+1 empism. Trumpien en diable, en fait.
Eastwood a toujours eu cette fibre à la con, mais jusqu'à présent il parvenait à la vendre avec assez de subtilité pour rester du côté du doute.
Mais là...
+1 empism. Trumpien en diable, en fait.
Eastwood a toujours eu cette fibre à la con, mais jusqu'à présent il parvenait à la vendre avec assez de subtilité pour rester du côté du doute.
Mais là...
Bah moi ça fait longtemps que je le trouve con, que je ne peux pas le saquer, et que je ne vais plus voir ses films, très surcôtés depuis très longtemps.
Dès le second Inspecteur Harry on sent qu’on a affaire à un putain de gros réac.
[ Dernière édition du message le 15/12/2017 à 23:50:48 ]
empism
2554
Squatteur·euse d’AF
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34559Posté le 16/12/2017 à 01:47:48
Pouet, Ory
Ouep. J'ai bien aimé certains de ces films, comme "Un frisson dans la nuit" et "Josey Wales", Bird est honnête pour un biopic. Il n'échappe pas au schéma rise and fall, ( devrait être interdit ça maintenant ) mais la plupart des auteurs se cassent les dents à parler de musiciens de toute façon. On peut reconnaître qu'il a eu un jour un certain talent à se défaire du rythme invisible qui crible toutes les productions commerciales. comme un pattern de boîte à rythme ou la résolution sera sur un des 16 pas quelle qu'elle soit. Par exemple dans "Un frisson..." je me souviens de longues scènes de concert.
Ses films post-2000 sont vraiment mauvais mais je pourrait dire la même chose de Silence de Scorsese par exemple. Il y a trop de raisons pour lesquels ils sont navrant.