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Florilège : réparties célèbres, jolis "mots" d'auteurs et compositeurs.

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Sujet de la discussion Florilège : réparties célèbres, jolis "mots" d'auteurs et compositeurs.
Un peu de Boëtie dans ce monde prudes...

Je propose de rassembler ici les "mots d'esprit" de nos auteurs, chanteurs et compositeurs favoris ou parmi les + célèbres.

Florilège + vivant qu'un "dictionnaire de citations" -toutefois bienvenues-, il contiendra principalement des réparties et des "mots" empreints de sarcasme et d'humour... Pour le plaisir de retrouver le sel de nos Illustres...




A titre d'exemples :


* Un journaliste demandait à Paul McCartney comment il réagissait à l'annonce de sa mort (!) qui avait été faite la veille.

Sir Paul répondit, un rien courroucé-british (j'adore) :

" C'est quand même incroyable que, depuis 1963, à chaque fois qu'il se passe un truc chez les Beatles, je suis toujours le dernier prévenu !




* Autre anecdote, celle d'une élève cherchant à se démarquer de ses camarades, se rehaussant en coulisse à son Maître Louis JOUVET :

"(...) moi, Maître, je n'ai pas le trac !

Réponse froide de JOUVET :

"Avec du talent, ça viendra !"...




D'autres cas à divulguer ?

Ce thread vous tend les bras:-D.
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51
:-D

- - - -
Citation :
c'est Danton (cul)


:8O: le vieux lapsus !
On en a guillotinés pour (infiniment) moins que ça !...



x
Hors sujet :
[ED.] Et vlan ! : une faute de frappe "par-dessus le bouquet"...

[ Dernière édition du message le 09/06/2016 à 16:59:18 ]

52
x
Hors sujet :
Ptet que je suis à côté de la plaque en postant ça...
Phrases tirées de diverses chansons que j'ai rassemblées en un texte plus ou moins cohérent:

Citation :
Life is a mistery
I love everyone in the world...
!'m so fuckin' stoned!
I can float in the air!
You know somethin'?
I got somethin'...
For all the people in the world.
And if you taste the candy, you'll get the surprise!
And all the bells shall ring for You.
You're gonna take it, anyway you can
I'm the one who controls the sun!
Never gonna judge you coz I'm worse than you.
I'll never trust myself again...
But I don't care!
(He loves life, he hates life)

La flemme est l'avenir de l'homme. Pff, jsuis fatigué je ne vais pas plus lo..

[ Dernière édition du message le 14/06/2016 à 17:04:18 ]

53
x
Hors sujet :
??? rapport avec le thread ? En plus si tu t'autocites, ben vlà le melon quoi...On alors j'ai rien compris...
54
oui, HS complet Elemmnir, là.

 

 

55
x
Hors sujet :
Oki, donc, j'ai pas été assez clair dans mon explication...
Ce sont des phrases (qui me sont devenues cultes) tirées de chansons diverses de groupeS que j'écoute.
Jpense pas avoir le melon en les ayant accolées dans un ensemble...

La flemme est l'avenir de l'homme. Pff, jsuis fatigué je ne vais pas plus lo..

[ Dernière édition du message le 14/06/2016 à 17:07:58 ]

56
:-D

Bernard Shaw, encore lui, à un jeune auteur qui lui envoie manuscrit :

" Votre texte est à la fois bon et original. Malheureusement, les parties qui sont bonnes ne sont pas originales, et les parties qui sont originales ne sont pas bonnes.


Dans le mode :crêpage de chignon:, il y a aussi le croisage de fers entre Amanda Lear et Cindy Crawford :

La princesse Cindy :
" C'est gentil de m'avoir envoyé votre livre, Amanda... Mais au fait, qui vous l'a écrit ?

