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réactions au dossier [Bien débuter] Le délai à la place d’une réverbe

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Sujet de la discussion [Bien débuter] Le délai à la place d’une réverbe
Le délai à la place d’une réverbe
Aujourd'hui, je vous propose de découvrir comment utiliser le délai en lieu et place d’une réverbération pour renforcer la cohésion sonore de votre mix.

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Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
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51

Si ceux qui critiquent sur 3 paragraphes mettaient plutot leurs 3 paragraphes à expliquer et à completer l'article de Nantho, l'article serait complet en une journée.

Parfois les messages  s'approche de la mauvaise foi ... exagération, critiques sans lire les articles précedents, moi je suis un expert ... (ok pas de soucis ... compléte alors)

Certain articles ont parfois été complété merveilleusement par le forum, ici pour cette article c'est loupé, tous se joue dans les premier message, vous pouvez vérifié

Phil/Fry
52

Pour en revenir à la musique, j'ai entendu dire plusieus fois que le rock et ses dérivé se préte mieux au delays qu' au réverbérartions,

Phil/Fry
53
Citation de fry1985 :
Pour en revenir à la musique, j'ai entendu dire plusieus fois que le rock et ses dérivé se préte mieux au delays qu' au réverbérartions,


le gros avantage du Delay tient dans sa capacité à ne pas perturber le rythme contrairement à la reverb....mais c'était surtout vrai à l' époque de la préhistoire des reverbs à plaques, à ressorts ou de type chamber. Depuis l' avènement des reverbs numériques programmables, c'est moins problématique.
Toutefois, il faut prendre en compte également l' histoire de l' enregistrement qui pour le rock ne s'embarrassair pas d' artifices de production, ce qui est devenu par la suite une forme de référence dans l' inconscient collectif.
54
Citation de Le :

le gros avantage du Delay tient dans sa capacité à ne pas perturber le rythme contrairement à la reverb....mais c'était surtout vrai à l' époque de la préhistoire des reverbs à plaques, à ressorts ou de type chamber.


Sans vouloir être méchant, c'est on ne peut plus faux. Le delay, par son essence même, induit une composante rythmique qui va forcément influer sur le ressenti du groove d'un morceau. Ce n'est pas le cas pour une réverb à moins d'en exagérer à la fois le niveau et la longueur du predelay. Sans compter que les réverbs à plaques ou les chambres d’écho sont celles qui s'intègrent le plus facilement dans un mix, qu'on les veuille discrètes ou non (et je parle des vraies, pas des émulations sous forme de plugins ou convolutions).
Il n'y a pas d'"avantage" de l'un sur l'autre, juste des contextes plus propices à l'un ou à l'autre qui n'ont rien à voir avec le style musical mais avec l'émotion recherchée. Si on veut du grandiloquent épique qui fait pleurer mémé et sa petite soeur, on va peut-être y aller plus facilement à coups de réverbs longues et délays à la blanche avec feedback (en renvoyant même éventuellement le delay dans une réverb pour donner encore plus d'ampleur). Si on cherche à créer un sentiment d'urgence, tout en restant dans le dramatique, on peut éventuellement changer pour un delay à la croche, avec feeback en gardant la même réverb. Pour créer une tension qui cherche à être résolue, peut être un slap delay entre 50 et 120ms, sans réverb... etc...etc...

Les exemples sont légions et on peut remarquer qu'à aucun moment je n'ai parlé de style musical mais uniquement d'émotion que l'on cherche à créer. En rédigeant cela j'avais en tête l'exemple d'instrument lead type voix ou encore solo de guitare et il est facile de constater que l'on peut retrouver chacune des émotions citées dans n'importe quel style de musique. Du grandiloquent qui fait pleurer sur du métal à 145BPM ça existe tout comme un chant énervé sur une ballade country/folk.
Je le dis souvent mais le style musical n'a AUCUNE PERTINENCE quand on parle de traitements. Seules comptent les émotions que l'on veut faire passer.

Cela m'amène d'ailleurs à rebondir sur un autre commentaire que je n'avais pas vu plus tôt :
Citation de Le :

Si l'on considère la technicité d' un mixage (50/50 entre technique et choix artistiques), l' application de recettes s'avèrera insuffisante si l'on ne dispose pas d' un bagage technique permettant à la fois l' analyse des problèmes à traiter, mais également le ou les modes opératoires pour atteindre les résultats escomptés.


