Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
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kravatorf
9928

Membre d’honneur
Membre depuis 22 ans
Sujet de la discussion Posté le 16/08/2004 à 23:02:11Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui
allez à vous

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde
d'ailleurs ... une bien pourrite
quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????
beh si tu suces le spaghetti il bouge lui

allez à vous



Balley Warson
13644

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 14 ans
21571 Posté le 05/02/2018 à 17:22:40

En fait celle ci on me l'a raconté mais comme histoire vraie ...
0
"Un accord, c'est bien,
deux accords, vous poussez un peu,
trois accords, c'est du Jazz" Lou Reed.

Subject42
484

Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 11 ans
21572 Posté le 05/02/2018 à 17:28:21
Citation de gromeul :
Un prof de médecine, devant son parterre d'étudiants et quelques corps à étudier, dit à ses ouailles :
" Pour être un bon médecin, il faut 2 qualités. La première c'est d'avoir le coeur bien accroché ! ".
Là, il lève le drap qui protège un cadavre à qui soulève les jambes, lui met un doigt dans le cul et suce son doigt... A vous jeunes gens !
L'auditoire est ecoeuré, certains s'évanouissent, d'autres vomissent, etc... Mais, tant bien que mal, tous passent et s'exécutent non sans un fort dégoût.
" Docteur, c'est quoi la seconde qualité ? " ose le dernier étudiant à être passé.
" La seconde qualité, c'est le sens de l'observation. Si vous aviez bien regardé, vous auriez remarqué que j'avais mis l'index et sucé mon majeur ! ".
C'est validé



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Djeeloo
15763

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 21 ans
21573 Posté le 06/02/2018 à 08:34:26
Dans la version que je connaissais,
les étudiants devaient faire comme le prof,
et étaient encore plus dégoûtés...
les étudiants devaient faire comme le prof,
et étaient encore plus dégoûtés...

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L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

Anonyme
27133

21574 Posté le 06/02/2018 à 10:04:16
En cette fin d'aprème, Vince_ est pilo. Mais alors, pilo comme jamais. Il a attaqué l'apéro à dix heures ce matin, direct au jaune mélangé au café, et depuis il a rin vu passer de la journée. Jaune, sur jaune, sur demi, sur demi, deux cahouètes entre chaque verre pour dire de faire un peu d'hygiène dentaire, puis la tienne, la mienne, la tienne, la mienne, la sienne, celle du patron se sont enchaînées à un rythme d'enfer (à repasser).
Bref, à seize heures il est raide mort. Après un ultime baby foetus whisky-51-Marie Brizard (une recette à lui), il décolle péniblement du bar, titube jusqu'à la porte, et sort. Il attrape le premier bus qui passe. A peine monté, vince_ se met à voficér... vofifér... vociréf... à gueuler:
- Tous les types qui sont derrière sont des pédés, ceux qui sont à côté des cocus et ceux qui sont devant sont des connards!
Puis il rote ostensiblement pour signifier son mépris total à la plèbe, tout en se cramponnant d'une main moins que ferme au montant du bus, sinon il bascule et se vautre.
Heiskellingtonberg, le chauffeur du bus, est un chic type d'habitude, bien qu'il jauge confortablement quatre MinstrL standard: c'est ainsi un gaillard d'un mètre quatre-vingt-seize et demi, cent douze kilos de muscle, le crâne rasé, la barbe naissante. En entendant la déclamation théâtrale de vince_, Heiskellmachin sent la boufaïsse qui lui monte, là, et il plante le coup de frein des grands jours. Tous les passagers sont déséquilibrés. Skell jaillit du siège, chope vince_ par le colback et le monte à dix centimètres du sol, tu sais, comme Vader dans le début d'Un Nouvel Espoir quand il chope le capitaine Antillès.
- Vas-y toi, répète un peu, c’est qui les pédés, les cocus et les connards ?
vince_ a l'œil qui tourne. Il déglutit péniblement et mâchouille un chouille à vide, avant de répondre:
- Qu'est-ce que j'en sais moi maintenant? Avec ton freinage à la con, tu les as tous mélangés !
Bref, à seize heures il est raide mort. Après un ultime baby foetus whisky-51-Marie Brizard (une recette à lui), il décolle péniblement du bar, titube jusqu'à la porte, et sort. Il attrape le premier bus qui passe. A peine monté, vince_ se met à voficér... vofifér... vociréf... à gueuler:
- Tous les types qui sont derrière sont des pédés, ceux qui sont à côté des cocus et ceux qui sont devant sont des connards!
Puis il rote ostensiblement pour signifier son mépris total à la plèbe, tout en se cramponnant d'une main moins que ferme au montant du bus, sinon il bascule et se vautre.
Heiskellingtonberg, le chauffeur du bus, est un chic type d'habitude, bien qu'il jauge confortablement quatre MinstrL standard: c'est ainsi un gaillard d'un mètre quatre-vingt-seize et demi, cent douze kilos de muscle, le crâne rasé, la barbe naissante. En entendant la déclamation théâtrale de vince_, Heiskellmachin sent la boufaïsse qui lui monte, là, et il plante le coup de frein des grands jours. Tous les passagers sont déséquilibrés. Skell jaillit du siège, chope vince_ par le colback et le monte à dix centimètres du sol, tu sais, comme Vader dans le début d'Un Nouvel Espoir quand il chope le capitaine Antillès.
- Vas-y toi, répète un peu, c’est qui les pédés, les cocus et les connards ?
vince_ a l'œil qui tourne. Il déglutit péniblement et mâchouille un chouille à vide, avant de répondre:
- Qu'est-ce que j'en sais moi maintenant? Avec ton freinage à la con, tu les as tous mélangés !
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gromeul
17107