La reine Lear :
" Je suis ravie qu'il vous ait plu. Mais au fait, qui vous l'a lu ?
57
:-D
Un inconnu dont l'histoire n'a pas retenu le nom sort d'une soirée. Il interpelle un type en uniforme qu'il prend pour un domestique :
-Garçon appelez-moi un taxi.
-Mais je suis amiral monsieur !
-Et bien appelez-moi un cuirassé !
-

 "Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

58
59
Citation de toilb :
#pirouette_diplomatique

x
Hors sujet :
J'ai été témoin d'un reproche fait à l'Ambassadeur de France dans un pays-qui-ne-faisait-alors-pas-encore-partie-de-l'union-européenne lors de la réception du 14 Juillet : l'absence inexcusable au buffet de "Ferrero Rocher" ! :bave:
L'intéressé prit une moue réprobatrice, mais je suis sûr qu'intérieurement il était mort de rire.
60
:-D

- - - - - - -
Dans le style "réponse du berger à la bergère" (ou l'inverse, en l'occurrence) : au cours du procès que connaît Arletty à la libération, le président du tribunal lui reprochant d’avoir fréquentée d'un peu trop-près les Allemands pendant l’Occupation, elle rétorque :

" Fallait pas les laisser entrer !


L'anecdote dit qu'à un autre moment, elle réplique encore de la même gouaille :

" Mon cœur est français, mais mon cul est international !
61
Dans les années 60, un journaliste interrogeait Ray Charles dont il était visiblement grand admirateur, mais un peu lourd :
- dites moi, M. Charles. Vous avez l'immense succès que l'on connaît. Vous êtes riche, vous avez une vie comblée, mais quand même...euh... enfin, on dit que la cécité développe l'audition... Alors peut-être que si vous n'aviez pas été aveugle, vous n'auriez pas été l'extraordinaire musicien que vous êtes, vous n'auriez pas connu le fantastique succès que vous avez... enfin, malgré tout... est-ce que ce n'est pas trop dur d'être aveugle ?
- ça aurait pu être pire : j'aurais pu être noir.
62
:-D


- - - - - - -
Victime, jeune, de la petite vérole, Alfonse Allais n’était pas très beau.

Au cours d'une soirée, une jolie femme un peu éméchée s’adresse à lui :

" Mon cher Alfonse, si nous faisions un enfant ensemble, il aurait ma beauté et votre intelligence...

" Dame ! Imaginez qu’il ait ma beauté et votre intelligence !...
63
x
Hors sujet :
Je connaissais la même avec Albert Einstein et une miss monde. Ca se terminait par : "Hélas, et si c'était l'inverse".
64
65
Sacha Guitry fut marié à la comédienne, chanteuse et danseuse (notamment de revue) Yvonne Printemps pendant 12 ans. 12 ans de collaboration artistique et de vie commune souvent orageuse.

Sacha reprochait à Yvonne d'avoir la cuisse un peu légère tandis que celle-ci reprochait à Sacha, son aîné de 11 ans un manque d'entrain à la chose. Un jour de dispute, Sacha à bout de nerf déclara :
- Madame, lorsque vous serez morte, je pourrai dire de vous "enfin froide"
- et de vous, monsieur, "enfin raide"
.
66
:pownd:

67
De Guitry, on raconte aussi qu'il est entré au bras de 2 nymphettes dans un restaurant ou une réception, et a lâché un pet monumental. L'assemblée s'est donc tournée vars le trio, les 2 demoiselles étaient outrées, et Guitry, royal aurait dit d'une vois forte :
- Ce n'est rien mesdemoiselles. Vous n'avez qu'à dire que c'est moi !

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

[ Dernière édition du message le 21/06/2016 à 16:17:03 ]

68
Je ne sais plus pourquoi j'ai repensé à une sage lecture faite il y a quelques décennies, l'ouvrage s'intitule "Le WITZ, ou le trait d'esprit".

C'est de Freud, mais pour une fois on se marre à toutes les pages.

