réactions au dossier [Bien débuter] Introduction à l’automation
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Nantho Valentine
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globule_655
Citation :L'avantage de cette technique est que le mix s'effectue comme une performance, au même titre que la performance du chanteur et du guitariste. De ce fait, il y a de fortes chances qu'il soit beaucoup plus vivant et donc intéressant qu'un mix analytique pendant lequel on passerait des heures à peaufiner chaque mouvement.
L'un n'empêche pas forcement l'autre. Perso, ce procédé de section par section, c'est ce que je fait en tout dernier. Lorsque que le mix est fini et qu'il tourne bien.
Une fois arrivé á ce stade, j'automatise aux vca ou aux sous groupe (et parfois meme au master) pour faire vivre le morceau.
Bien sûr que l'un n'empêche pas l'autre, heureusement. Je faisais justement l'opposition avec un mix analytique où le soucis du détail serait poussé au delà du point où plus un cheveu ne dépasse et où tout est trop lisse et sans caractère.
Personnellement, même si j'utilise copieusement l'automation, j'aime compléter mes mixes en un minimum de passes possible pour les raisons évoquées précédemment. Je trouve que dépassé un certain nombre d'écoutes, on a tendance à vouloir gommer tous les micros défauts qui font pourtant le charme d'un morceau.
Chacun son truc, du moment que le résultat touche l'auditeur
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....
globule_655
Citation de : globule_655
Avec un peu de méthode et d'expérience, on peut également se passer de la fonction automation à proprement parler et faire des mixes très poussés tout seul sur une console grand format.
Un des éléments les plus importants pour y arriver est le mix par section. Après avoir fait la meilleure mise à plat possible du morceau (avec des compromis sur certains passages donc, à priori), on se sert de cette position de référence pour mettre le tout en mouvement section par section.
On fait jouer l'intro et on met en place la meilleure balance possible sur ce passage en effectuant à la volées les mouvements de faders nécessaire pour la micro-dynamique du morceau (par exemple le suivis de niveau sur la voix, les delays ponctuels...etc.) ET pour préparer la transition avec la section suivante.
Évidemment, pendant que l'on fait ça, on enregistre le mix sur une autre piste stéréo si on est ITB ou sur un deux pistes analogique (type 2 pistes sur bande demi pouce, par exemple).
Une fois que c'est fait, on passe à la suite. Par exemple, le premier couplet.
On répète le processus jusqu'à la fin du morceau.
Une fois terminé, il ne reste plus qu'à faire le montage des différentes sections enregistrées : trim + crossfade aux intersections de chaque section.
L'avantage de cette technique est que le mix s'effectue comme une performance, au même titre que la performance du chanteur et du guitariste. De ce fait, il y a de fortes chances qu'il soit beaucoup plus vivant et donc intéressant qu'un mix analytique pendant lequel on passerait des heures à peaufiner chaque mouvement.
Ajoutons à cela qu'en plus d'aller beaucoup plus vite, c'est également incroyablement plus fun !
Peace
Glob
Merci pour ce témoignage. Penser le morceau en quelques sections à combiner harmonieusement.
Dans cette approche "classique", meme en soignant les transitions, n'y a t il pas le risque de faire un morceau "sandwich" avec des sections trop disparates ? (surement moins que de retravailler une ligne de chant syllable par syllabe comme ca se fait de nos jours) ou personne ne va penser à écouter deux refrains à la suite ?
Il n'y a pas de problème du moment que l'on est dans une démarche de progression cohérente du morceau.
Faire le montage au fur et à mesure pour pouvoir réécouter le déroulement du morceau peut être judicieux. En numérique c'est très facile car on réenregistre sur une piste dans la même session. Vu que tout est synchro, il n'y a qu'à "puncher" chaque section les unes à la suite des autres sans réel besoin de montage par la suite (mis à part un crossfade ici et là éventuellement).
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....
TC Hotrod
L'avantage de cette technique est que le mix s'effectue comme une performance, au même titre que la performance du chanteur et du guitariste. De ce fait, il y a de fortes chances qu'il soit beaucoup plus vivant et donc intéressant qu'un mix analytique pendant lequel on passerait des heures à peaufiner chaque mouvement.