Non, le mix n'est pas à 50% technique et 50% artistique. Déjà, poser une répartition généralisée de la sorte n'a pas de sens car chaque mix est différent et va demander une attention particulière. Sur un mix où une simple balance faders + panoramique suffit, par exemple, peut-on vraiment dire que le pourcentage de technique et d'artistique à été équitable ? Non.
Le mix est avant tout et par dessus tout une histoire de présentation. Autrement dit, c'est la manière dont on va présenter les choses et donc la manière dont cela va impacter l'auditeur qui compte. L'auditeur ici nommé ne se soucie que de peu de choses : ça me touche ou ça ne me touche pas. Eventuellement, il sera capable d'identifier vaguement pourquoi et va vous dire que le charlet est trop fort et casse les oreilles, qu'on n'entend pas assez la voix ou, éventuellement que c'est fatiguant à écouter (parce que le son est trop agressif pour une raison quelconque) mais ça s'arrête là.
Ce qui compte donc, ce sont les éléments qui sont mis en avant ou laissés à l'arrière plan. C'est la raison pour laquelle beaucoup trop souvent, on entend des créateurs/musiciens dire que le mix sonne moins bien que leur maquette. C'est parce que trop souvent, le chimpanzé qui a fait le mix à accordé plus d'intérêt à ses compresseurs, EQ, réverbs etc qu'à l'émotion que le morceau est sensé véhiculer.
Spoiler alert ! : un son de caisse claire de la mort qui tue ou un son de voix qui vous file un orgasme à lui tout seul ne sert absolument à rien si l'élément en question est placé mal à propos dans le mix (entendez trop fort ou pas assez fort). Un bon mix est un mix où la personne qui l'a réalisé a su quoi mettre en avant au bon moment pour susciter la bonne émotion chez l'auditeur. En cela, c'est très largement l'artistique qui l'emporte sur la technique.
La technique n'est qu'un outil au service de l'art, pas l'inverse, ce qui a trop souvent tendance à être oublié.

Citation de Le :

Toutefois, il faut prendre en compte également l' histoire de l' enregistrement qui pour le rock ne s'embarrassair pas d' artifices de production, ce qui est devenu par la suite une forme de référence dans l' inconscient collectif.


Sans chercher bien loin, j'ai l'exemple des Beatles qui contredit assez raidement ce que tu affirmes ici...

Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla

55
Citation de Le :
Citation de fry1985 :
Pour en revenir à la musique, j'ai entendu dire plusieus fois que le rock et ses dérivé se préte mieux au delays qu' au réverbérartions,


le gros avantage du Delay tient dans sa capacité à ne pas perturber le rythme contrairement à la reverb....
Toutefois, il faut prendre en compte également l' histoire de l' enregistrement qui pour le rock ne s'embarrassair pas d' artifices de production, ce qui est devenu par la suite une forme de référence dans l' inconscient collectif.


Ben alors là je ne suis pas un pro mais j'ai vraiment l'impression que tout ça est l'exact contraire de la réalité :8O:

Le delay qui perturbe moins le rythme que la réverbe, le delay d'ailleurs plus adéquat que la réverbe dans le rock, rock qui au demeurant ne s'est jamais encombré d'artifices de productionicon_facepalm.gif

Non vraiment je suis désolé, n'y voyez rien d'insultant ou de moqueur mais là c'est n'importe-quoi, non ?

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 05/05/2016 à 23:38:40 ]

56
Quelques précisions à mes propos.
Je parlais des origines du rock de 1950 à 1965.....très peu de reverbs, car relativement peu compatibles avec les techniques d'enregistrement de l' époque (4 pites, one dhog, ping pong etc....est il besoin d' entrer dans les détails ?), et surtout inaccessibles au structures de production de l' époque, au contraire du Delay réalisable avec un magnéto....
La suite sera très différente, notamment lorsque les studios disposeront des reverbs à plaque EMT, à ressorts AKG BX et consorts, puis bien sûr des premières générations de numériques.... Je ne dis rien de plus.
Quant au Delay qualifié de moins perturbant, je l'ai écrit pour qualifier sa propension à s intégrer rythmiquement en le calant sur une subdivision rythmique... Mais une fois encore je parlais de la période originelle du rock....ce qui était la question du post auquel je répondais.
57
@glob : les Beatles période rock ....parce qu' ensuite on rentre dans un autre champs musical, invention de la pop (raccourcis volontaire) avec des moyens de production inaccessibles aux autres formations de l' époque....
58
Citation de Le :
Quelques précisions à mes propos.
Je parlais des origines du rock de 1950 à 1965.....très peu de reverbs, car relativement peu compatibles avec les techniques d'enregistrement de l' époque (4 pites, one dhog, ping pong etc....est il besoin d' entrer dans les détails ?), et surtout inaccessibles au structures de production de l' époque, au contraire du Delay réalisable avec un magnéto....


Non.
La réverbération était ce qu'il y a de plus accessible car plus facile à mettre en oeuvre, même dans les plus petits studios. Une enceinte et un micro dans les toilettes et c'était parti ! Au contraire du delay qui demandait un second magnétophone.
Il y a d'ailleurs pas mal d'enregistrement (je pense notamment à des enregistrements fait à Universal Recordings comme ceux de Dinah Washington ou Sarah Vaughan dans les années 40) où on peut entendre une chasse d'eau ou des choses du genre.

