Le Pub de l'Amérique Latine
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Anonyme
Doktor Sven
Anonyme
El Migo
Anonyme
El Migo
Traversée de l'Amérique centrale en camion avec ma nana jusqu'au Panama, dont traversée du Nicaragua juste après la chute de Somoza, des mecs de partout habilés en Che Guevara (Français, Espacnols et même américains)
Et Colombie (magnifique pays, encore la forêt, Inirida), Perou et Equateur, j'ai beaucoup moins aimé, trop de touristes. Tout ça dans les années 80 (ah merde
)Anonyme
Nicaragua juste après la chute de Somoza, des mecs de partout habilés en Che Guevara (Français, Espacnols et même américains)
Je les remercie. Total, la première fois que nous nous sommes retrouvés au Nicaragua avec une amie, en 97, il y avait à tout casser 50 touristes dans tout le pays et tout le monde nous prenait pour des membres d'ONG et venait taper la discute avec nous. Depuis le Nicaragua s'est ouvert au tourisme, entre autre les 2 villes historiques, Léon et Granada. Le côté positif ça donne du boulot, le négatif, les hôtels sont depuis tenus par des gringos et les prix de l'immobilier à Granada ont explosé. Mais quand je dis explosé c'est explosé. Vu le salaire moyen d'un Nica, je te laisse imaginer la cata. Pour le reste je n'ai pas eu l'impression que ça avançait beaucoup dans ce pays dénué d'intérêt stratégique ou économique au sein de notre monde globalisé. Et c'était en 2005. Ortega y est devenu une sorte de grand n'importe quoi réac', à mi-chemin entre Chavez et Mgr Lefebvre. Le tourisme semble l'une des rares opportunités de développement.
Qu'est-ce que je donnerais cher pour m'envoyer un bon Gallo Pinto...
La version nica du "arroz y frijoles".
El Migo
Gallo pinto, c'est le plat national au Costa-Rica aussi : matin, midi et soir
Anonyme
Bibi33
Anonyme
stratvinc
Guitariste un jour ,Guitariste toujours
je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !
El Migo
Anonyme
Anonyme
Doktor Sven
Si seulement j'étais pas obligé de bosser, qu'est ce que je pourrais lire ...
I must not fear. Fear is the mind-killer. I will face my fear.
Anonyme
Bibi33
Citation de : American Soviet
Welcome, Bibi 33. Je n'ai jamais mis les pieds au Brésil, parait que ça vaut le coup. En Bolivie, t'es resté sur le versant amazonien ou t'es monté vers Titicaca et La Paz, vu que tu parles du nord ? T'aurais dû aller, si tu l'as pas fait, vers le sud, Uyuni, et toute cette partie de l' Altiplano commune aussi au Chili au Pérou et à l' Argentine. J'ai jamais vu des paysages aussi fabuleux.
Putain, le Pérou en 88, t'étais courageux, époque Sentier Lumineux VS armée... Les péruviens en sont encore traumatisés.
J'y suis allé la première fois en 99, tout était fini mais on sentait que ça avait marqué profondément les esprits.
Pour l'anecdote, Abimaël Guzman le fondateur du sentier est en prison à Callao, le port de Lima au climat assez tempéré pendant que les pauvres gamins qui l'ont suivi sont emprisonnés vers Puno, à 4000 m d' altitude, dans des prisons sans chauffage... Il a parfaitement négocié les conditions de sa peine.
Merci pour ton accueil
LE BRASIL est vraiment est pays merveilleux (maravilhoso !) tu ne peux que tomber amoureux du peuple et de sa façon de vivre "léger". Comme en plus c'est gigantesque (comme l'Argentine) tu as des paysages et des cultures très variés.
