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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Anonyme
oryjen
Ça doit faire qqch comme: "putain qu'est-ce qu'on pourrait ramasser comme blé si on faisait avec ça un film bien consensuel avec une promo à la hauteur!"
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
pontchartrain
Jme demande comment et pourquoi un cinéaste peut monter ce genre de film : même si on connait que dalle au ciné, on sait très bien que ça va faire un flop
Il y a sûrement un truc qui nous échappe dans le montage financier de ce genre de film. Au final tout le monde sera payé. Comment les producteurs ( qui ne sont pas des débiles hein, il savent très bien que tel ou tel film va être un flop.) retombent sur leurs pieds? J'en sais rien.
vraiment aucun rapport, mais je pense à l'instant à une scène dans Le Parrain (Godfather 1, 2, 3 ? ) où Coppola insiste bien sur l'influence de la mafia à Hollywood, les frères Coen aussi, je ne sais plus dans quel film. Mais c'était il y a longtemps et pas en France.
Anonyme
Après j'ai du mal à imaginer que ça puisse financer autant de films débiles qui font un gigantesque flop, c'est pas non plus une manne infinie, et un film comme Bécassine ça doit probablement être minimum 10 millions d'€ de budget quand même...
edit après vérif' rapide : en réalité, bécassine c'est 5.1 millions de dollars, du coup effectivement avec ce genre de budget minuscule, un financement par le contribuable serait crédible.
[ Dernière édition du message le 05/07/2018 à 11:18:59 ]
oryjen
un truc qui nous échappe
Mais qui n'échappe pas à tout le monde, va.
Que ce soit le cinéma, les assurances, les grands projets d'équipement, de la construction automobile ou n'importe quoi d'autre, c'est la même cuisine, ça s'appelle du placement financier.
N'importe quoi qui déplace bp de fric profite illico à plein de monde, à commencer par le financeur.
Juste que la loi oblige à donner un motif pour faire circuler du pognon, donc les méandres (en France) de l'Avance sur Recettes que tout ce petit monde utilise à la perfection...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 05/07/2018 à 11:20:32 ]
pontchartrain
Merde, je me suis planté, c'est pas un film des frères Coen auquel je pensais, mais de David Lynch dans Mulholland Drive, avec la fameuse scène du cowboy "this is the girl".
[ Dernière édition du message le 05/07/2018 à 11:34:29 ]
Pictocube
Orygen a raison, en finance la rentabilité n'a pas beaucoup d'intérêt...
Mais en Farnce on a surtout un système de financement règlementé qui fait qu'une partie de nos impôts financent tous les films, qu'ils soient bons ou mauvais, et on appelle ça l'exception culturelle française sans jamais trop dire en quoi au juste c'est exceptionnel. Après, faut pas vous enflammer, la production française financée c'est moins de 300 films par an, c'est déjà pas mal mais on est loin d'autres volumes, et en plus on produit pas non plus les plus chers...
En détail :
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Pictocube
Pour ceux qui se demande comment les recettes guichets représentent autant c'est parce que le CNC taxe la billeterie cinéma jusqu'à 80%... D'où les difficultés des exploitants de salles.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
oryjen
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