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Les véhicules de collection, ou comment l'imperfection rend amoureux

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Sujet de la discussion Les véhicules de collection, ou comment l'imperfection rend amoureux

T'as cliqué : c'est soit que tu es curieux, soit que tu aimes.

 

Si tu aimes, partage ta passion ! Je pense à Belmoufles avec sa TR3 (il me semble), Picto avec sa 911, Greg avec son... euh, bus  , et tous ceux qui en pincent pour des véhicules qui vous emmènent moins loin que ceux d'ajourd'hui, avec moins de confort, plus de bruit mais tellement plus de charme !

 

 

Si tu ne connais pas spécialement, voici pourquoi je craque, et que je supporte de moins en moins de ne pas avoir de moyens propres (pour avoir autre chose qu'une Twingo) :

 

BMW 2800 :

Impossible d'insérer les photos, je ferai un second post...

Elle a une ligne légère, racée, légèrement agressive : je l'aime. Elle ressemble un peu à des italiennes de la même époque (cf. Lancia Fulvia, que je présenterai plus bas), avec la puissance et la qualité germaniques.

À noter la version 3.0 CSL 'Batmobile', aujourd'hui plus que chère et très impressionnante.

 

Alfa Romeo Giula Sprint GT 'Bertone' :

LA voiture représentative de la sportive latine de l'époque. Carrière longue, très répandue, nombreuses versions : de la basique Junior à la GTA Stradale.

 

Lancia Fulvia :

Une des premières tractions avant en compétition, nombreuses victoires en rallye en version HF (Haute Fidélité).

 

MGB :

Deuxième roadster le plus vendu au monde (après la Mazda MX-5 'Miata'), et version coupé qui ne manque pas de charme.

 

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

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31971
Citation de Projacks :
Le seul moyen pour que les gens acceptent de lâcher leurs voitures pour les transports en commun c'est que les "grand" trajet qui nécessitent un moyen de transport motorisé deviennent exceptionnel, (en développent le télétravail, en faisant des villes a taille humaine où on peut déposer ses enfant à l'école à vélo ou à pied, en arrêtant de faire ses course pour une semaine dans des hypermarché et qu'on se recentrent sur des commerces de proximités où on peut aller à pieds ou à vélos et faire des petites courses transportable)

Hors la question du télétravail, c'est la description de ce qu'était l'organisaton de notre pays au début des années 60, mais ce qu'on a jugé comme étant "le progrès" a installé le bordel que tu décris au détriment de l'intelligence et de la praticité du "à côté de chez soi" dont on bénéficait à l'époque.
31972
Citation :
Si ça s'trouve, ma Vel Satis V6 essence va prendre de la valeur ...


Restons sérieux....
31973
x
Hors sujet :
Projacks > Je ne sais pas dans quelle ville de malotrus tu vis, mais pour ma part, je navigue quotidiennement dans les transports en commun et les nuisances que tu évoques sont plus qu'exceptionnelles (à par le fait qu'à certaines heures on peut être assez nombreux.) Mais il est rarissime de tomber sur des gens aussi sales et mal élevés. Mon père qui assez agé ne voyage jamais debout: les gens se lèvent systématiquement pour lui offrir leur place assise et c'était pareil pour moi, lorsque je me déplaçais avec une béquille.
31974
Je pense que l'idéal, dans les métropoles, reste le vélo, moyen de transport individuel, écolo et sympa. Mais on a préféré des lucratifs transports en commun (pour les entreprises, souvent privées ou semi privées, qui s'en occupent), les voitures individuelles diesel, au lieu de faire des infrastructures pour les vélos, telles qu'elles existent pour les villes des pays bas.
C'est totalement dans les moeurs qu'un gusse travaillant comme cadre sup', gagnant 3500€/mois et habitant à 10km de son lieu de travail, fasse les trajets aller-retour en vélo...
Là bas il ont des pistes cyclables partout, absolument partout, du centre ville à la périphérie, qui sont dédiées et dévolues aux vélos, avec même des sableuses/déneigeuses spécifiques.

