Sujet de la discussionPosté le 09/04/2003 à 15:17:17Qu'est-ce qui vous fascine automatiquement ?
Et hop encore un autre sujet inutile !
Ce coup ci parlez nous des petits trucs devant lesquels vous scotchez.
Moi c'est :
-Les aiguillages de trains (surtout quand y'en a plein)
-Les usines d'embouteillage à la chaine
-Un DJ qui scratche (pas comme moi au couteau !)
-Un beau circuit de train électrique bien décorré
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
17065
45662Posté le 27/03/2018 à 15:48:04
Fascine>
Citation :
Des médecins et des femmes engagées demandent l'interdiction des relations sexuelles entre médecins et patients Le Code de la santé publique ne comporte encore aucune règle à cet égard.
En fait, l'abus de faiblesse est pas toujours simple à caractériser. Si la modification du serment d'hypocrate est actée, il y aura rien à caractériser vu que le praticien sera, de facto en tord, pour avoir fait zizipanpan.
Pour la petite histoire, l'interdiction existait dans le serment d'origine, mais elle a été supprimé dans les années 50, me semble-t-il.
non l'interdiction est et a toujours été toujours prévue dans le serment d'Hippocrate, mais celui-ci n'a pas force de loi.
Ecrire la chose dans le Code de Médecine lui donne force de loi.
Citation :
Etant donné que l'abus de faiblesse existe deja, je vois pas bien le point là, à part faire une enième pétition morale.
1 problème = 1 loi.
Par exemple, contre la prostitution, il y a une foultitude de lois: maquerellage interdit, bordels interdits, racolage interdit, nani, nanère. Aucune n'étant appliquée, on en a dernièrement rajouté encore une autre, vu que le problème est toujours là.
Ce qui est dommage, comme le souligne finement le Huff, c'est que cette loi si elle passe, interdira de facto toute relation librement consentie, et ce, pour lutter comme le dit l'article "contre de rares prédateurs sexuels". Le mot rare est d'origine dans la citation.
Genre, les "rares" en question, personne n'est encore arrivé à les compter, les isoler et leur foutre la branlée qu'ils méritent. C'est pourquoi yavé besoin d'une loi, parce qu'avec la loi, genre, désormais on pourra.