D'autant plus qu'il est difficile de ne pas boire dans une soirée où il y a souvent un effet de stimulation. Surtout quand les autres boivent même modérément. C'est si elle planque les bouteilles sous l'évier que ça craint vraiment.
Bon, mais apparemment tu es un soutien bien plus important que tu ne pourrais le penser.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.
Anonyme
65640
38482Posté le 28/05/2017 à 10:27:32
Citation :
cad, grosso modo, t'es alcoolo, t'es foutue.
oui et non, mais une personne dans ce cas, qui ne s'aide pas elle même, ne pourra jamais être aidée par qui et quoi ce soit ; sauf dans un trip avec enfermement de la personne dans une cellule capitonnée et tabassage éventuel au nerf de boeuf, qui donnera d'excellents résultats...pendant quelques heures, avant évidemment un rechute puissance 20.
Perso, j'ai dans mon entourage assez proche les 2 exemples extrêmes. Un ancien alcolo qui s'en est sorti depuis une vingtaine d'année, fait parti d'une asso d'entraides, etc... Un bel exemple.
Et une amie de ma soeur qui est tombé au fond du trou malgré l'aide de ses proches et plusieurs cures.
La différence entre les 2 est, je crois, une réelle envie de s'en sortir. Du côté de celle qui ne s'en remet pas, il y a un traumatisme ancien lié à sa naissance (elle a appris que son père ne l'était pas, de manière violente) et elle ne s'en est jamais remise.
En résumé, chaque cas est différent, mais on peut s'en sortir. Par contre, le type qui est sobre depuis 20 ans le dit bien: On reste alcoolique toute sa vie, mais on peut être abstinent. L'envie reste toujours, c'est un combat quotidien.
voilà, on constate souvent qu'en fait, le probleme vient de plus loin que l'addiction, les gens qui sont tombé dedans genre alcool mondain ou drogue festive, s'en sortent "assez bien", et pour les gens qui ne veulent pas ou n'y arrivent pas, y a toujours une vieille blessure( consciente ou non) à soigner en priorité...
Pour le moment pas un de mes étudiants n'a réussi à résoudre le problème d'examen que je leur ai soumis.
Putain.
Un ami enseignant m'a raconté qu'il avait rencontré un de ses homologues dans je ne sais plus quelle ENS locale. Ce dernier lui a rapporté qu'avant il proposait cinq "exercices" par an à ses étudiants. Depuis quelques années ils en finissent péniblement un seul.
Chais pas, ils avaient bien réussis leurs partiels, ne semblaient pas peiner durant les TDs que j'avais mis en place pour justement éviter ce genre de surprises, et l'énoncé de l'examen (et ses solutions) a été contrôlé par deux panels d'experts (internes et externes). Problème de temps peut-être.