La Bolivie, je suis rentré au nord à GUAJARAMIRIN puis je suis descendu en stop via des camions (4 jours de pistes) pour arriver en bas de la cordillère à RURENABAQUE (ou un truc du genre j'ai plus mes cartes et ma mémoire....heu je disais quoi) puis j'ai pris le bus pour LA PAZ : oui c'est le bus qui est passé à la TV dans les bus de la mort....à certains moments tu as un bull qui fait la piste à fleur de précipice devant toi. J'étais avec une Brésilienne (une vraie hein) et à la fin on est descendu du bus pour le suivre à pied. Les Boliviens eux restaient dedans en se cachant les yeux, du pur délire !!! C'est aussi ce bus qui m'a fait monter le plus haut dans ma vie : 6000 et qqes mètres il y avait de l'oxygène en distribution pour qui voulait dans le bus. Re pur délire....bon j'abrège ensuite je suis retourner au BRASIL via bus, train, stop (en passant par SANTA CRUZ de la SIERRA fief de la poudre blanche) et ensuite le fameux "train de la mort" avec sa 3eme classe (= wagon à bestiaux)
Le PERU c'était torride du début à la fin. En arrivant je parlais pas un mot d'Espagnol (et en plus c'est du CASTILLANO c'est un peu particulier) et j'avais 22 ans. Et il y avait effectivement le SENTERO LUMINOSO et ce sont d'ailleurs leurs troupes qui avaient fait le coup d'état 5-6 jours avant mon départ. Il y avait une répression terrible des forces de l'ordre et les "gringos" étaient très mal vus mais c'était un voyage magnifique et c'est vrai que les paysages d'ALTIPLANO sont sublimes. Le train de CUZCO à PUNO c'est à coupé le souffle !!!
bon allez j'arrête sinon je vais écrire un livre..... 
“Essayer d’expliquer la musique, c’est comme essayer de danser l’architecture.” T.Monk
Anonyme
"Nous, les oubliés de l' Altiplano" de Pedro Condori et Françoise Estival chez l' Harmattan.
Je ne connais pas du tout les parties basses boliviennes sauf Santa Cruz... J' y connais l'aéroport, escale entre La Paz et Salta en Argentine.
Isla de la Luna, sur le Titicaca, c'est le Titicaca, mythique. Un coucher ou lever de soleil sur le lac, entre les cordillères enneigées. Gravé dans ma mémoire.
Ton train de la mort, ce serait pas le train entre Uyuni et Calama au Chili ? P****n, le passage de la frontière entre les volcans, perdu au milieu de tout... C' était la première fois que j'étais content d'être bloqué 5 heures à une frontière tellement c'était magnifique, ce volcan fumant dominant la gare... Quel bonheur... 24 heures de train. Inoubliable.
La descente de Pulacayo à Uyuni dans la benne d'un camion avec le coucher de soleil sur le plus grand lac salé du monde. Des purs moments de bonheur, de contemplation. Sur le moment déjà une félicité... j'sais même pas dire comment j'ai vécu ça tellement j'étais heureux...
Anonyme
Anonyme
Contre la famine, le Nicaragua mise sur les « mini-Godzilla »
CC BY-SA 3.0 / Leo za1
La chair impose une certaine mastication et, malgré sa consistance proche du poulet, présente par rapport à son lointain cousin gallinacé une légère acidité qui en fait tout l'exotisme. Souvent mijotée avec ail, oignon et piment, l'iguane vert est un met recherché dans une large partie de l'Amérique du Sud et centrale. Au Nicaragua, il pourrait le devenir d'autant plus.
Selon El Pais, les autorités du pays ont en effet pris des mesures radicales pour éviter tout risque de famine. Confrontés à la plus importante sécheresse de ces trente-deux dernières années, les Nicaraguayens voient le prix des denrées alimentaires s'envoler, notamment celui de la viande. Plus de 2 500 bovins ont déjà succombé à la vague de chaleur, et 600 000 autres souffrent du manque de nourriture, selon une estimation des syndicats agricoles. Un enjeu de taille dans ce pays de 6,2 millions d'habitants, où l'élevage représente 20 % du PIB, note le quotidien espagnol.
Le gouvernement de Daniel Ortega envisage plusieurs options pour faire face à cette crise et prévenir toute pénurie alimentaire. Parmi ces solutions figure notamment la mise en place de vastes élevages d'iguanes verts, une espèce tropicale qui ne souffre nullement de la chaleur et présente une teneur en protéines très importante. L'idée est cependant de ne pas mettre en danger la population d'iguane du pays et de développer donc un élevage permettant une reproduction en batterie. Une proposition qui a été froidement accueillie par les associations écologistes, qui craignent pour la perpétuation de ces "mini-Godzilla", note le journal espagnol.
Tout va pour le mieux au Nicaragua...
Anonyme
Dr Pouet
El Migo
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