortable, résidence de la banlieue Orléanaise, que notre héro voit son splendide dos de bar de ligne se décomposer dans le plat. Par mégarde, au lieu de régler son four sur convection naturelle et chaleur tournante thermostat 2, il a enclenché le programme de pyrolyse... La panique s'empare de notre jeune et vaillant gaffeur et c'est la mine déconfite qu'il abdique. En proie à un fort désarrois, il se résout à se rendre au petit indien au bas de la rue pour commander des victuailles. Il ne sera pas dit qu'il est un mauvais hôte, ça jamais. Mais ce ne sera pas si simple , ce soir c'est la finale du championnat du monde de Cricket et l'affiche c'est l'Inde contre le Pakistan, l’ambiance s'annonce explosive.
Après ce film, vous ne commanderez plus jamais indien de la même manière.
Après ce film, vous ne commanderez plus jamais indien de la même manière.
Javier Guante Hermoso
47326
Ma vie est un thread...
Membre depuis 20 ans
cyar
12259
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Dr Pouet
52038
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Anonyme
27133
120 battements par minute
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Début des années 90. Alors qu'au sein des studios professionnels les boîtes à rythmes remplacent lentement les batteurs depuis près de dix ans, les militants d'AF Paris multiplient les actions pour lutter contre l'indifférence générale et l'uniformisation des sons.
Nouveau venu dans le groupe, Kapam va être bouleversé par la radicalité de Youtou.
La scène commence comme une scène banale. Une main anonyme allume un synthé. Les doigts passent sur le panneau de commandes et poussent ici des boutons, coulissent là des curseurs. Des écrans LCD s'agitent, des lumières s'allument. La scène est rythmée par le souffle oppressant de quelqu'un qui en manque. Puis, venue du fond des âges, immémorielle, intemporelle, monte inexorablement la pulsation obstinée et têtue d'une grosse caisse, un beat régulier réglé sur 120 battements minutes. Un cri déchire alors la scène:
- Putain mais rofl, c'est quoi ce beat à la Gauvain Sers, amha, à une vache près, c'est de la merde, perso deflag, j'me tire.
L'urgence est là, au bord des yeux du spectateur qui, sans qu'il s'en rende compte, vient d'être embarqué dans une mécanique redoutable qui va l'entraîner de la douceur confortable et capitonnée des studios à la rugosité humide des caves de Saint-Germain, où répètent dans l'ombre des groupes besogneux, le grand-écariser depuis les grandes scènes music-hall de Paris jusqu'aux troquets miteux de Nancy (en Alsace), tout au long d'un combat intense où la recherche haletante du vintage est la clef de voûte d'une équipée extraordinaire.
Un film message, un film coup de poing, un film à charge : on l'a compris, 120 battements par minute n'est pas de la pisse de clodo. Il dénonce, romance, revendique, impose, décortique : pourquoi en dix ans la banalisation de la loudness war est-elle devenue la norme d'une société piégée dans ses méandres bourbeux? Que sont devenus les DX7? Pourquoi l'autotune? Où est passé Rémy Bricka?
Et surtout, la douloureuse, terrible et lancinante question existentielle, celle d'une génération toute entière aujourd'hui sacrifiée sur l'autel du voyeurisme: Jess Greenberg est-elle vraiment une chanteuse-guitariste?
Ce film événement magnifie la rupture entre l'ancien monde et le nouveau, entre le vintage et le web 2.0, celui que l'Histoire retiendra comme étant celui qui a vu les mains des pianistes passer des claviers à touches noires et blanches, aux claviers BEPO. Plus qu'une évolution, une révolution.
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Début des années 90. Alors qu'au sein des studios professionnels les boîtes à rythmes remplacent lentement les batteurs depuis près de dix ans, les militants d'AF Paris multiplient les actions pour lutter contre l'indifférence générale et l'uniformisation des sons.
Nouveau venu dans le groupe, Kapam va être bouleversé par la radicalité de Youtou.
La scène commence comme une scène banale. Une main anonyme allume un synthé. Les doigts passent sur le panneau de commandes et poussent ici des boutons, coulissent là des curseurs. Des écrans LCD s'agitent, des lumières s'allument. La scène est rythmée par le souffle oppressant de quelqu'un qui en manque. Puis, venue du fond des âges, immémorielle, intemporelle, monte inexorablement la pulsation obstinée et têtue d'une grosse caisse, un beat régulier réglé sur 120 battements minutes. Un cri déchire alors la scène:
- Putain mais rofl, c'est quoi ce beat à la Gauvain Sers, amha, à une vache près, c'est de la merde, perso deflag, j'me tire.
L'urgence est là, au bord des yeux du spectateur qui, sans qu'il s'en rende compte, vient d'être embarqué dans une mécanique redoutable qui va l'entraîner de la douceur confortable et capitonnée des studios à la rugosité humide des caves de Saint-Germain, où répètent dans l'ombre des groupes besogneux, le grand-écariser depuis les grandes scènes music-hall de Paris jusqu'aux troquets miteux de Nancy (en Alsace), tout au long d'un combat intense où la recherche haletante du vintage est la clef de voûte d'une équipée extraordinaire.
Un film message, un film coup de poing, un film à charge : on l'a compris, 120 battements par minute n'est pas de la pisse de clodo. Il dénonce, romance, revendique, impose, décortique : pourquoi en dix ans la banalisation de la loudness war est-elle devenue la norme d'une société piégée dans ses méandres bourbeux? Que sont devenus les DX7? Pourquoi l'autotune? Où est passé Rémy Bricka?
Et surtout, la douloureuse, terrible et lancinante question existentielle, celle d'une génération toute entière aujourd'hui sacrifiée sur l'autel du voyeurisme: Jess Greenberg est-elle vraiment une chanteuse-guitariste?
Ce film événement magnifie la rupture entre l'ancien monde et le nouveau, entre le vintage et le web 2.0, celui que l'Histoire retiendra comme étant celui qui a vu les mains des pianistes passer des claviers à touches noires et blanches, aux claviers BEPO. Plus qu'une évolution, une révolution.
[ Dernière édition du message le 05/03/2018 à 15:16:11 ]
Rifki
16851
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Génial
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
Tout de même, la fameuse lancinante question douloureuse sur la chanteuse-guitariste est surtout un problème essentiellement daRinzien !
Sinon, les 2 derniers
Sinon, les 2 derniers
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
[ Dernière édition du message le 05/03/2018 à 19:03:52 ]
Anonyme
27133
Si c'est humain, c'est daRinzien et si c'est daRinzien c'est humain
W-Addict
43932
Ma vie est un thread...
Membre depuis 20 ans
/ - < Liste des sujets
- Charte