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 22 ans
21575 Posté le 06/02/2018 à 10:17:24
0

Anonyme
24289

21576 Posté le 06/02/2018 à 10:46:54

0

JohnnyG
10708

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
21577 Posté le 06/02/2018 à 15:45:52
Blagues zoophile....
C'est type qui rentre dans un bar.
C'est un autre gars qui prend son élan.

C'est type qui rentre dans un bar.
C'est un autre gars qui prend son élan.

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Anonyme
27133

21578 Posté le 06/02/2018 à 15:46:47
A Saint-Dizier, il y a la librairie, bien sûr, celle située entre la boulangerie et le kebab. Là où travaille un certain petit libraire de merde qui se la pète sur internet, que ses copains connaissent sous le nom de Traumax.
Il est midi deux en ce 6 février. Le temps est maussade au dessus du 54, mais pas de pluie, juste un petit air glacé qui remonte frileusement de temps à autre les rues désertées. Tout le monde file se mettre à l'abri et croquer un bout.
Ainsi en va-t-il de Traumax, qui après avoir conclu sa septième vente de BD de la matinée (un bon jour), se prépare à fermer la porte de la boutique pour rejoindre Madame, Bidule et Machine, pour le traditionnel conseil familial de mi-journée autour de la table ronde en pin IKEA.
Naomi, elle, est d'origine malienne. Elle a atterri en France, à Saint-Dizier précisément, il y a longtemps, alors qu'elle n'était qu'une petite fille que sa famille cherchait à soustraire aux horreurs de la guerre. Elle n'a que peu de souvenirs de sa vie d'avant. Et pi elle se plaît bien en France, les gens sont gentils, les garçons attentionnés, même si certains, comme ce wildchild, sont à force d'à force un peu lourdingues. Non parce que les mecs, on va pas se mentir: Naomi elle est grave canon. Un vrai beau canon intégral, TTC, avec des jambes interminables, un pettou parfaitement sphérique, un ventre inexistant abrité par l'auvent généreux de deux seins miraculeux, un visage de poupée à peau noire d'une exquise douceur. Et des yeux, bordel! Wildchild n'est pas le seul à se retourner sur elle, j'te ferai dire.
Faut dire qu'y a de quoi, car Naomi a aussi un chimpanzé. Un piti singe tout mimi qu'elle traîne après elle en laisse, et qui provoque l'admiration de tous ceux qu'elle rencontre.
Et ce jour-là, traînant donc son chimpanzé derrière elle, Naomi arrive à cette fameuse boulangerie située à côté de la librairie.
Manque de bol, Mick Paraida, le taulier, un porc au cheveu rare et délavé, déteste coridalement les animaux, à part peut-être les bergers allemands ou les dogues qui courent après les arabes de la téci. Et la règle est simple à l'entrée de la "Ronde des Pains" : les animals restent dehors, c'est comme ça et ta gueule. Et ça, ça embête bien Naomi : son chimpanpan risque gros, à rester tout seulâbre attaché dans la rue comme un vulgaire corniaud. N'importe qui peut passer et y filer un coup de tatane dans la tronche, comme ça, gratos.
Naomi-jolie a un soupçon d'hésitation.
Et puis le ciel s'éclaircit et se met furtivement à briller, au moment même où un beau jeune homme, certes un peu frêle, mais portant beau, cheveu court, lunettes rondes d'intello, sort de la librairie en fermant précautionneusement la porte. Naomi reconnaît le jeune responsable du rayon BD.
- Monsieur... Monsieur? S'il vous plaît, vous pourriez me tenir mon petit chimpanzé le temps que j'aille acheter un pain? Il n'est pas admis à l'intérieur du magasin...
Traumax se tourne vers la ravissante demoiselle. Putain de sa mère se dit-il in petto (oui, il parle couramment italien) avant d'avoir une pensée fugace pour Pictocube. Puis, tout sourire:
- Mais bien sûr Mademoiselle.
Et c'est ainsi que se firent les choses en ce 6 février : Naomi rentre dans la boulangerie acheter son pain, Traumax s'amuse avec le singe, tandis que Gabrielle traverse péniblement la rue.
Gabrielle.
La vieille Gabrielle. La salope majuscule. Tout Saint-Dizier lui est passé dessus, et heureusement qu'il n'y a pas de gare dans ce foutu bled, sinon même le train y serait passé dessus, nom de Dieu! Encartée FN bien évidemment, cette sombre truie rance. Malgré ses 75 printemps, de savoir qu'à chaque élection elle apporte sa contribution au Borgne et à son engeance, Traumax ne peut réprimer un frisson de dégoût. Comment qu'il la buterait s'il pouvait! Mais putain on est pas des bâtards, non?
Et donc Gabrielle découvre Traumax, puis le chimpanzé. Son œil torve remonte en signe de profonde suspicion:
- D'où c'est-y qu'vous avez eu ça, vous autre ? demande-t-elle d'une voix rogue.
Traumax lui répond chaleureusement (parce qu'il a un bon fond, au fond, ce type):
- D'une adorable jeune fille noire !
Gabrielle a un haut le cœur. Puis rétorque:
- Et ils n'ont rien remarqué à l'échographie ?

