humour Les images qui tordent (ou pas)
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Anonyme

Tout est dans le titre
Edit modo: Lien retiré car plus valable.
trop loin

Light'UP!




NiNee




Il faut toujours faire faire par un autre le jour même , ce que l'on pourrait faire soi même le lendemain...
https://www.facebook.com/Woodyboard.fr/

gromeul


Et je vais l’oublier bien vite !

Nick Zefish

C'est la fille Varda... Encore une fille de..... pffff
C'est oublier un peu vite qu'un enfant qui grandit dans un environnement artistique sera "forcément" sensibilisé. Une amie musicienne pas du tout connue, pas du tout friquée, et mère seule très tôt, amenait sa fille à ses concerts par ce qu'elle n'avait pas le choix. A 6 ans, la mouflette avait déjà assisté à de nombreuses balances, se sentait à l'aise dans une salle de concert, et pouvait donner un avis pertinent sur la qualité du mix.

M.Low

La fleur parfaite est chose rare. On pourrait passer sa vie à en chercher une, et ce ne serait pas une vie gâchée.

Will Zégal


Nick Zefish


Bien sûr que le réseau de papa/maman peut aider. Mais pour avoir travaillé des années dans une salle de concert minuscule qui accueillait quasiment que des inconnus, l'effet parental joue beaucoup, y compris chez les gens pas connus. Les enfants ne suivent pas forcément le même art que leur parents. On peut aussi trouver des "déviants", qui ne deviendront pas musiciens mais ingés-sons, ou photographes... Mais l'attachement à l'art se transmet d'une génération à l'autre.
On a aussi accueilli des "fils et filles de" dans cette salle, et ce n'était pas grâce à leur parents. Mais force est de reconnaître que, si, ils avaient un certain talent.

Berzin

Il est évident que le nom (comme le fait de baigner dans le milieu aide).
Il est d'ailleurs amusant de voir que les artistes qui se plaignent parce que "c'est plus dur pour un enfant de..." prennent le plus souvent le nom ou le pseudo de papa-maman.
"Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

Kibouille

On peut d'ailleurs retrouver ce schéma dans différents domaines et pas seulement la musique, je pense par exemple à la 1ère année de médecine où il est bon de se faire corriger pour ne pas prendre de retard.
Quand les parents ont bossé dur pour obtenir quelque chose, pour aboutir dans un domaine, ils feront forcément profiter à leur descendance de leur savoir, de leurs erreurs et c'est bien normal (ne serait ce qu'en discutant au quotidien ou même pas simple mimétisme) MAIS ça ne dédouane pas de bosser dur pour arriver personnellement à faire quelque chose soit même par la suite.
Pour finir, quelque soit le boulot qu'ils auront fait, ils auront toujours cette étiquette sur le dos.
La musique habille le silence

kosmix

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Môssieur Jean

Sa mère, institutrice et très pieuse, joue de la flûte traversière ; son père, agent immobilier, écoute Michel Polnareff, Serge Reggiani et Charles Aznavour, et c'est le père d'une amie qui l'initie à la folk et la country américaines2,3. Elle fait son lycée à Lyon à la Cité Scolaire Saint-Exupéry4, dans le quartier de la Croix-Rousse.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pomme_(chanteuse)

Coyote14

Je ne sais pas où il est écrit qu'elle est la fille de Varda
Nan, mais c'était rapport à ses cheveux, c'est tout.



Neveud


aujourd'hui je reste couché / tout a déja été fait / rien ne disparait / tout s'accumule (dYmanche)

Anonyme


Berzin

le fait d'être "l'enfant de" est souvent un handicap.
Non, justement ! Si tu veux te lancer dans la musique et que tu te nommes Hallyday, ça t'ouvre bien plus de portes que si tu es enfant de plombier. Les fils/filles de sont avantagés très largement par le fait qu'ils ont déjà un pied dans le milieu. Leur entourage est plein de musiciens, de producteurs, de journalistes, prêts à donner un coup de main. Certains savent qu'ils peuvent capitaliser sur leur nom notamment. Tu portes un nom connu, même avec un album très moyen, les producteurs savent que l'effet de curiosité fera que ça se vendra un minimum.
C'est simplement une question de réseau (ou de capital social pour parler comme un sociologue), ça te permet d'avoir des entrées un peu partout, de bénéficier de tout un tas de conseils, etc.
C'est la même chose dans tous les milieux. J'ai beaucoup fréquenté l'université, je peux te dire que j'ai vu plus d'un(e) fils/fille de prof qui ont eu des postes importants et qui étaient pour certains loin d'être brillants, beaucoup moins en tout cas que certains enfants de milieu populaire qui n'ont jamais pu obtenir un poste.
On dit souvent qu'être fils d'artiste, c'est dur parce qu'il y a l'ombre du père ou de la mère, mais comme dit plus haut rien ne les oblige à le faire et être fils d'ouvrier n'est pas plus simple à vivre quand tu évolues dans des milieux où la majeure partie des gens sont des fils de bourgeois. Je me souviens d'un écrivain à succès qui avait beaucoup souffert de honte sociale avec un père ouvrier alors que tous les gens de son entourage étaient fils/fille de médecin, avocat, prof de fac, écrivain, producteur... il avait mis 20 ans à parvenir à l'avouer.
Ce qui n'empêche pas le fait que certains sont très bons.
"Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier
[ Dernière édition du message le 15/02/2021 à 22:07:56 ]

Coyote14

Si tu veux te lancer dans la musique et que tu te nommes Hallyday

Kibouille

Alors comme d’habitude on ne peux pas généraliser, rien n’est noir ni blanc, tout est gris.
La musique habille le silence

karloguan

Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !

Anonyme


boulooban



Neveud

et à fait mieux que son père.
pardon mais
(louis était déja fils de)
aujourd'hui je reste couché / tout a déja été fait / rien ne disparait / tout s'accumule (dYmanche)
[ Dernière édition du message le 16/02/2021 à 00:27:16 ]

Anonyme

La Buckler, cet ersatz de bière sans alcool
après une telle phrase j'aimerais bien savoir ce qui trouve grâce auprès de tes oreilles.

kosmix

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Anonyme


Will Zégal

Seulement ils n'ont pas besoin du même talent que les fils de personne pour percer.
Cela s'appelle du népotisme. C'est tout.
De la même façon qu'un fils d'ouvrier à beaucoup moins de chances, à talent égal ou supérieur, d'atteindre des hauts échelons dans le business qu'un enfant de businessman.
La conséquence de tout ça est qu'on a des mediocres aux meilleurs postes aux lieu d'avoir les plus doués alors qu'on vit dans une société baignée par le mythe de la méritocratie.
Et on le paye tous.
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