Citation de Le :

Quant au Delay qualifié de moins perturbant, je l'ai écrit pour qualifier sa propension à s intégrer rythmiquement en le calant sur une subdivision rythmique... Mais une fois encore je parlais de la période originelle du rock....ce qui était la question du post auquel je répondais.


Encore une fois non. A l'époque dont tu parles (et encore bien après), les delays étaient fait avec un magnétophone et la valeur du delay était imposée par la distance entre la tête d'enregistrement et la tête de lecture, soit quelque part entre 80ms et 120ms suivant qu'on soit en 19cm/s ou en 38cm/s. Eventuellement, on pouvait moduler ces valeurs de +/-10% grâce au vari-speed si disponible mais ça s'arrête là. On peut donc facilement voir que le delay était peu souvent calé sur une subdivision du tempo d'un morceau, hors coïncidence.
D'ailleurs, que le delay soit calé sur le tempo ou pas, il n'en reste pas moins vrai qu'il ajoute une composante rythmique. Si tu mets un delay à la noire sur un élément qui appuie, par exemple, le 1 et le 3, cet élément va du coup se retrouver présent sur tous les temps. Si pour toi ce n'est pas avoir une influence sur le rythme alors je ne sais pas ce que c'est.

Citation de Le :
@glob : les Beatles période rock ....parce qu' ensuite on rentre dans un autre champs musical, invention de la pop (raccourcis volontaire) avec des moyens de production inaccessibles aux autres formations de l' époque....


Ce qui n'en contredit pas moins ce que tu disais précédemment...

Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla

[ Dernière édition du message le 06/05/2016 à 09:35:35 ]

59
@Glop : sans maîtrise, l' art n' est rien (je pense que tu connais cette citation)
La part technique du mixage couvre les champs suivant :
- organisation et routing
- édition, montage, etc
- matrise des traitements dynamiques
- maîtrise des traitements spectraux
- maîtrise des différents effets d' espace et de temps
- connaissances dans des référentiels par genre musical, époque, etc (incluant évidemment des modes opératoires pour arriver à telle ou telle destination)
- connaissances techniques des outils (console, daw, magnéto, patch, effets, etc)

Ensuite viennent d'éventuelles considérations artistiques dans la mesure où tu arrives à faire cohabiter le désir de l' artiste avec d'éventuelles contingences de production (prenant en compte les demandes du producteur -qui légitimement veut pouvoir rentrer dans ses frais, entendre le titre à la radio et vendre des galettes-, les codes et référentiels du genre musical (idem), et si en plus tu veux prendre en compte l' éventuel auditeur....

Quant à la capacité à générer une œuvre d'art lors d' un mixage....c'est tout de même majoritairement une prestation technique au service d'une œuvre. Mais il arrive qu'il y ait des moments de grâce, des moments où apparaît une symbiose entre l' artiste et le mixeur, des moments où d' un titre plat naît une émotion exacerbée....

Maintenant la technique est un pré requis dans la plupart des domaines artistiques : peindre sans maîtriser le geste et la synthèse additive.... Écrire sans maîtriser la langue....danser sans maîtrise de son corps ou de son geste....etc.

Pour finir, la proportion donnée de manière empirique n' était qu' indicative, car elle dépend profondément du projet sur lequel on travaille, mais en un peu plus de 20 ans de mixage, j'ai souvent accompagné des projets artistiques, j'ai quelques fois pu sublimer quelques œuvres, mais globalement, à partir du moment où l' artiste avait des velléités de diffusion, de reconnaissance ou d' identification à un genre musical, j'ai surtout mis de la technique au profit d'un projet artistique.
60
Citation :
Je le dis souvent mais le style musical n'a AUCUNE PERTINENCE quand on parle de traitements. Seules comptent les émotions que l'on veut faire passer.

- Le slapback des guitares rock n rock des 50's,
- La reverb monstre sur les caisses claires de la pop des 80's
- la méga compression générale de la techno/electro...

Citation :
Le mix est avant tout et par dessus tout une histoire de présentation.

Donc, de l'artistique. Tu parles beaucoup d'émotions dans tes interventions, n'est-ce pas le domaine de l'art

Citation :
sans maîtrise, l' art n' est rien

L'inverse étant tellement tout aussi vrai que je ne vois pas bien l'intérêt de cette citation.

