Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
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kravatorf
9930
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 16/08/2004 à 23:02:11Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui
allez à vous
Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui
allez à vous
azzy123
7944
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
10771 Posté le 23/06/2010 à 12:11:31
D'abord le juifs, puis les arabes, et maintenant les clodos ? Pas étonnant que la nouvelle génération d'humoristes français soit à chier
"Don't mind your make-up, you'd better make your mind up." - FZ
Anonyme
8690
10772 Posté le 23/06/2010 à 12:17:39
Le soir tombe sur la Seine paresseuse et alanguie. Le flot des voitures, sur les quais, commence à se réduire et, ça et là, les lampes et réverbères s'allument une à une dans la nuit, lampions tremblants plantés au bord des routes, ou peureusement accrochés aux façades des immeubles...
Dans la touffeur de cette douce nuit d'été, deux clodos, unis dans le malheur et la misère depuis trop longtemps, se sont installés, là, sous le pont de l'Alma, à l'abri du zouave qui depuis tant de temps baigne ses pieds de pierre dans l'eau saumâtre du fleuve capital. Robert et Raymonde, que la vie n'a pas épargnés... ils ont faim, comme chaque soir. Ils sont sales, comme chaque soir. Mais pourtant, au coin de leurs yeux, brille encore une petite flamme que les vacheries de l'existence n'ont pas réussi à éteindre tout à fait.
Raymonde, prise par la douceur du soir d'une émotion impalpable, se serre contre son compagnon aux traits burinés et ravagés par l'existence. Il remue. Elle ose alors, comme au bon vieux temps de leur jeunesse hippie dans les fermes du Larzac, envoyer en éclaireuse une main calleuse, râpée, cuite par le soleil, mais vibrante à l'intérieur d'une passion inassouvie...
Robert se laisse faire. Et la main de Raymonde part à l'aventure... soudain, la voix tremblante de la vieillarde fuse dans la nuit:
- Mais tu bandes, mon chéri ?
- Non, je chie...
Dans la touffeur de cette douce nuit d'été, deux clodos, unis dans le malheur et la misère depuis trop longtemps, se sont installés, là, sous le pont de l'Alma, à l'abri du zouave qui depuis tant de temps baigne ses pieds de pierre dans l'eau saumâtre du fleuve capital. Robert et Raymonde, que la vie n'a pas épargnés... ils ont faim, comme chaque soir. Ils sont sales, comme chaque soir. Mais pourtant, au coin de leurs yeux, brille encore une petite flamme que les vacheries de l'existence n'ont pas réussi à éteindre tout à fait.
Raymonde, prise par la douceur du soir d'une émotion impalpable, se serre contre son compagnon aux traits burinés et ravagés par l'existence. Il remue. Elle ose alors, comme au bon vieux temps de leur jeunesse hippie dans les fermes du Larzac, envoyer en éclaireuse une main calleuse, râpée, cuite par le soleil, mais vibrante à l'intérieur d'une passion inassouvie...
Robert se laisse faire. Et la main de Raymonde part à l'aventure... soudain, la voix tremblante de la vieillarde fuse dans la nuit:
- Mais tu bandes, mon chéri ?
- Non, je chie...
[ Dernière édition du message le 23/06/2010 à 12:19:55 ]
F.M.R
3
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 14 ans
10773 Posté le 23/06/2010 à 12:23:34
Citation de : azzy123
Si j'avais pu placer l'image...
:Ehdites:
Tain j'ai failli chialer sur la dernière,D'abord le juifs, puis les arabes, et maintenant les clodos ? Pas étonnant que la nouvelle génération d'humoristes français soit à chier
Si j'avais pu placer l'image...
:Ehdites:
Triste fin.
On sait tous qu'on doit mourir...
[ Dernière édition du message le 23/06/2010 à 12:44:57 ]
Anonyme
14795
10774 Posté le 23/06/2010 à 12:47:05
Un petit indien qui demande à son père:
- Père pourquoi mon grand frère s' appelle-t-il Grand Faucon A L'Oeil Perçant Qui Plane Sur L'Horizon ?
- parce que, mon fils, ta mère et moi avons conçu ton frère alors qu' un grand faucon à l'oeil perçant planait au loin.
Le petit indien réfléchit deux minutes.
- et mon autre grand frère, pourquoi s' appelle-t-il Petit Poisson D'Argent Qui File Dans L'Eau Claire ?
- parce que, lorsque nous l' avons conçu, ta mère et moi, nous étions au bord d' une rivière dans laquelle passait un joli petit poisson argenté.
Deux minutes plus tard.
- et Père, pourquoi...
- laisse moi maintenant, je suis pressé, Jeunes Chiens Qui S'Enculent Devant Le Tipi.
- Père pourquoi mon grand frère s' appelle-t-il Grand Faucon A L'Oeil Perçant Qui Plane Sur L'Horizon ?
