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Sujet Les perles de Youtube

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Sujet de la discussion Les perles de Youtube

J'ouvre ici ze concours des perles :

Je commence

https://www.youtube.com/watch?v=FjeMDvCdrtc

à vous :bravo:

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AH LE CON ! eek

Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer

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Finalement en tentant de briser la glace, il n'a fait que tendre l'ambiance ! :oops2:

"To boldly go where no man has gone before."

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une envie de rire ?? facepalm

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Enfin de la vrai musique sur les ondes ça fait du bien!

8945


envie de pleurer plutôt icon_surpris.gificon_mrgreen.gif

8946

Une vraie perle pour souffler un peu...

 

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Hors sujet :

On voit bien l'huître, mais pas la perle....

 

 

[ Dernière édition du message le 14/08/2010 à 16:34:18 ]

8948

icon_pong.gif 

8949

facepalm

8950


Piégé !" Le lieutenant-colonel Romuald Letondot ne peut que le déplorer piteusement : "Je me suis fait piéger !" Ce coopérant militaire français en poste au Togo a, en effet, acquis subitement, depuis mercredi 11 août, une certaine notoriété grâce à YouTube. Une vidéo l'y montre en train de menacer le photographe togolais Didier Ledoux. "Piégé" par Internet, par les journalistes, par lui-même surtout et ses propres réflexes qui rappellent le temps, pas encore totalement révolu, de la Françafrique.

"Piège" ? Le militaire voulait faire effacer une photo d'un journaliste de Liberté le montrant sur les lieux d'une manifestation d'opposants réglée à coups de lacrymogènes par les gendarmes togolais. Si elle avait été publiée, l'image ne serait probablement jamais sortie du cercle restreint des lecteurs de l'hebdomadaire d'opposition. Aujourd'hui, la scène, tournée par un cameraman de Reuters, buzze sur le Web mondial, où elle a déjà été visionnée un demi-million de fois.

On le voit sanglé dans son uniforme couleur sable. On l'entend, surtout, aboyer après le photographe : "Je m'en fous que tu sois de la presse, tu enlèves ta photo (...). Tu veux qu'on mette un coup sur l'appareil ou quoi ?".

Tu sais qui je suis ?"

Et comme le photographe togolais lui fait remarquer qu'il couvre un événement public, et que c'était comme si, lui, lui demandait son arme, le lieutenant-colonel explose : "Tu sais qui je suis ? Je suis le conseiller du chef d'état-major de l'armée de terre. Tu veux que j'appelle le RCGP (régiment des commandos de la garde présidentielle) pour foutre un peu d'ordre là-dedans ?" Epaulé par des gendarmes casqués, il ordonne à l'un d'eux : "Tu le mets en taule !" Le cameraman tourne, le militaire s'en rend compte trop tard.

Finalement, Didier Ledoux efface son cliché. Sans doute un vieux réflexe appris durant les trente-huit ans de règne de Gnassingbé Eyadéma - un ami de la France, mort en 2005 - durant lesquels la presse n'a guère eu le loisir que d'user la libre expression à force de ne pouvoir s'en servir. C'était avant YouTube, aussi.