Pour les transports en commun, je rejoins projacks, à Paris c'est hyper bien foutu, dans les grandes villes de province, ça va du gros n'importe quoi au correct.

[ Dernière édition du message le 21/05/2016 à 12:13:34 ]

31975
Citation de sonicsnap :
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Hors sujet :
Projacks > Je ne sais pas dans quelle ville de malotrus tu vis, mais pour ma part, je navigue quotidiennement dans les transports en commun et les nuisances que tu évoques sont plus qu'exceptionnelles (à par le fait qu'à certaines heures on peut être assez nombreux.) Mais il est rarissime de tomber sur des gens aussi sales et mal élevés. Mon père qui assez agé ne voyage jamais debout: les gens se lèvent systématiquement pour lui offrir leur place assise et c'était pareil pour moi, lorsque je me déplaçais avec une béquille.


Chartres :-D
Après évidemment c'est en proportion variable en fonction des lignes et c'est pas toujours tout à la fois non plus mais quand c'est sur ta ligne et ben tu es sur que t'y à le droit au moins une fois par jour.

 Un petit sub sympa

Ceux qui déplacent des montagnes... font chier les cartographes.

31976
Citation :
au lieu de faire des infrastructures pour les vélos, telles qu'elles existent pour les villes des pays bas.

À Séville c'est particulièrement bien fait aussi. Et c'est aussi hyper pratique pour les touristes.



Mais j'espère voir des photos de la Illa d'Este. :oops2:
31977
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Hors sujet :
Citation :
Mais j'espère voir des photos de la Illa d'Este. :oops2:


t'étais pas censé y être ? Du coup qui d'AF y a été ? :?!:
31978
Citation de youtou :
Je pense que l'idéal, dans les métropoles, reste le vélo, moyen de transport individuel, écolo et sympa. Mais on a préféré des lucratifs transports en commun (pour les entreprises, souvent privées ou semi privées, qui s'en occupent), les voitures individuelles diesel, au lieu de faire des infrastructures pour les vélos, telles qu'elles existent pour les villes des pays bas.
C'est totalement dans les moeurs qu'un gusse travaillant comme cadre sup', gagnant 3500€/mois et habitant à 10km de son lieu de travail, fasse les trajets aller-retour en vélo...
Là bas il ont des pistes cyclables partout, absolument partout, du centre ville à la périphérie, qui sont dédiées et dévolues aux vélos, avec même des sableuses/déneigeuses spécifiques.

Pour les transports en commun, je rejoins projacks, à Paris c'est hyper bien foutu, dans les grandes villes de province, ça va du gros n'importe quoi au correct.


Pour le vélo comme moyen normal de transport, je pense que vous allez y arriver, les projets de vélo à emprunter ou similaire sont assez récents et marchent assez bien.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

31979
Le vélo a ses limites, notamment dans l'abandon de ce dont projacks souhaite le retour: La proximité. De 2004 à 2015, ma femme et moi avons pu utiliser quotidiennement nos vélos pour aller à nos boulots respectifs qui se trouvaient à 2kms et 3kms, ce dans une ville de 7.000 âmes. Gros coup de bol, parce qu'à présent que nous sommes à 20 et 25 bornes de nos deux tafs, le vélo ben voilà.

Chacun serait toujours certain de pouvoir trouver du boulot pas très loin, ça serait jouable, mais combien sont dans cette situation? Une part infiniment moindre que celle des gens obligés d'aller dans la grande métropole départementale locale ou à peine moins loin.

Evidemment, là, je parle de la province, mais l'addition de Paris Lyon et Marseille ne fait pas la dominante française à elle seule, me semble-t-il.
31980
Je comprends ce raisonnement, mais comment font donc les pays nordiques ?

Beaucoup de jobs en télétravail, beaucoup de vélo, et un urbanisme intelligent. Par exemple, beaucoup de suédois ont un appartement en ville et une stuga (maisonnette) à la campagne. La semaine c'est vélo, et le weekend, on fait 30 bornes pour être au calme.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.