Ajoutons à cela qu'en plus d'aller beaucoup plus vite, c'est également incroyablement plus fun !
Personnellement, même si j'utilise copieusement l'automation, j'aime compléter mes mixes en un minimum de passes possible pour les raisons évoquées précédemment. Je trouve que dépassé un certain nombre d'écoutes, on a tendance à vouloir gommer tous les micros défauts qui font pourtant le charme d'un morceau.
Oui, c'est en effet le risque, avec un investissement, en terme de passé, peu comparable avec le résultat perçu par des oreilles neutres ou neuves.
Hakim+K
Il y a pour les changements de volume l'outil fondu qu'on applique directement sur les régions et qui a le mérite de toujours se voir.
Et puis on peut éditer simplement le fichier audio et atténuer ou augmenter de qques db des portions, c'est beaucoup plus rapide et d'ailleurs c'était la méthode la plus pratique avant l'automation.
Pour ma part j'automatise souvent les pan, les envois vers la reverb, et les paramètres des EQs (ça c'est indispensable) mais rarement les volumes, sinon y en aurait sur toutes les pistes et je serais vite paumé.
[ Dernière édition du message le 21/10/2016 à 16:29:12 ]
Hakim+K
Merci pour ce témoignage. Penser le morceau en quelques sections à combiner harmonieusement.
Dans cette approche "classique", meme en soignant les transitions, n'y a t il pas le risque de faire un morceau "sandwich" avec des sections trop disparates ? (surement moins que de retravailler une ligne de chant syllable par syllabe comme ca se fait de nos jours) ou personne ne va penser à écouter deux refrains à la suite ?
Je pense comme Globule que le travail par sections est souvent plus efficace. J'irais même plus loin, nombres de nous autres seraient surpris (voir choqué) en voyant les sessions de morceaux hyper célèbres de constater le nombre de copier-coller qu'il y a. Le bassiste joue une strophe, un refrain, le pont et zou on copie. Si l'arrangement est fait de façon créative on prend soin de faire apparaitre des éléments nouveaux à chaque strophe à chaque refrain, donc personne ne se rend compte que les éléments constants sont juste recopiés x fois.
Après bien sûr ça dépend du style de musique. Mais si on a déjà super fignolé la section "refrain" d'une chanson c'est 80% du boulot de fait.
Personnellement je me perds quand je travaille de façon horizontale, genre maintenant je regarde comment sonne le piano sur tout le morceau.
Je préfère le travail vertical où je regarde comment sonne tous les instruments d'une partie, tant que cette partie ne sonne pas je bidouille puis je passe à la partie suivante. Et quelque soit le style de musique il y a toujours des découpages en phrases musicales possible (sauf musique 100% improvisées).
[ Dernière édition du message le 21/10/2016 à 18:53:10 ]
globule_655
Il faut donc en être conscient avant de vouloir remplacer l'automation par de l'édit. Les deux ne sont pas interchangeables.
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....
Hakim+K
Justement c'est pour ça que je fais des edits des fichiers audios avant d'insérer des plugs. Bien souvent je sais avant d'avoir dégainer mon comp favori pour la basse que sur le pont je la voudrais moins forte, alors j'édite le fichier audio AVANT de mettre le comp (par ex).
D'une façon générale, je trouve que Nantho n'a pas beaucoup abordé l'édition audio qui intervient à mon avis avant le travail sur les EQs.
Souvent on peut régler beaucoup de problèmes en amont à ce niveau.
Oui les 2 ne sont pas interchangeables mais ils peuvent être complémentaires. C'était juste pour dire que surcharger un projet d'automations fait vite perdre la tête et qu'il y a aussi d'autres méthodes.
[ Dernière édition du message le 21/10/2016 à 19:15:29 ]
gihaume
[ Dernière édition du message le 22/10/2016 à 01:05:21 ]
pial a pru
le mot "quèsaco", ce n'est, ni du patois, ni du javanais...
c'est de l'Occitan, ou autrement dit, de la LANGUE d'ÒC.