- parce que, mon fils, ta mère et moi avons conçu ton frère alors qu' un grand faucon à l'oeil perçant planait au loin.
Le petit indien réfléchit deux minutes.
- et mon autre grand frère, pourquoi s' appelle-t-il Petit Poisson D'Argent Qui File Dans L'Eau Claire ?
- parce que, lorsque nous l' avons conçu, ta mère et moi, nous étions au bord d' une rivière dans laquelle passait un joli petit poisson argenté.
Deux minutes plus tard.
- et Père, pourquoi...
- laisse moi maintenant, je suis pressé, Jeunes Chiens Qui S'Enculent Devant Le Tipi.
**naPOLEoN**
27840
Vie après AF ?
Membre depuis 18 ans
10775 Posté le 23/06/2010 à 12:54:12
Babababababa
Pictocube
36871
Ma vie est un thread...
Membre depuis 17 ans
10777 Posté le 23/06/2010 à 13:53:31
Je la connaissait avec pétale de rose et poutrelle d'acier.
Dada t'es immonde.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Bitozar
1457
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
10778 Posté le 23/06/2010 à 14:26:14
Un homme revient d'un voyage d'affaire aux Etats-Unis. Une fois ses bagages récupérés, il sort de l'aéroport pour appeler un taxi. Un homme qui, manifestement, est un garde du corps l'aborde :
- Monsieur Sinatra, votre voiture est là.
- Mais vous faites erreur je ne suis pas Sinatra.
- Allez montez, nous sommes venus vous chercher. (il montre une belle limousine)
- Mais je vous dis que je ne suis pas Sinatra
Les gars un peu énervés chargent les valises et force le type à monter.
- Monsieur Sinatra nous vous emmenons au Ritz. Votre suite favorite a été réservée.
- Mais redescendez sur terre. Je vous dis que je ne suis pas Sinatra ! Vous faites erreur !
Arrivé au Ritz on le force à prendre l'ascenseur. Il arrive devant l'appartement en répétant :
- C'est fou comme histoire. Je vous répète que je ne suis pas Sinatra !
Il ouvre la porte et découvre un dizaine de nanas à poils lovées sur la moquette.
Immédiatement il s'écrie :
- STRANGER IN THE NIGHT
- Monsieur Sinatra, votre voiture est là.
- Mais vous faites erreur je ne suis pas Sinatra.
- Allez montez, nous sommes venus vous chercher. (il montre une belle limousine)
- Mais je vous dis que je ne suis pas Sinatra
Les gars un peu énervés chargent les valises et force le type à monter.
- Monsieur Sinatra nous vous emmenons au Ritz. Votre suite favorite a été réservée.
- Mais redescendez sur terre. Je vous dis que je ne suis pas Sinatra ! Vous faites erreur !
Arrivé au Ritz on le force à prendre l'ascenseur. Il arrive devant l'appartement en répétant :
- C'est fou comme histoire. Je vous répète que je ne suis pas Sinatra !
Il ouvre la porte et découvre un dizaine de nanas à poils lovées sur la moquette.
Immédiatement il s'écrie :
- STRANGER IN THE NIGHT
Will Zégal
75790
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
10779 Posté le 23/06/2010 à 15:19:08
Un histoire de blonde...
Dans une banque de Wall Street arrive une superbe blonde dont l'ouverture du manteau de vison laisse paraître un coûteux tailleurs très minimaliste qui ne cache que ce qu'il faut pour exciter l'imagination des mâles d'une paire de jambes somptueuse et d'un décolleté pigeonnant. Elle demande à être reçue par quelqu'un pour un emprunt.
On la fait entrer rapidement dans un bureau où un type, tout miel devant une telle bombe, lui demande ce qu'il peut faire pour elle.
- c'est un peu embarrassant, mais voilà. Je dois faire un voyage urgent en Europe et j'ai besoin de quelques liquidités...
- je comprends bien. Mais vous n'êtes apparemment pas cliente chez nous. N'avez-vous pas déjà une banque pour vous prêter ?
- Si, bien sûr ! Mais ma banque est en Californie et je dois partir aujourd'hui. Et puis, c'est une petite somme. Je n'ai besoin que de 2 000 €. Et je vous les rembourse dans deux semaines.
- Bien, je comprends... Mais vous savez nous ne pouvons pas vous faire un prêt comme ça... Il nous faut des garanties.
- C'est évident, mais il n'y a pas de problème : je vous laisse ma voiture, une Rolls Corniche, en garantie.
Le gars est plutôt surpris. A la fois par la modestie de la somme demandée, la brièveté du prêt et par la garantie laissée. Le problème, c'est qu'un banque comme celle-là ne prête pas des sommes aussi modestes. Mais la nana est superbe, séduisante, bandante... Il décide donc de lui faire le prêt à titre personnel. Et puis, on ne sait jamais... une Corniche pour 2000 €, c'est une belle affaire...
