Qu'est-ce qui vous amuse automatiquement ?
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Doc-Vazzo
Pictocube
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
sickfuzz
Y'en a un beau sur harmony central
Anonyme
Putain j' aime pas du tout le métal mais j' avoue que là , d' entendre l' autre s' étouffer avec la merde de chameau, j' ai eu comme de la sympathie !
jeremy19450
pour les 2
youporn café c'est un truc de branleurs
et pour boutin meme de villiers y va de sa frayeur satanico comico portnawak
une vielle et alors ...??
Anonyme
sickfuzz
Pictocube
"oh, ces paroles me choques"
2 choses :
- putain mais ça fait plus de 20 ans que des groupes de "métal" chante l'empalage à tour de bras, que les groupes de "rap" insulte les mamans des représentants de l'ordre, etc.
- ils s'écoutent des fois ces gens ?
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Dvt
Boutin, de Villiers ... Toutes ces grenouilles de Benito !
Tiens, je le remet :
jeremy19450
Depuis quelques jours, la sortie de Frank Leboeuf sur Goom Radio faisait se poiler la France entière. L’ancien Bleu avait déclaré : « Jamais dans mon idée je pensais que j’allais gagner Koh-Lanta devant des petits jeunes de 25 ans en pleine bourre. Mais j’ai voulu survivre, c’était une belle expérience. »
Une phrase un peu alambiquée, qui laissait la porte ouverte à plusieurs interprétations ? Comme nous l’avions expliqué, il était possible que les bases de la syntaxe se soient un peu mélangées dans le gros cerveau du défenseur central.
Aujourd’hui, et cela n’est apparemment pas un poisson d’avril, le sémillant tapeur de ballon ne devrait pas faire de vieux os dans Koh-Lanta, selon Emmanuel Berretta du Point.
Et la sortie du jeu devrait intervenir… dès demain !
En un mot, tout le monde s’est trompé mais cela tient à un point très précis : nous parlons peut-être trop bien français par rapport aux candidats de télé-réalité.
barre de
une vielle et alors ...??
jeremy19450
et ça
Le politique: Regardez cette semaine par exemple. Le jour 2 après qu'on ait tous jeté de grosses larmes sur l'abstention populaire, quel était le titre du journal Le Parisien? Faut-il rouvrir les maisons closes, sujet qui est venu sur quatre ou cinq radios, c'est intéressant ça non? Alors ce mélange de voyeurisme et de prostitution publique va continuer jusqu'à la catastrophe évidemment, évidemment bien sûr.
L'étudiant: En tout cas on dirait que ça intéresse les gens la réouverture des maisons closes.
Le politique: Mais si vous parliez de choses intelligentes, ça les intéresserait aussi.
L'étudiant: Mais c'est un débat important, c'est...
Le politique: Non c'est un débat sans aucun intérêt. Aucun intérêt.
L'étudiant: ça dépend... C'est un débat sur l'hypocrisie de notre société
Le politique: Voilà c'est ça, c'est tout le problème à vous le refoulé politique (sic) de la petite bourgeoisie. Moi je m'excuse mais ce que vous racontez ça concerne personne dans mon quartier. Personne s'est dit “tiens je préfèrerai aller dans une maison close que d'aller chercher les putes au coin de la rue”. J'ai jamais entendu quelqu'un me parler de ça. Sinon vous et votre sale corporation voyeuriste et vendeuse de papier.
L'étudiant: Parce que le problème c'est qu'elles sont dans les bois les prostituées...
Le politique: Mais j'en ai rien à faire. Si vous voulez me parler de ça, vous allez trouver quelqu'un d'autre, d'accord. Avec moi vous parlez de choses sérieuses. Dignitas and Gravitats, la maxime romaine. Avec moi vous parlez de politique et vos sujets de merde vous allez les faire avec des gens qui veulent répondre à la merde.
L'étudiant: Non mais ce que je veux dire c'est
Le politique: Non non c'est fini. Terminé. (bruits de bouche et clapets avec la main gauche) Tututututut.
L'étudiant: Non mais vous m'avez emmené sur le terrain de...
Le politique: Tu fermes ta petite bouche. Tu me parles de politique. Moi, je te parle de médias et de ton métier pourri et si tous ce que tu trouves à faire c'est de me répondre ça tu vas faire ton interview plus loin. Ok.
L'étudiant: Mais je ne comprends pas cette agressivité, enfin c'est...
Le politique: C'est vous qui êtes agressif, vous vous en rendez même pas compte tellement votre tête est pourrie.
L'étudiant: Mais c'est vous qui avait commencé à
Le politique: Vous vous trouvez digne de parler à un homme comme moi? Vous trouvez digne alors que je vous donne comme exemple un titre pourri du Parisien de commencer avec moi un débat sur la prostitution. Mais vous me prenez pour qui bonhomme? Je ne veux pas parler avec vous de ça, c'est clair? Si vous voulez me parler de politique, je vous répondrai.
L'étudiant: Bah fallait pas parler du titre du Parisien si vous ne vouliez pas parler de ça.
Le politique: Je veux vous parler du titre du Parisien petite cervelle, pas de la prostitution, du titre du Parisien
L'étudiant: C'est moi qui suis insultant ? Vous me parlez de petite cervelle et c'est moi qui suis insultant?
Le politique: Parce que je crois que c'est une limite que vous avez atteint.
L'étudiant: Ah bon... bah merci.
Le politique: Moi je ne vous dis pas merci. Vous êtes tous les mêmes et vous êtes en train de nous préparer un drôle de métier. Vous allez être comme les autres, à mouliner du papier qui se vend.
On dirait du théâtre. L'incohérence des propos du politique peut faire penser à Ubu Roi et la manière de discourir entre le politique et l'étudiant est un bel exemple de tartufferie ou comment celui qui se place dans une posture d'autorité peut imposer sa vision et ses propos à un autre en le faisant passer pour un moins que rien. Mais, malheureusement, ce n'est pas une pièce de théâtre. C'est un échange entre un homme politique populaire et très médiatique, Jean-Luc Mélenchon, et un étudiant en école de journalisme. Une discussion sur une place, entre deux tours d'élections régionales. Un jour banal.
une vielle et alors ...??
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