Un mixeur qui maîtrise sans propos artistique a beaucoup de chance de se planter...
Maintenant ce sont des considérations "théoriques" voire "philosophiques" qui ne tiennent pas compte d'un aspect essentiel : la relation entre les différents intervenant et l'objectif au premier degré du projet.
Exemple : dès qu'un enjeu financier est engagé, cela peut modifier considérablement sa forme finale...
61
Citation de Le :
@Glop : sans maîtrise, l' art n' est rien (je pense que tu connais cette citation)
La part technique du mixage couvre les champs suivant :
- organisation et routing
- édition, montage, etc
- matrise des traitements dynamiques
- maîtrise des traitements spectraux
- maîtrise des différents effets d' espace et de temps
- connaissances dans des référentiels par genre musical, époque, etc (incluant évidemment des modes opératoires pour arriver à telle ou telle destination)
- connaissances techniques des outils (console, daw, magnéto, patch, effets, etc)


N'importe quel idiot peut apprendre l'utilisation d'un outil. Ce qui fait la différence entre un bon mix et un mauvais mix ne se trouve certainement pas dans ces éléments. D'autant plus que ce que tu cites ne demande que très peu de temps et d'effort.
Je te garanti à 200% qu'un mix avec un excellent feeling (voir mon commentaire précédent) mais une maîtrise technique moyenne sera TOUJOURS meilleurs qu'un mix techniquement parfait mais avec peu de feeling. Encore une fois, un mix techniquement parfait n'a aucun intérêt si, par exemple, la voix lead est 20dB trop faible.
CQFD.

Citation de Le :

Ensuite viennent d'éventuelles considérations artistiques dans la mesure où tu arrives à faire cohabiter le désir de l' artiste avec d'éventuelles contingences de production (prenant en compte les demandes du producteur -qui légitimement veut pouvoir rentrer dans ses frais, entendre le titre à la radio et vendre des galettes-, les codes et référentiels du genre musical (idem), et si en plus tu veux prendre en compte l' éventuel auditeur....


Excuse moi mais là, c'est un ramassis d'ânerie. A partir du moment où l'on parle de musique, les considérations artistiques sont très largement prioritaires, contrairement à ce qui transparait dans ton discours. C'est le nom de l'artiste qui apparait en gros, pas celui du mixeur et c'est donc SA vision et non la tienne qui compte. Ton rôle est de la concrétiser le plus précisément possible. Cela implique donc de comprendre sa vision et d'utiliser sa propre sensibilité pour en maximiser le potentiel.
D'autre part, les "contingences de production" que tu évoques ne concerne que la composante temps. Moins on passe de temps, moins ça coûte, plus il est content. Un mix avec les bons mouvement de faders aux bons moment, en plus d'être plus intéressant, demandera toujours moins d'investissement qu'un mix où le mec passe 3 jours dans un studio ultra équipé pour bien maitrisé le son de charlet. Quand le temps est serré, je préfère très largement réduire le temps attribué aux traitements (qui va de leur organisation à leur utilisation) pour le rediriger sur l'optimisation des balances.

Je renvoie encore une fois aux expériences de mixage "pro" que, j'en suis certains, certains membres de ce forum ont pu subir où le mix, bien qu'éventuellement plus "propre" était moins intéressant et avec moins d'impact/de vie que leur propre mix réalisé avec leurs petits moyens.

Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla

62
Citation de User/bob :
Citation :
Je le dis souvent mais le style musical n'a AUCUNE PERTINENCE quand on parle de traitements. Seules comptent les émotions que l'on veut faire passer.

- Le slapback des guitares rock n rock des 50's,
- La reverb monstre sur les caisses claires de la pop des 80's
- la méga compression générale de la techno/electro...


Il y a des slapbacks dans d'autres style que le rock des 50s'
Il y a des réverb monstres sur les caisses claire d'autres style que la pop des 80s'
Il y a de la méga compression générale sur d'autres style que la techno/l'electro

Je ne vois donc pas bien où tu veux en venir...


Citation de User/bob :

Citation :
Le mix est avant tout et par dessus tout une histoire de présentation.

Donc, de l'artistique. Tu parles beaucoup d'émotions dans tes interventions, n'est-ce pas le domaine de l'art


Encore une fois, je ne vois pas bien où tu veux en venir car tu confirmes exactement ce que je dis sur le ton de la contradiction... Soit tu n'as pas compris mon propos, soit ce que tu dis ici n'est pas clair.
Le mix est principalement de l'artistique, c'est justement tout mon propos.

EDIT : Sinon ce serait sympa que tu nommes les personnes que tu cites pour éviter les confusion car là, comme tu as également cité Conflent ton post n'est pas clair et peu induire la confusion dans les dires des uns et des autres (à moins que ce ne soit le but, ce qui serait plutôt bas de ta part donc j'en doute)

Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla

[ Dernière édition du message le 06/05/2016 à 10:22:50 ]

63
Bon, alors Glob désolé pour la confusion une chose m'a induit en erreur.
Tu dis :
Citation :
Il y a des slapbacks dans d'autres style que le rock des 50s'
Il y a des réverb monstres sur les caisses claire d'autres style que la pop des 80s'
Il y a de la méga compression générale sur d'autres style que la techno/l'electro

Mais oui, il n'empeche que ces éléments constitue un élément de style des styles nommés, et bien souvent quand on entend un slapback on pense rockab' une grosse compress' à la techno. Ce sont devenus des gimmicks techniques représentatifs de leur style et même si je te l'accorde on peut faire sans cela est beaucoup plus évident avec.