Parmi les anecdotes, il citait celle d'un roi (je crois même me ressouvenir qu'il s'agissait de Louis XIV himself), grand sauteur devant l'Eternel qui, traversant un village à cheval, remarque dans la foule un jeune paysan qui lui ressemble vraiment beaucoup, physiquement.

Le Bourbon (dont la guérison de la fistule anale inspirera l'Italien Lully, lequel, repompé note-pour-note par un Allemand devenu anglais sous le nom de Haendel, prendra le nom de "God save the King" -l'hymne célèbre qu'on dédie aujourd'hui à Mamie Elizabeth-), le Roi donc s'approche de son presque-sosie, bien qu'il eût pu être son fils... Il arrête donc son cheval et le reste du convoi pour pouvoir adresser de son air le + supérieur :

- " Votre mère aura travaillé à la Cour, je présume ?!...

- " Certes non, Sire... Mon père, oui !
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Je ne sais plus où ni quand j'ai lu cette anecdote concernant John Lennon écolier, ni non plus quelle crédibilité on peut lui accorder.
Paraissant toutefois probablement authentique, peut-être un peu romancée, je vous la livre au prix où je l'ai touchée.

Ainsi donc, dans la classe de John Lenon, l'instituteur avait déclenché ce jour-là un "devoir surveillé" sur le thème : "Que voulez-vous faire plus tard ? (= quand vous serez grand)".

Tandis que ses petits camarades débutent d'inspirer leur pensée dans les airs, ou besognent déjà à leurs descriptions, Lennon écrit simplement sur sa feuille : "musicien"; et s'en va tout aussi spontanément reposer sa copie sur le bureau du maître...

Dans le silence de la classe, le prof inscrit alors quelques mots sur le "devoir" puis, allant promener sa surveillance d'une table à l'autre, dépose sur celle de John sa copie "corrigée"...

Le p'tit gars de Liverpool lit à voix basse la sentence de son prof :
"Vous n'avez rien compris à cet exercice".

Avant de prendre congé et de quitter la salle, Lennon re-gribouille sa copie et la dépose à nouveau sur le bureau de l'instit' :
"Vous n'avez rien compris à la vie".



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Je la connaissais avec "heureux" en lieu et place de "musicien".

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

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Citation :
Vous ne m'avez pas crue, vous m'aurez cuite

Jeanne d'arc

La fleur parfaite est chose rare. On pourrait passer sa vie à en chercher une, et ce ne serait pas une vie gâchée.

 

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guefla
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Hors sujet :
Des suites d'un rêve, mais préalablement à la naissance d'une koala, m'est revenue celle-ci -d'après Freud (bien que je préfère toujours Descartes:oops2:)...



Au sortir d'une soirée, une forme de bourgeois donne à un mendiant une pièce.
Une pièce qui vaut pas mal d'argent, si elle ne vaut pas de l'or.
Le calèche du bourgeois s'évanouit dans la nuit, dans cette nuit qui s'estompe et puis succombe.

Deux jours alors, une semaine peut-être, se passent.
L'indulgent s'en revient manger, sur les lieux où il avait trouvé l'indigent.
Et ne l'y croise pas : l'heure n'est pas encor au soir.

Il pousse et passe la porte de l'établissement...
Ô surprise ! : il y découvre "son" désoeuvré... attablé dans cette auberge réputée, et qui se régale à pleine-bouche d'un homard !...

:8O:
- Eh bien ! est-ce-là donc l'usage que vous faites de la monnaie que je vous ai concédée !

Le clochard se lève :

- Ben vous ne manquez pas de culot, vous !

Quand je n'ai pas d'argent, je ne peux pas manger du homard à l'armoricaine, et dès que j'en ai, vous ne voudriez pas que je mange un homard à l'armoricaine ! : Dites-moi : quand est-ce que je peux manger un homard à l'armoricaine !?




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Jean-Jacques Debout avait proposé à Line Renaud de lui composer une comédie musicale.
Il aurait appelé ça : "Vas y, Line!"

 Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/