Et comme dans toutes les langues, on se doit de respecter son écriture et son orthographe
Donc, pour dire : qu'est ce que c'est (et non pas "c'est quoua"), on dit et écrit :
ques aquò
Et ceci en toute amitié et encore merci, pour tous vos articles, à la lecture des quels, j'apprends beaucoup
amistats
pial a pru (poil à gratter)
Anonyme
Quelqu'un ici a-t-il déjà voulu laisser tomber le mixage "à l'ancienne" sur une console analo pour l'ordi et l'a finalement regretté?
Réponse d'ancien : oui. Par nécessité professionnelle plus que par envie. Regrets éternels
Mes premiers souvenirs d'automation remontent à un programme appelé Optifile, qui permettait de passer des nuits infernales à entrer des lignes de commande sur un écran minuscule et tout jauni au-dessus de la console. Grâce à ce bidule on pouvait automatiser le volume et le mute des pistes de la console. Quand on sait que la boîte qui distribuait Optifile a fermé boutique en 99, ça situe un peu l'époque.
C'est personnel, donc j'ai ensuite eu accès à des systèmes de plus en plus perfectionnés, rapides et fiables, sur des consoles motorisés ou pas (Radar...)
Pour répondre à la question, il est très difficile de revenir intégralement au mode de fonctionnement pré-automation.
Même si tourner un mix à l'époque était synonyme de franche rigolade / concentration (selon l'heure) les résultats s'accumulaient sous forme de dizaines de versions accumulées sur des DAT ou bandes masters, versions entre lesquelles on pouvait encore faire du montage pour avoir la version finale... Il faut garder en tête qu'avant l'automation et surtout le total recall qui paraît tellement naturel aujourd'hui, passer d'un titre à l'autre effaçait tous les réglages de la console, sans possibilité d'y revenir ! On tournait ses 5, 10 ou 30 versions et on passait à autre chose.
Ça c'était un peu comme l'automobile avant Michelin et l'invention du pneu, faut l'avouer
En revanche, les écueils apparus avec les progrès technologiques fulgurants des DAW sont, à mon humble avis, largement plus nombreux, quelques exemples :
- Pour un groupe, une équipe, l'implication que représentait le moment de tourner un mix a disparu. Aujourd'hui tout le monde pionce au fond des canapés quand l'ingé-son finit par dire " Ok, on tourne ", à 7h du mat'.
- Savoir qu'on peut toujours revenir sur un choix artistique provoque une fâcheuse tendance à la procrastination d'un côté (on verra ce détail plus tard...) et/ou à tuer la spontanéité artistique. Ex : décider d'un coup de mettre + 15 Db au tambourin et de l'envoyer à fond dans la réverb pour ensuite compresser le Master... N'est pas quelque chose qu'on peut remettre à plus tard. Soit on le fait sur le moment et on l'assume, soit on le fait jamais.
- Enfin, la pire des conséquences de l'automation et de la haute sophistication des DAW : le mixage avec les yeux.
Ça paraît idiot première vue, mais c'est le plus grand malheur des productions d'aujourd'hui.
Voir un trou dans son tetris colorés = " mais il manque pas un instrument là ?"
Voir une courbe d'automation trop raide = "nan, mais je l'ai mis trop fort là, spa possible ?!"
Etc...
Dsl, j'ai profité de ta question pour m'étaler un peu sur un sujet qui me plaît
Revenir totalement à la roue sans pneu, bof, c'est se faire du mal pour pas grand-chose.
En revanche, se fixer des limites pour bosser à la manière de ce qu'on faisait en analogique (qu'on ait connu l'époque ou pas) est un chemin intermédiaire que j'emprunte pour ma part le plus souvent possible.
Limiter le nombre de pistes, d'envois d'effets, d'inserts etc... Et enregistrer ses automations à la main plutôt qu'en dessinant des traits à la souris...
En même temps je parle de musique vivante ou qui tente de le rester.
Si c'est pour finir sur Voltage, aucun de ces conseils n'est valable
Anonyme
Limiter le nombre de pistes, d'envois d'effets, d'inserts etc... Et enregistrer ses automations à la main plutôt qu'en dessinant des traits à la souris...
Je pense que la méthode la plus efficace, c'est encore celle qui nous convient le mieux.
C'est très fortement liés aux habitudes (cfr débat cubase vs protools, mac vs windows, uad vs waves, toyota vs citroên, Pod vs Ampli,...)
