De battre, mon cœur une semi-seconde, lourdement s'est arrétaient.
Ah oui. Désolé. "Je n'ai pas cherché"... C'est mieux. je suppose que c'est ton "s'est arrétaient" (volontaire) qui m'a mis en trope sur la voie d'ange heureux..
Ce panneau donne envie d'aller y passer ses vacances..
Merci Hermon de Vinon pour la superbe série de photos. Elle sont toutes très touchantes. J'ai un faible pour la petite fille qui témoigne son affection pour l'éléphant. Ce n'est pas ordinaire mais c'est criant de vérité..
J'ai un faible pour la petite fille qui témoigne son affection pour l'éléphant. Ce n'est pas ordinaire mais c'est criant de vérité..
Œuvre de 1986 du photographe anglais John Drysdale, qui fut l'assistant de Cecil Beaton, puis photographia les Beatles, entre autres célébrités. Il fut surtout célèbre pour ses images (plus ou moins mises en scène) d'enfant côtoyant des animaux. On les trouve souvent en cartes postales.
Il est aussi fameux pour cet incident qui lui arriva en 1967 :
Ce n’est pas très fin.
C’est même extrêmement lourd.
Question sérieuse et sans aucune ironie de ma part : pourrais-tu poster un exemple de ce que tu considèrerais comme une blague très fine et extrêmement légère, et donc à l'opposé de celle qui suscite ta réprobation ? (Simplement pour savoir de quoi on parle, suite à une captivante discussion d'hier sur un autre fil d'AF à propos de ce qui est cliché pour les uns et de ce qui ne l'est pas pour les autres, de ce qui est respectable et de ce qui est condamnable, de ce qui appartient à l'ancien monde ou aux nouveaux temps, etc. ).
C'est un Juif, un Arabe et un Américain qui entrent dans un bar.
Quand il les voit arriver, le barman fait : "Haha, on dirait le début d'une blague pas fine !"