Donc, quand tu dis
Citation :
Je le dis souvent mais le style musical n'a AUCUNE PERTINENCE quand on parle de traitements
, j'y comprends le contraire : AUCUNE PERTINENCE aurait tendance à laisser entendre qu'un traitement n'est pas là pour souligner un style et donc n'a pas d'objectif artistique.

Ceci-dis, j'aimerai bien que cette affirmation soit juste, car cela signifierait qu'il n'existe pas de style, pas de mode, et pas de recettes toutes faites. Mais la bonne citation aujourd'hui serait plutôt :
Citation :
Le style musical a TOUTE PERTINENCE quand on parle de traitements.


Bien évidemment cela est seulement mon POV.

64
@glob....tu as une expérience professionnelle significative pour avoir autant de certitudes ? Tu as déjà dû répondre à des exigences plurielles d'artistes, producteurs, directeurs artistiques, etc ? As tu seulement conscience qu"un disque est un vecteur productif, dont la finalité est la diffusion d'une oeuvre musicale sur de multiples médias, et que cela nécessite des prises en compte des caractéristiques desdits médias, mais également un cahier des charges drastique pour entrer dans une playlist ?
La notion de "feeling" au mixage n'est valable que pour se faire plaisir (déjà le terme feeling...je ne l'avais plus entendu depuis les 80ies ...). Être au service de la musique ne signifie plus être au service d'un artiste tant les intervenants sont légion, et surtout cela consiste à apporter une valeur ajoutée à une matière brute.
Le discours tenu s'effondre totalement face aux réalités du métier. C'est au mieux un fantasme ou une fanfaronnade, mais celà montre surtout une méconnaissance complète d'un secteur professionnel, ou alors tu foires obligatoirement 95% de tes projets parce qu'il y a peu de chances que satisfaire un artiste amène à un résultat exploitable, comme il t a égalemenent aucune chance que satisfaire à des critères purement techniques amènent à quoi que ce soit....une fois encore c'est un équilibre à trouver, mettant au service d'une oeuvre et d'une production de la technique, du savoir faire et du bon gout (plutôt que de parler d'art)
Pour finir, si tu considères que de disposer de la maitrise technique, culturelle et empirique nécessite peu de temps et d'efforts, nous ne devons vraiment pas évoluer dans le même monde : bien qu'ayant évolué dans mon métier, je suis heureux d'apprendre et de découvrir tous les jours.
65
Citation de User/bob :
Bon, alors Glob désolé pour la confusion une chose m'a induit en erreur.
Tu dis :
Citation :
Il y a des slapbacks dans d'autres style que le rock des 50s'
Il y a des réverb monstres sur les caisses claire d'autres style que la pop des 80s'
Il y a de la méga compression générale sur d'autres style que la techno/l'electro

Mais oui, il n'empeche que ces éléments constitue un élément de style des styles nommés, et bien souvent quand on entend un slapback on pense rockab' une grosse compress' à la techno. Ce sont devenus des gimmicks techniques représentatifs de leur style et même si je te l'accorde on peut faire sans cela est beaucoup plus évident avec.

Donc, quand tu dis
Citation :
Je le dis souvent mais le style musical n'a AUCUNE PERTINENCE quand on parle de traitements
, j'y comprends le contraire : AUCUNE PERTINENCE aurait tendance à laisser entendre qu'un traitement n'est pas là pour souligner un style et donc n'a pas d'objectif artistique.

Ceci-dis, j'aimerai bien que cette affirmation soit juste, car cela signifierait qu'il n'existe pas de style, pas de mode, et pas de recettes toutes faites. Mais la bonne citation aujourd'hui serait plutôt :
Citation :
Le style musical a TOUTE PERTINENCE quand on parle de traitements.


Bien évidemment cela est seulement mon POV.



