Sujet Café des sports: analyse et commentaire de l'actualité sportive

Citation : Laisse les italiens en dehors de tout ça, tu veux bien ? On parle de la France là non ?

Citation : Oue mais j'faisait remarquer ce psgiste qu'il cumulais et que ces belles lecons il pouvait se les foutre au cul.

Citation : ces gros pétards qui peuvent être chargés de jusqu'à 50 grammes de poudre

Citation : Foot - Justice : Le supporter de l'OM en prison

Le jeune supporter de l'OM qui a avoué avoir lancé l'explosif ayant grièvement blessé à la main un sapeur pompier lors de Nice-Marseille, a été placé sous mandat de dépôt et écroué jeudi sur ordre du tribunal correctionnel de Nice devant lequel il a comparu sur citation directe. Il restera en prison jusqu'à la date de son procès, fixé au 7 décembre.

Cette décision a été prise par la présidente, Christine Ruellan, pour «mettre fin au trouble à l'ordre public». Soulignant que l'étudiant domicilié à Narbonne s'est «rendu librement», le procureur Eric de Montgolfier avait requis une remise en liberté sous contrôle judiciaire et une interdiction de stade jusqu'au procès. «Ici se rend la justice», avait déclaré le procureur mettant ensuite en garde contre toute «réaction vindicative dans ce dossier où il y a beaucoup de responsabilités et dont les faits ont eu des conséquences très graves».

Les deux avocats du prévenu ont demandé le renvoi du procès car la «vindicte judiciaire ne doit pas exister». «Ce dossier doit être jugé en dehors des emballements médiatiques et sans subjectivité». En entrant dans la salle d'audience, le prévenu, membre des «Fanatics», l'un des huit groupe de supporters du club de Marseille, portant une veste polaire, a été visiblement impressionné par la présence de nombreux journalistes venus assister à son procès dans lequel sont parties civiles la Ligue professionnelle de football, la Fédération française, l'OGC Nice et la famille du pompier blessé. A sa sortie du palais de Justice, le père de la victime a eu des propos mesurés. «Je ne pense pas que la prison soit une solution. C'est un enfant. C'aurait pu être mon fils», a-t-il dit.

Citation : Oue mais j'faisait remarquer ce psgiste qu'il cumulais et que ces belles lecons il pouvait se les foutre au cul.

Message de modération : Squadra et Martis: j'ai demandé à Morau de se calmer, c'est pas pour que vous en remettiez une couche. Ca prend pas beaucoup plus de temps de suspendre 3 personnes qu'une seule.