Alerte Citations
- 99 496 réponses
- 910 participants
- 3 130 254 vues
- 755 followers
avatar au congo
Citation : Moi depuis que je paye plus mon loyer, j'ai considérablement augmenté mon pouvoir d'achat
Pere Founasse
Très belle jument. Je n'en ai jamais monté de pareilles.
Provocateur d'extrême droite
_d j a n g o
Vous êtes super lourd(e)s !
Résultats du questionnaire écolo :
[jj]
Hors sujet : Pardon Picto, si j'avais su, je n'aurais jamais posté ton propos tellement il me semblait que le "débat" qu'il y a eu était déjà acquis d'avance et que donc il n'allait pas avoir lieu une nième fois... Bien évidement je n'avais pas pour but de te faire passer pour un gros lourd mais juste taquiner un peu. Je sais très bien que tu es respectable, que tu as femme et que tu va bientôt céder à faire un gamin (héhé) et donc j'avais très bien compris le degré de ton intervention qui n'avait aucune ambition de gaspiller toute cette énergie là ! Voilà c'est sans doute moi le gros lourd qui a balancé cette citation qui aurait du rester là où elle était en fait. Pardon pour le dérangement
Pictocube
JJ, :mainsurlépaule:, je ne t'ai jamais tenu pour responsable de ce qui est arrivé, tu ne dois pas te sentir coupable, ce n'était pas ta faute.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
Citation : je ne t'ai jamais tenu pour responsable de ce qui est arrivé, tu ne dois pas te sentir coupable, ce n'était pas ta faute.
Savourons à sa juste valeur cette très belle restitution de cette réplique cultissime que l'on a eu la joie d'entendre de la bouche savoureuse de Victoria Newman dans l'épisode 1234 de la série culte "les Feux de l'amour".
lohworm
Hors sujet : Citation : Pourquoi le mot "mâle" est-il généralement valorisant pour les hommes et le mot "femelle" dévalorisant pour les femmes ? Citation :
parce que :
* Un gars : c'est un jeune homme
* Une garce : c'est une pute
* Un courtisan : c'est un proche du roi
* Une courtisane : c'est une pute
* Un masseur : c'est un kiné
* Une masseuse : c'est une pute
* Un coureur : c'est un joggeur
* Une coureuse : c'est une pute
* Un rouleur : c'est un cycliste
* Une roulure : c'est une pute
* Un professionnel : c'est un sportif de haut niveau
* Une professionnelle : c'est une pute
* Un homme sans moralité : c'est un politicien
* Une femme sans moralité : c'est une pute
* Un entraîneur : c'est un homme qui entraîne une équipe sportive
* Une entraîneuse : c'est une pute
* Un homme à femmes : c'est un séducteur
* Une femme à hommes : c'est une pute
*un traînard : c'est un homme qui est tout le temps en retard
*une traînée : c'est une pute
* Un homme public : c'est un homme connu
* Une femme publique : c'est une pute
* Un homme facile : c'est un homme agréable à vivre
* Une femme facile : c'est une pute
* Un homme qui fait le trottoir : c'est un paveur
* Une femme qui fait le trottoir : c'est une pute
* Un péripatéticien: c'est un élève d'Aristote
* Une péripatéticienne: c'est une pute
* un chien : c'est un type méchant
* une chienne : c'est une pute
* un gagneur : un winner
* une gagneuse : une pute...
Anonyme
Hors sujet : Ainsi, on peut résumer en disant :
Un homme : C'est un mec
Une femme : C'est une pute
?
phoenix (was acapela)
Citation : Pourquoi le mot "mâle" est-il généralement valorisant pour les hommes et le mot "femelle" dévalorisant pour les femmes ?
Le terme "femelle" peut être perçu comme dévalorisant pour une femme parce qu'il restreint son rôle à celui de reproductrice, faisant fi de sa conscience humaine. Bref, la terminologie "femelle" ramène à la notion animale, quelque peu réductrice pour le coup.
Le terme "mâle" est peut-être valorisant pour les hommes, mais sous conditions... entre vous, vous vous mettez dans une compétition inconsciente (enfin, parfois consciente), où "mâle" est synonyme de puissance.
Pendant de nombreux milliers d'années, par instinct de survie de l'espèce, le "mâle" humain a priviligé la quantité d'un point de vue progéniture alors que la "femelle" a priviligé la qualité. En conséquence, l'homme a davantage un réflexe de survie ayant trait à la quantité de descendants, alors que la femme va plutôt avoir tendance à choisir avec soin son partenaire (selon des critères certes subjectifs) en fonction de sa qualité génétique (beauté par exemple).
Ca, c'est un fait avéré et connu de tout ethnologue des sociétés primitives. Sauf que l'espèce humaine a évolué et n'est plus au stade "primitif" tout comme elle n'est plus au stade de la survie.
Alors les attentes "biologiques" des hommes et des femmes évoluent, au même titre que l'évolution de leur psychée. Les rôles primitifs ne sont plus aussi clairs ; les femmes ont désormais un rôle social en plus du rôle familial et se doivent d'être plus "incisives" ; les hommes doivent développer leur part "féminine" et faire preuve de plus de sensibilité.
Cependant, il faut noter que cette évolution naturelle sortant l'espèce humaine de l'ère primitive et l'éloignant du stade de la survie a subi, pour notre civilisation judéo-chrétienne en tout cas, une altération certaine à cause des idées véhiculées par les religions. Ces idées, qui correspondaient à la réalité à leurs débuts, sont restées inertes et ont cantonné la femme totalement exclue de tout rôle social.
La citation de lohworm va complètement dans ce sens, où, dès lors que la femme veut s'affranchir de ce carcan archétypal judéo-chrétien, elle est mise au pilori (notez que tous les exemples ont pour point commun l'indépendance sociale ;) ).
Ainsi, pendant des milliers d'années, la femme a été cantonnée dans un rôle, l'homme dans un autre. Depuis très peu de temps (à l'échelle de l'espèce humaine) les rôles ne sont plus aussi clairs, et tout le monde s'y perd.
La femme veut être une battante tout en étant en demande de tendresse ; l'homme se doit de demeurer un guerrier professionnel (et donc social) et le soir à la maison, il doit être un bon nounours qui fait plein de calins.
Certains êtres s'adaptent, d'autres moins... La femme pleurniche sur son sort parce qu'elle doit tout faire (bosser, s'occuper des enfants, de la maison, vivre seule avec les gosses alors qu'elle a viré le mec, etc) ; l'homme, avec ses repères de "tout-puissant" perdus devient acerbe avec la moindre femme qui a le malheur de le regarder droit dans les yeux tout en espérant se trouver une (ou plusieurs !) "princesses".
Ainsi, pour les femmes, encarcannées depuis des centaines d'années et commençant juste à acquérir une forme de liberté sociale, être ramenées, par le mot "femelle" à un rôle qui ne lui est plus dévolu depuis l'Age de Pierre peut être très vexant.
Pour les hommes, demeurer "le mâle" peut être réconfortant quant à leur rôle clairement défini jusqu'il y a une petite centaine d'années. Cela dit, tout dépend d'où "mâle" vient...
En effet, je pense que si une femme se mettait à toiser un homme, à le scruter d'un air vorace et en disant de lui que c'est un "mâle", l'homme en question se sentirait dévalorisé également. Après, libre à lui d'être vexé, ou de se mettre un masque de testostérone pour éviter la douleur, en contraignant son esprit à penser "ho ! quelle salope celle-là !"
- < Liste des sujets
- Charte