Il est midi deux en ce 6 février. Le temps est maussade au dessus du 54, mais pas de pluie, juste un petit air glacé qui remonte frileusement de temps à autre les rues désertées. Tout le monde file se mettre à l'abri et croquer un bout.
Ainsi en va-t-il de Traumax, qui après avoir conclu sa septième vente de BD de la matinée (un bon jour), se prépare à fermer la porte de la boutique pour rejoindre Madame, Bidule et Machine, pour le traditionnel conseil familial de mi-journée autour de la table ronde en pin IKEA.
Naomi, elle, est d'origine malienne. Elle a atterri en France, à Saint-Dizier précisément, il y a longtemps, alors qu'elle n'était qu'une petite fille que sa famille cherchait à soustraire aux horreurs de la guerre. Elle n'a que peu de souvenirs de sa vie d'avant. Et pi elle se plaît bien en France, les gens sont gentils, les garçons attentionnés, même si certains, comme ce wildchild, sont à force d'à force un peu lourdingues. Non parce que les mecs, on va pas se mentir: Naomi elle est grave canon. Un vrai beau canon intégral, TTC, avec des jambes interminables, un pettou parfaitement sphérique, un ventre inexistant abrité par l'auvent généreux de deux seins miraculeux, un visage de poupée à peau noire d'une exquise douceur. Et des yeux, bordel! Wildchild n'est pas le seul à se retourner sur elle, j'te ferai dire.
Faut dire qu'y a de quoi, car Naomi a aussi un chimpanzé. Un piti singe tout mimi qu'elle traîne après elle en laisse, et qui provoque l'admiration de tous ceux qu'elle rencontre.
Et ce jour-là, traînant donc son chimpanzé derrière elle, Naomi arrive à cette fameuse boulangerie située à côté de la librairie.
Manque de bol, Mick Paraida, le taulier, un porc au cheveu rare et délavé, déteste coridalement les animaux, à part peut-être les bergers allemands ou les dogues qui courent après les arabes de la téci. Et la règle est simple à l'entrée de la "Ronde des Pains" : les animals restent dehors, c'est comme ça et ta gueule. Et ça, ça embête bien Naomi : son chimpanpan risque gros, à rester tout seulâbre attaché dans la rue comme un vulgaire corniaud. N'importe qui peut passer et y filer un coup de tatane dans la tronche, comme ça, gratos.
Naomi-jolie a un soupçon d'hésitation.
Et puis le ciel s'éclaircit et se met furtivement à briller, au moment même où un beau jeune homme, certes un peu frêle, mais portant beau, cheveu court, lunettes rondes d'intello, sort de la librairie en fermant précautionneusement la porte. Naomi reconnaît le jeune responsable du rayon BD.
- Monsieur... Monsieur? S'il vous plaît, vous pourriez me tenir mon petit chimpanzé le temps que j'aille acheter un pain? Il n'est pas admis à l'intérieur du magasin...
Traumax se tourne vers la ravissante demoiselle. Putain de sa mère se dit-il in petto (oui, il parle couramment italien) avant d'avoir une pensée fugace pour Pictocube. Puis, tout sourire:
- Mais bien sûr Mademoiselle.
Et c'est ainsi que se firent les choses en ce 6 février : Naomi rentre dans la boulangerie acheter son pain, Traumax s'amuse avec le singe, tandis que Gabrielle traverse péniblement la rue.
Gabrielle.
La vieille Gabrielle. La salope majuscule. Tout Saint-Dizier lui est passé dessus, et heureusement qu'il n'y a pas de gare dans ce foutu bled, sinon même le train y serait passé dessus, nom de Dieu! Encartée FN bien évidemment, cette sombre truie rance. Malgré ses 75 printemps, de savoir qu'à chaque élection elle apporte sa contribution au Borgne et à son engeance, Traumax ne peut réprimer un frisson de dégoût. Comment qu'il la buterait s'il pouvait! Mais putain on est pas des bâtards, non?
Et donc Gabrielle découvre Traumax, puis le chimpanzé. Son œil torve remonte en signe de profonde suspicion:
- D'où c'est-y qu'vous avez eu ça, vous autre ? demande-t-elle d'une voix rogue.
Traumax lui répond chaleureusement (parce qu'il a un bon fond, au fond, ce type):
- D'une adorable jeune fille noire !
Gabrielle a un haut le cœur. Puis rétorque:
- Et ils n'ont rien remarqué à l'échographie ?

0

Mr. Pool
2614

Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 9 ans
21579 Posté le 06/02/2018 à 16:17:00
Citation :
A Saint-Dizier
Citation :
Le temps est maussade au dessus du 54
St Dizier c’est dans le 52.

0
Il n'y a pas d'autre monde. Il y a simplement une autre manière de vivre.

El Migo
24005

Vie après AF ?
Membre depuis 17 ans
21580 Posté le 06/02/2018 à 16:30:16
Tout à fait.
54 c'est Louis de Funès
54 c'est Louis de Funès
1
[ Dernière édition du message le 06/02/2018 à 16:31:51 ]
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