On se moque quand même ouvertement de la façon de parler d'étrangers, qui affichent - comme par hasard - des traits très stéréotypés, quasiment caricaturaux, habituellement réservé aux membres de peuples étrangers : peau mate, coiffure exotique.
Bien entendu tout le monde a remarqué la prédominance du sexe masculin. Bien sûr qu'il y a une femme : elle joue le même rôle que les noirs dans les flims américains, à savoir servir de vecteur véhiculatoire d'une certaine idée de la multitude. Mais la ridiculisation blasphématoire, raciste et machiste est bien là.
Je ne comprends pas que sur un site traitant d'audio, perdurent de telles images, outre leur légende comme de coutume bourrée de fautes d'orthographe. Quel exemple décadent de la société cosmopolite en fin de vie qui est la nôtre.
C'est la faute aux hommes politiques.