Tu as mille fois raison....c'est même essentiel dans bon nombre de genres musicaux. Ne pas le comprendre engendre une sous production qui ne plaît ni aux amateurs du genre, ni au grand public du fait de sa tiédeur.
66
a mon humble avis tout est permis a condition de savoir dans quel but et quel type de colle on va chercher en mettant tel ou tel groupe d'instruments dans un bus... de l'impact? de "l'arrondissage d'angle"?, de l'epaisseur? de la profondeur? du placement? de la force? de la legeretée... tout ça est bien sur lié aux perceptions et connaissances acoustiques/psychoacoustiques de chacun, notre education musicale, l'humeur du jour et bien evidement le role et la liberté laissée à l'ingé son lors du mixage (un morceau pour un groupe ou pour soi meme).
il existe des recettes toutes faites, mais si elles ne sont pas prises comme une base d'experimentation (et c'est a mon avis comme ça qu'il faut prendre cet article (et d'autres)de nantho...), alors on avance pas...
pour comprendre ce que va crée un effet il faut ce l'imager dans l'espace quotidien et en 3D...
les reverbs/delay vont recréer un espace, donner de l'epaisseur et de la profondeur, l'epaisseur sera gérée par la balance mono/stereo de l'effet et la profondeur par le feedback; essayez de vous imaginer en train de gueuler dans un chiotte ou dans un canyon et quel espace est le plus approprié a tel ou tel type d'instrument/style de musique...par exemple des backing vocals, en exagerant, je les vois plus dans un canyon et le lead dans un chiotte (ou plutot une salle de bain mais ça depend de la qualitée du chanteur)...mais c'est pas vrai tout le temps...
ensuite il faudra doser tout ça avec la balance dry/wet, ce qui prononcera ou non la 3D...ça peut noyer completement ou plutot souligner habilement...
Nantho parlais de distortion...pour moi la disto donne du "muscle" et est aussi un bon liant; voyez votre bus comme une casserole, la disto comme un mixer, broyez le tout et là c'est sur que c'est bien lié...mixez trop fort et vous allez plus reconnaitre les carottes de la snare, des fois c'est bien de garder des morceaux de legumes pour voir avec quoi la soupe est faite...mais des fois non... faites le bon dosage dry/wet et vous obtenez le liant parfait...
mais votre oreille sera seul juge....
ça polemique beaucoup sur ce thread mais c'est completement normal...si on fait dans le massive attack ou le metallica, c'est evident qu'on utilisera pas du tout de la meme maniere une reverb....et ce sera tres difficile de tomber d'accord...
peace.

a quoi ça sert un bypass sur un effet sinon a rien!
https://soundcloud.com/anti-bypass

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je me permet d'intervenir, même si cela ne m'est pas destiné.
Citation de Le :
@glob....tu as une expérience professionnelle significative pour avoir autant de certitudes ? Tu as déjà dû répondre à des exigences plurielles d'artistes, producteurs, directeurs artistiques, etc ? As tu seulement conscience qu"un disque est un vecteur productif, dont la finalité est la diffusion d'une oeuvre musicale sur de multiples médias, et que cela nécessite des prises en compte des caractéristiques desdits médias, mais également un cahier des charges drastique pour entrer dans une playlist ?
La notion de "feeling" au mixage n'est valable que pour se faire plaisir (déjà le terme feeling...je ne l'avais plus entendu depuis les 80ies ...). Être au service de la musique ne signifie plus être au service d'un artiste tant les intervenants sont légion, et surtout cela consiste à apporter une valeur ajoutée à une matière brute.
Le discours tenu s'effondre totalement face aux réalités du métier. C'est au mieux un fantasme ou une fanfaronnade, mais celà montre surtout une méconnaissance complète d'un secteur professionnel, ou alors tu foires obligatoirement 95% de tes projets parce qu'il y a peu de chances que satisfaire un artiste amène à un résultat exploitable, comme il t a égalemenent aucune chance que satisfaire à des critères purement techniques amènent à quoi que ce soit....une fois encore c'est un équilibre à trouver, mettant au service d'une oeuvre et d'une production de la technique, du savoir faire et du bon gout (plutôt que de parler d'art)
Pour finir, si tu considères que de disposer de la maitrise technique, culturelle et empirique nécessite peu de temps et d'efforts, nous ne devons vraiment pas évoluer dans le même monde : bien qu'ayant évolué dans mon métier, je suis heureux d'apprendre et de découvrir tous les jours.


Studio du Conflent :
Même si le fond de ton discours sur le métier est juste, il constitue en quelque sorte une perversion des règles de l'art. De plus, ici dans le cadre de ce fil et plus largement de ce site, si l'aspect commercial ne peut pas être mis de côté dans le cadre d'un projet pro, il est hors sujet : la grande majorité des gens ici n'ont pas de projets "pro", mais des projets "perso", des projets "passion", déconnectés des contraintes économiques de la commercialisation, donc des considérations exclusivement artistiques et techniques.

Ton discours sur la maîtrise technique est aussi assez juste : mieux on est armé techniquement, plus on a de chance théorique de réussir, si on est aussi armé de ce feeling que tu critiques. Il n'empêche que je rejoins Glob à ce sujet : Je préfère un mix qui transpire l'approximation mais qui vit, qu'un très beau travail techniquement parfait mais avec une message artistique en retrait.
68
Citation de User/bob :

Donc, quand tu dis
Citation :
Je le dis souvent mais le style musical n'a AUCUNE PERTINENCE quand on parle de traitements
, j'y comprends le contraire : AUCUNE PERTINENCE aurait tendance à laisser entendre qu'un traitement n'est pas là pour souligner un style et donc n'a pas d'objectif artistique.


