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Sujet Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:

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Sujet de la discussion Blague la plus pourrite 2 le retour de la vengeance :lol:
Beh vouala ... moua je me choquerai pas tant que ça reste des blagues ;)

Citation : on peut rire de tout mais pas avec tout le monde



d'ailleurs ... une bien pourrite

quelle est la différence entre un spaghetti et un myopathe ????




















beh si tu suces le spaghetti il bouge lui :mrg:

allez à vous

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24391
C'est la natuuuuuure :bravo:

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

24392
Citation :
La pénurie est due à une crise des vocations ou à des coupes budgétaires ?


Oui, les deux, il y a moins de gens qui entrent en formation dans le "social" ; c'est national, mais des centres de formation qui avaient 200 candidats pour 40 places il y a 15 ans, aujourd'hui sont contents quand ils ont 80 candidats (dont une bonne partie a aussi candidaté dans d'autres formations). D'où les publicités faites par le gouvernement.
Et effectivement, les budgets sont chaque année plus tendus, en France le travail social c'est en grande partie porté par le monde associatif et souvent les subventions baissent et les charges (locaux, frais divers) augmentent.
Les deux sont sans doute liées : des salaires pas terribles avec des conditions de travail pas commode (fin de semaine, horaires décalés...), peu de reconnaissance et souvent des établissements "en tension" par manque de personnels ou de ressources et du coup plus de travail pour les autres...

 

24393
L'insatisfaction vient aussi du décalage qu'on observe beaucoup
- des personnes sur place qui sont débordées car pas assez nombreuses / pas assez formées / pas assez motivées
- des salaires plutôt bas pour une pénibilité évidente
- des couts de séjour extrêmement chers, du niveau d'un hôtel 3 étoiles en région parisienne, pour des locaux assez délabrés et un service insuffisant (voir premier point).

x
Hors sujet :
Evidemment, si on veut bien rétribuer les actionnaires des groupes qui gèrent les établissements, faut faire des choix, ça se comprend (de leur point de vue surtout)

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

[ Dernière édition du message le 30/10/2023 à 18:05:23 ]

24394
Citation :
Mais les odeurs corporelles dans la mesure du raisonnable, ça n'a rien de dégueulasse.

y a un monde entre propre et degueulasse:oops2:

PK crew( à l'abandon) / Mixcloud / 3'ks

En vrai t'es Eddie Barclay avoue :oops2:

24395
Citation de Ho'Dog :
Citation :
Mais les odeurs corporelles dans la mesure du raisonnable, ça n'a rien de dégueulasse.

y a un monde entre propre et degueulasse:oops2:

La je suis assez d'accord.
Maintenant, j'ai pris un exemple assez parlant et un peu extrême, mais certaines odeurs peuvent être associées dans nos nez de soignants, a de potentiels problèmes. Mais il y a des odeurs corporelles plutôt naturelles et qui peuvent différer d'un individu à l'autre.
24396
Citation :
- des personnes sur place qui sont débordées car pas assez nombreuses / pas assez formées / pas assez motivées


C'est ce que je soulignais avec mon
Citation :
du coup plus de travail pour les autres...

 

24397
La fermière sait que sa poule mue. Aussi vit-elle aux champs.

(Note pour JohnnyG : si tu te pose la question, la réponse est "oui". :clin:)

En plein déménagement. Disponibilité aléatoire.

24398
2 meme je crois... :mrg:
24399
Citation :
en France le travail social c'est en grande partie porté par le monde associatif et souvent les subventions baissent et les charges (locaux, frais divers) augmentent.

Il y a aussi le problème du recours croissant à "l'appel à projet" qui sont des sortes d'appels d'offres où les associations se retrouvent en concurrence les unes avec les autres.
Il faut beaucoup de temps pour monter les dossiers et faire du reporting, ce qui a un coût. La mise en concurrence tire les budgets vers le bas et la précarité règne parce que les "projets" ne sont obtenus que pour peu d'années à l'issue desquelles il faut recommencer.

L'autre grande mode actuelle est l'expérimentation. Les organismes d'état passent leur temps à lancer des appels à projets pour des expérimentations. Cela donne souvent de chouettes trucs, mais ils ne sont pas prolongés parcequ'on préfère relancer une "expérimentation" que d'installer durablement un truc qui fonctionne.

Moralité, les gens s'épuisent à monter des dossiers (le temps de paperasse n'est pas passé sur le terrain), faire du reporting (il faut prouver que t'as bien utilisé le pognon comme il faut et que t'as fait du bon boulot, alors que tout le monde doute que les bilans soient réellement lus), à monter avec passion des projets intéressants (il y a des trucs vraiment bien dans les expérimentations) pour les voir de terminer 2 ou 3 ans plus tard au moment où ils sont bien rodés et ont fait preuve de leur efficacité. Ensuite on recommence avec un autre projet.

L'efficacité libérale dans toute sa splendeur. Et ça ne concerne pas -et de loin - que le social.

Il y a une époque où les associations recevaient des enveloppes de subventions globales et qu'on les laissait bosser tant qu'elles se montraient efficaces.
24400
Citation de le reverend :
- des salaires plutôt bas
- des couts de séjour extrêmement chers

On s'aperçoit, en regardant le cas des crèches, des EHPAD, que filer le social au privé capitaliste n'était au final pas la meilleur des idées.
Il manque à faire la même expérimentation à l'hôpital et à l'école pour voir si on a les mêmes résultats.

T'es pas obligé d'écouter toutes les conneries de DaRinze.