Ah mais vous pouvez me chambrer autant que vous voulez, je le prends très bien . Tant que c'est fait en face et que je ne ressens aucune malveillance . Ceux qui me connaissent savent que je suis le premier à se foutre de lui-même !
Cordes, Sollers... En voilà au moins deux qui auront échappé au sacre du printemps.
(I'm not talkind about Stravinsky, I mean Charles the Third, Indeed).
En 1957, il publie dans la revue Ecrire, créée aux éditions du Seuil par Jean Cayrol afin d’y accueillir les jeunes talents, une nouvelle, « Le Défi », à laquelle va le prix Fénéon. Comme il est encore mineur, il lui faut user d’un pseudonyme qu’il tire de son dictionnaire de latin : « sollers », c’est-à-dire « tout entier art »
Je ne vois pas trop ce que ça va changer pour le monde de l'édition – environ 500 bouquins publiés à chaque rentrée littéraire – mais ce n'était pas le pire, me semble :
Citation :
« La France moisie », publié dans Le Monde en 1999, où il s’en prend, à propos de récentes déclarations de Jean-Pierre Chevénement, alors ministre de l’intérieur, à la France qui « a toujours détesté, pêle-mêle, les Allemands, les Anglais, les Juifs, les Arabes, les étrangers en général, l’art moderne, les intellectuels coupeurs de cheveux en quatre, les femmes trop indépendantes ou qui pensent, les ouvriers non encadrés, et, finalement, la liberté sous toutes ses formes »