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Sujet Le Pub de l'Amérique Latine

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Sujet de la discussion Le Pub de l'Amérique Latine
Salut.
Si comme moi vous adorez ce continent, êtes fascinés par ses cultures, sa géographie. Son football, sa musique, sa littérature, sa politique actuelle ou passée. Que vous la connaissiez ou non, que vous l'aimiez ou la détestiez.
N'hésitez pas à poster, même si c'est pour en dire pis que pendre...
Venez nous faire partager vos expériences de voyage, du Rio Grande au Cap Horn, en passant par le Sertao brésilien ou les cordillères.
Des sierras mexicaines au canal de Panama. Le sujet est aussi vaste que ce continent, et peut être aussi passionnant.
Si ça vous chante d'y aller, il se trouvera bien un Afien pour vous filer quelques tuyaux...

Bienvenue.
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:bise:
merci pour le partage !

Guitariste un jour ,Guitariste toujours

je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !

mes gratouillages

en videos

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J'en ai encore quelques dizaines en grand format et quelques milliers en format carte postale... :oops2:
Content que ça vous plaise cause que de mon côté je me suis régalé à ressortir tout ça. ;)
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Flag

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Mes photos ici

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:bravo: les tirage. Le N&B vieillit mieux que la couleur. J'aurais pas du tirer en couleur à l'époque, j'aurais du partir avec de l'Ilford plutôt qu'avec de l'Ekta.

Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.

Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !

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De Puno à Cuzco, Pérou.

image.php

Scan d'un format 13x18, sans retouche.
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Chouettes photos AS :bravo:
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Merci. Je suis en train de faire un tri. Affolant. J'ai 2 caisses pleines. J'en ai pour des mois. Grosso modo, Mexico-Terre de Feu, en suivant la Panaméricaine côté pacifique, exception faite du Salvador et de la Colombie. Allez savoir pourquoi...
Bien qu'aujourd'hui ces 2 pays soient battus par le Honduras pour la violence. J'y étais passé vite fait 10 jours, La Ceiba, Trujillo (William Walker), Roatan, Copan, un p'tit bout de chemin entre le Guatemala et le Nicaragua. Triste aujourd'hui, on y flingue même des Miss.
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Toujours aussi déprimant le Mexique:

Citation de Le :
Mexique : un autre enlèvement de masse dans l'Etat du Guerrero

Citation :
Alors que l'affaire des 43 étudiants enlevés à la fin septembre à Iguala continue de secouer la société mexicaine, France 24 affirme qu'un autre crime de la même ampleur a été commis dans la ville voisine de Cocula, où une trentaine de lycéens sont portés disparus depuis quatre mois.

Le 17 juillet, dernier jour d'école avant les vacances d'été, les lycéens – au nombre de 31, selon les témoignages recueillis par France 24 – auraient été enlevés à la sortie de leur école sur la place principale de ce village de l'Etat de Guerrero, en plein jour et sous les yeux de dizaines de personnes, affirme la chaine d'informations.

Leur ravisseurs seraient arrivés armés et encagoulés, dans des voitures de police parfaitement identifiables. « On a jamais su ce qu'ils sont devenus », témoigne Rosa, qui a vu sa fille se faire enlever sous ses yeux, au micro de France 24.

INTIMIDATIONS

Contrairement à l'enlèvement massif d'Iguala, celui de Cocula n'a pas été médiatisé. Rosa explique que les criminels ont ordonné aux témoins de se taire en les intimidant. Sa famille a reçu des appels anonymes et son mari a même été enlevé plusieurs heures avant d'être relâché, un doigt coupé. Depuis, Rosa et son mari ont décidé de quitter le village.

Cocula serait aussi le village où, selon les premiers éléments de l'enquête dévoilés par le gouvernement mexicain, les 43 étudiants enlevés à Iguala auraient pu être massacrés.


Citation de Le :
Etudiants disparus au Mexique : un leader historique de la gauche démissionne de son parti

Citation :
La crise politique qui secoue le Mexique après la disparition de 43 étudiants fin septembre produit ses premières conséquences politiques. Le fondateur et dirigeant historique du principal parti de la gauche du pays, Cuauhtémoc Cardenas, a annoncé mardi 25 novembre au soir sa démission du Parti de la révolution démocratique (PRD).


M. Cardenas, qui n'exerçait aucune fonction de direction au sein de de la formation politique qu'il avait créée à la fin des années 80, mais restait son « leader moral », avait demandé il y a quelques jours la démission de la direction actuelle du PRD, accusant la majorité actuelle d'être responsable de la désignation de José Luis Abarca comme candidat du PRD à la mairie d'Iguala où ont été enlevés les étudiants, alors que ses liens et ceux de son épouse avec le crime organisé étaient de notoriété publique.

M. Abarca est actuellement détenu comme présumé instigateur de l'enlèvement des jeunes dans sa ville et de leur probable massacre par le groupe criminel des Guerreros Unidos.

Lire le récit : Le maire d’Iguala et son épouse, le couple infernal qui révolte le Mexique

LE NOUVEAU PRÉSIDENT DU PRD REFUSE DE DÉMISSIONNER

Mardi après-midi, Cardenas avait eu une ultime réunion avec le nouveau président du PRD, Carlos Navarrete, dont il demandait la démission pour « reconstruire » le PRD. Mais ce dernier a maintenu son refus de démissionner alors qu'il a été élu début octobre à une large majorité lors d'une scrutin interne.

« Devant l'alternative de courir le risque de partager la responsabilité de décisions prises par myopie, opportunisme ou complaisance (...), j'ai préféré courir le risque d'être critiqué », écrit dans sa lettre Cuauhtémoc Cardenas. La disparition des 43 étudiants d'Iguala est devenue le leitmotiv de la contestation politique au Mexique, qui monte en puissance depuis des semaines.



Cuahutemoc Cardenas est le fils de Lazaro Cardenas, ancien président mexicain des années 30 qui a nationalisé le pétrole mexicain au détriment des gringos ce qui fait de lui une idole mexicaine et un des fondateurs du...PRI, le parti unique des années 30 aux années 90.
Cuahutemoc était dans les années 80 celui qui le premier aurait pu mettre fin au règne sans partage des Priistes si une "stupide" panne informatique n'avait arrêté le décompte des voix et que la cour suprême déclare vainqueur le... PRI. Il fut aussi le populaire maire du DF, nom mexicain du grand Mexico.
Pour info, Cuahutemoc est le nom du dernier empereur aztèque, assassiné par Cortes lors de l'expédition de ce dernier vers le Honduras pour massacrer les rebelles de Cristobal de Olid. Même Bernal Diaz del Castillo, chroniqueur de la conquête n'avait pas compris l'intérêt de cet assassinat.