Ce que ma phrase signifie, c'est que le style ne dicte pas les effets à utiliser de la même manière que les effets utilisés ne définissent pas le style musical. Mettre un slapback sur un rappeur ne va pas transformer son morceau en rockabilly des 50s par exemple. Qu'il y ait des préférences n'en fait pas des impératifs. Là est toute la nuance.

x
Hors sujet :
Citation de Le :
@glob....tu as une expérience professionnelle significative pour avoir autant de certitudes ? Tu as déjà dû répondre à des exigences plurielles d'artistes, producteurs, directeurs artistiques, etc ? As tu seulement conscience qu"un disque est un vecteur productif, dont la finalité est la diffusion d'une oeuvre musicale sur de multiples médias, et que cela nécessite des prises en compte des caractéristiques desdits médias, mais également un cahier des charges drastique pour entrer dans une playlist ?


Oh par pitié restons sérieux deux minutes. Le "cahier des charges" est à la portée du premier imbécile venu si tant est qu'il ait un minimum de jugeote. Il y a de nombreux albums qui sont sortis sans être réussi sur le plan technique et sont pourtant très forts. Damien Rice me vient à l'esprit comme exemple. Si on prend l'album "O" par exemple, techniquement c'est à côté de la plaque. Pourtant, le message passe excellent bien et c'est l'Irlandais qui a vendu le plus d'albums après U2. Des exemples comme ça, il y en a plein qui viennent très largement te contredire et notamment dans l'électro où le compositeur est aussi très souvent le mixeur, voire même celui qui fait le mastering. Certes, certains sont meilleurs que d'autres mais il n'en reste pas moins vrai que beaucoup ne sont pas parfaits sur le plan technique. Est-ce que ça les empêche d'être diffusés et appréciés ? Clairement non !

Quant à mon expérience professionnelle à quel moment je suis sensé rigoler ? Ce qui m'intéresse, c'est la pertinence des arguments qui vont être un reflet direct de la qualité de l'expérience de quelqu'un et jusqu'à maintenant, ton score vole au raz des pâquerettes en ce qui me concerne.
Je souligne également que mon expérience professionnelle, contrairement à toi, n'est un secret pour personne donc à bon entendeur...

Citation de Le :
Être au service de la musique ne signifie plus être au service d'un artiste tant les intervenants sont légion, et surtout cela consiste à apporter une valeur ajoutée à une matière brute.
Le discours tenu s'effondre totalement face aux réalités du métier. C'est au mieux un fantasme ou une fanfaronnade, mais celà montre surtout une méconnaissance complète d'un secteur professionnel, ou alors tu foires obligatoirement 95% de tes projets parce qu'il y a peu de chances que satisfaire un artiste amène à un résultat exploitable, comme il t a égalemenent aucune chance que satisfaire à des critères purement techniques amènent à quoi que ce soit....


J'espère pour toi qu'aucun artiste avec qui tu travailles ne lit ceci car c'est clairement plein de déni pour leur contribution...
Je ne sais pas dans quel monde tu vis mais les intervenants ont plutôt tendance à être de moins en moins nombreux au contraire, ne serait-ce que du fait de l'effondrement des budgets de production et ce, à tous les niveaux. Même pour des projets en major, il arrive de plus en plus souvent que le seul interlocuteur soit l'artiste pendant le process et qu'on ait affaire à un éxec qu'au moment de la validation du projet (ou son rejet cela étant dit). Même les A&R sont moins sur notre dos qu'il n'y a ne serait-ce que 10 ans ! (ça je ne vais pas m'en plaindre !).

Bref


Peace
Glob

L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....

Bla bla bla

[ Dernière édition du message le 06/05/2016 à 13:17:53 ]

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Vu que tu aimes caricaturer, et que l' aspect technique du mixage est un non sens, que fais tu sur un forum relatif aux techniques de mixage... Continue donc à faire tes mixs dynamiques et plein de charme et de défauts en poussant les faders, sans te soucier le moindre du monde de la capacité des titres qui te passent entre les mains à être diffusés ou diffusables.
Pendre quelques contre exemples a plutôt tendance à confirmer des règles qu' à les desservir....de tous temps il y toujours eu des ovnis, qui pour certains disparaissaient aussi sec, et qui pour d' autres posaient de nouvelles bases pour un genre musical ou pour des générations de musiciens. C'est tant mieux, et c'est d' ailleurs ce qui fait avancer les choses...
Toutefois ça n' enlève rien au fait que les techniques, même perverties, même détournées gardent un sens... Et puisque tu parles de l' électro, je suis souvent admiratif quant à la capacité de certains de mettre tout ou presque sur un même plan et de réussir à faire que ça fonctionne, faisant fi des effets de masque, des pompes marquées et de phénomènes de saturation de phase....mais ce qui fonctionne pour certains ne marche pas pour tous (loin de là) et surtout ne peut pas réellement avoir valeur de règle ou de référence.
Tu indiquais que le mixage est une présentation....en ce qui me concerne c'est quasiment le contraire. Le mixage consiste à mettre en valeur de manière organisée le contenu d'un arrangement, en faisant une relecture de la partition pour que chacun trouve sa place, soit audible et identifiable tout en servant l' œuvre dans sa globalité. Et le fruit d'un mixage réussi tient dans le fait que l' artiste, mais également les différents intervenants de la chaîne de diffusion etc puissent adhérer et trouver leur compte dans le projet. Prendre des risques artistiques ou esthétiques fait partie du jeu, mais cela n' enlève rien au fait de le faire en maîtrisant techniquement le phénomène.
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Être au service de la musique ne signifie plus être au service d'un artiste tant les intervenants sont légion, et surtout cela consiste à apporter une valeur ajoutée à une matière brute.
Citation :
Le discours tenu s'effondre totalement face aux réalités du métier. C'est au mieux un fantasme ou une fanfaronnade, mais celà montre surtout une méconnaissance complète d'un secteur professionnel, ou alors tu foires obligatoirement 95% de tes projets parce qu'il y a peu de chances que satisfaire un artiste amène à un résultat exploitable, comme il t a égalemenent aucune chance que satisfaire à des critères purement techniques amènent à quoi que ce soit....


