il y a une part objective, qui sont les concentrations des différentes molécules qui 'font' l'odeur, et la part subjective et la sensibilité de chaque nez.
Le nez humain reste souvent plus sensible que les détecteurs divers et variés. Dans l'industrie des parfums ou de la bouffe, les nez électroniques n'ont pas encore remplacer les gouteurs, sommeliers & co.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.
linn134
14923
Drogué·e à l’AFéine
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73439Posté le 06/08/2014 à 13:50:36
Un truc agaçant dont personne n'a parlé : les deux baloches qui se retrouvent du même côté du caleçon. Voilà. Y'a que des meufs ici, c'est pas possib' que personne n'ait abordé cette délicate question avant.