Avant d'établir les papiers, il demande à son suppérieur l'autorisation de remiser la Rolls pour deux semaines dans le garage de la banque. Le supérieur demande des explications et décide d'en reférer au directeur. Les trois hommes se retrouvent dans le bureau face à la blonde et après un peu de discussions, le directeur, amusé par l'histoire et ébloui par la blonde, accepte.
Une fois la Rolls remisée dans le garage blindé du sous-sol de la banque et la blonde partie avec ses 2000 € en liquide, les trois hommes se tiennent les cotes :
- Décidément, quelle bêtise ces blondes ! Laisser une voiture de plus de 300 000 $ en caution pour un crédit de 2000 € alors qu'elle pu obtenir 10 fois plus en laissant son manteau en gage !
Deux semaines plus tard, voilà notre blonde qui revient. Elle est reçue par le même gars à qui elle remet les 2000 € + la cinquantaine de dollars convenus pour les intérêts. Le gars l'accompagne au garage où elle récupère sa Corniche. Mais le type ne peut s'empêcher, avant qu'elle ne parte, de se foutre un peu de cette femme décidément très blonde...
- Excusez-moi de vous poser la question, mais pourquoi avoir laissé en garantie une voiture aussi chère pour un prêt aussi modeste ?
- Voyez-vous, répond la blonde, je n'avais pas vraiment besoin d'un prêt. Mais je ne voyais pas où, à New York, j'aurais pu trouver pour 15 jours un garage aussi sur pour seulement 50 $.
Dans une banque de Wall Street arrive une superbe blonde dont l'ouverture du manteau de vison laisse paraître un coûteux tailleurs très minimaliste qui ne cache que ce qu'il faut pour exciter l'imagination des mâles d'une paire de jambes somptueuse et d'un décolleté pigeonnant. Elle demande à être reçue par quelqu'un pour un emprunt.
On la fait entrer rapidement dans un bureau où un type, tout miel devant une telle bombe, lui demande ce qu'il peut faire pour elle.
- c'est un peu embarrassant, mais voilà. Je dois faire un voyage urgent en Europe et j'ai besoin de quelques liquidités...
- je comprends bien. Mais vous n'êtes apparemment pas cliente chez nous. N'avez-vous pas déjà une banque pour vous prêter ?
- Si, bien sûr ! Mais ma banque est en Californie et je dois partir aujourd'hui. Et puis, c'est une petite somme. Je n'ai besoin que de 2 000 €. Et je vous les rembourse dans deux semaines.
- Bien, je comprends... Mais vous savez nous ne pouvons pas vous faire un prêt comme ça... Il nous faut des garanties.
- C'est évident, mais il n'y a pas de problème : je vous laisse ma voiture, une Rolls Corniche, en garantie.
Le gars est plutôt surpris. A la fois par la modestie de la somme demandée, la brièveté du prêt et par la garantie laissée. Le problème, c'est qu'un banque comme celle-là ne prête pas des sommes aussi modestes. Mais la nana est superbe, séduisante, bandante... Il décide donc de lui faire le prêt à titre personnel. Et puis, on ne sait jamais... une Corniche pour 2000 €, c'est une belle affaire...
Avant d'établir les papiers, il demande à son suppérieur l'autorisation de remiser la Rolls pour deux semaines dans le garage de la banque. Le supérieur demande des explications et décide d'en reférer au directeur. Les trois hommes se retrouvent dans le bureau face à la blonde et après un peu de discussions, le directeur, amusé par l'histoire et ébloui par la blonde, accepte.
Une fois la Rolls remisée dans le garage blindé du sous-sol de la banque et la blonde partie avec ses 2000 € en liquide, les trois hommes se tiennent les cotes :
- Décidément, quelle bêtise ces blondes ! Laisser une voiture de plus de 300 000 $ en caution pour un crédit de 2000 € alors qu'elle pu obtenir 10 fois plus en laissant son manteau en gage !
Deux semaines plus tard, voilà notre blonde qui revient. Elle est reçue par le même gars à qui elle remet les 2000 € + la cinquantaine de dollars convenus pour les intérêts. Le gars l'accompagne au garage où elle récupère sa Corniche. Mais le type ne peut s'empêcher, avant qu'elle ne parte, de se foutre un peu de cette femme décidément très blonde...
- Excusez-moi de vous poser la question, mais pourquoi avoir laissé en garantie une voiture aussi chère pour un prêt aussi modeste ?
- Voyez-vous, répond la blonde, je n'avais pas vraiment besoin d'un prêt. Mais je ne voyais pas où, à New York, j'aurais pu trouver pour 15 jours un garage aussi sur pour seulement 50 $.
elephant stone
4350
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
10780 Posté le 23/06/2010 à 15:32:17
Elle est bien, mais la blonde n'était pas vraiment blonde.
Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn. Iä Cthulhu. Iä Yog Sothoth.
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