je suis d'accord à MOINS 100%... c'est en fait tout le contraire.... Quand on voit la piètre qualité TECHNIQUE de bons nombres de morceaux qui passent sur les ondes et en TV, ca remet sérieusement en question tes propos.
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Hors sujet :
Citation :
@glob....tu as une expérience professionnelle significative pour avoir autant de certitudes ?


je l'ai déjà dit sur ce même thread, mais ça devient hyper hyper relou cette tendance actuelle et systématique sur audiofanzine à demander le CV des posteurs pour savoir s'ils disent n'imp' ou pas.

Au final, ça s'appelle un argument d'autorité, et ça n'a aucune valeur.
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Hors sujet :
Citation :
je l'ai déjà dit sur ce même thread, mais ça devient hyper hyper relou cette tendance actuelle et systématique sur audiofanzine à demander le CV des posteurs pour savoir s'ils disent n'imp' ou pas.


C'est pas si actuel que ca, ca à toujours été le cas, soit le CV, soit le nombre de post au compteur qui augmente la crédibilité du message. J'en conviens cela dit que c'est lourd ;)

De toutes façons, je vais encore me prendre des pavés, mais c'est un peu le serpent qui se mord la queue... Les gens qui ont un gros CV ou un grosse expérience ou un gros bagage technique-artistique-pédagogique, ils ont tendance à foutre le camp ou à se faire oublier sur les forum d'AF. Les exemples sont légions, et ca n'est pas à toi que je dois l'expliquer. AF à grandi qualitativement et quantitativement sur la partie édito, news, articles,... par contre sur la partie forum, c'est un gros nivellement par le bas depuis quelques temps. J'ai ma petite idée sur les causes de tout ça, mais je vais la garder pour moi parce que ca risque de faire grincer des dents. Bref, Si les choses continuent dans ce sens, ca ne va pas aller en s'améliorant.

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On pourrait pas recommencer ce thread à zéro? Hein? icon_facepalm.gif
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Citation :
On pourrait pas recommencer ce thread à zéro?


Bah aucune utilité : comme d'hab', certaines personnes soulèveraient des arguments constructifs et de bon sens, d'autres leur demanderaient qui ils sont pour oser parler, ou mettraient leur parole en doute parcequ'ils ont trop ou pas assez de messages sur audiofanzine, et boum 50 posts inutiles. (dont celui ci fait partie).
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C'est formidable...tout le monde mélange tout, sort 3 mots de leur contexte et clamer une certitude basée sur du vent sous prétexte de nombre de post au compteur tend à inscrire dans le marbre ce qui n'a pas lieu d'être.... Et maintenant un tread sur des défauts techniques de ce qui passe à la radio....que l'on déplore la piètre qualité musicale c'est une chose, mais s'il y a bien un média qui ne supporte pas les défauts techniques de mix ou de mastering, c'est la radio (notamment dû au fait que chaque antenne utilise moult traitements + compression MPEG + modulation....
Après, le gros avantage de ce media c'est qu'il est facile de changer de station lorsque le contenu ne nous convient pas....

Si cela pose problème de s' enquérir du pédigrée d' un membre balançant des contre vérités et des certitudes comme parole divine, j' appelle cela de la curiosité. En 23 ans dans ce métier, et pour en avoir exploré quelques facettes, je n'ai jamais croisé qui que ce soit qui prônait l' amateurisme et l' inculture comme valeurs essentielles....mais plutôt des personnes qui avaient toujours soif d' apprendre, de parfaire leur bagage technique, culturel et musical.

Sur ce, je retourne à mon mixage de musique de film à grands coups de faders et d' approximations, sur les bons conseils du globule....et si je réduis à néant toute possibilité de diffusion ciné ou tv, plantant un budget conséquent par la même occasion, je renverrai la production vers mon nouveau maître à penser....