Je connais beaucoup d'ingénieurs du son et/ou home studistes et/ou musiciens qui seraient INCAPABLE de mixer sur un set up hybride analo/DAW et encore moins sur du tout analo... Et qui font pourtant de très belles choses avec une souris en main et le clavier du laptop dans l'autre... Qui s'y retrouvent les yeux fermés dans une session de DAW à 500 Pistes, 36 auxiliaires, 16 VCAs, 1300 Inserts et 32 sous groupes; et qui sont démunis sur une table analo 16 pistes...
Est-ce que les grands ingés son des 70's se seraient passé d'un Protools à nombre de pistes illimités si ils y avaient eu accès? Est-ce que Jimi Hendrix aurait préféré un POD si il y avait eu accès?, ...
le mixage avec les yeux
Est-ce un problème? l'humain est doté de plusieures facultées en dehors de l'ouie? pourquoi s'en passer?
Surtout que l'argument numéro 1 des "pro analo" est le coté "tactil"...
Bref, je comprend tout à fait tes arguments mais ça ne reste qu'une vérité individuelle (comme beaucoup de choses dans le monde techniquo-artistique)
[ Dernière édition du message le 22/10/2016 à 10:14:13 ]
Anonyme
Tout cela est personnel, on est bien d'accord
Ni Zappa ni Hendrix ne se serait gênés pour utiliser les outils les plus sophistiqués.
Mais ( attention, métaphysique
Et en filigrane, où et qui sont les Hendrix et Zappa d'aujourd'hui ? Question sérieuse, recos bienvenues !
En revanche euh, le mixage avec les yeux, ça fait quand même des ravages
C'est ce qui a entraîné la disparition des silences, puis des nuances.
Moi ce que j'en dis hein, suffit d'allumer la radio...
Anonyme
C'est ce qui a entraîné la disparition des silences, puis des nuances.
Moi ce que j'en dis hein, suffit d'allumer la radio...
C'est surtout du à l'ex loudness war et ca n'a pas grand chose à voir avec les techniques de mixage employées mais plutot à l'éducation et la désinformation des praticiens...
Ya des titres radio mixés sur set up hybride ou analo qui sont quand même passé à la moulinette du mastering à outrance.
Et puis, surtout, il ne faut pas surtout faire d’amalgame entre "ére numérique moderne" et "ce qui passe en radio"
C'est même à peu près le contraire... Les titres qui passent en radio ont pour la majorité, eu des moyens largement décent pour être produit et donc, par extension, des set up analo, hybride, des ingés son de grandes expériences... Donc finalement, ce sont plus souvent eux qui font de la merde
Si tu veux entendre les résultats des producteurs de la nouvelle ère, il faut plutot se tourner vers l'underground et la diffusion non major... *
Et tu verras que, dans tout ça, il y'a des perles, techniquement et artistiquement très réussie, avec très peu de moyen... C'est ca, le gros avantage des DAWS, c'est que ca laisse la place aux petits de s'exprimer.
où et qui sont les Hendrix et Zappa d'aujourd'hui ?
Dans l'ombre... En cause, l'argument que je viens de soumettre au dessus.
Le marché de la musique est anti-méritocrate. Le succès n'est absolument plus lié à un quelconque talent ou à une quelconque qualité (à quelques exceptions qui ne suffisent pas à constituer une règle).
Bref, en moins de 15 ans, les vérités ont totalement changées.
Désolé pour les nostalgiques
*(oui, certains hit commerciaux sont fabriqué en total numérique à la base, mais ca ne fait pas forcément une vérité)
Vévé
Il suffit simplement de ne pas regarder l'écran quand on fait la comparaison A/B et d'écouter
globule_655
Citation :où et qui sont les Hendrix et Zappa d'aujourd'hui ?
Dans l'ombre... En cause, l'argument que je viens de soumettre au dessus.
En réalité, la cause est plutôt que produire un artiste de talent coûte (énormément) plus cher que de vendre un corps d'éphèbe/de nymphe sur un "beat" programmé et qu'il n'y a plus d'argent dans la musique (et je dis bien : dans la musique. Les sociétés d'investissements et autres compagnies du net qui vivent sur le dos des musiciens s'en sortent très bien)).
Produire un Hendrix ou un Zappa à l'heure actuelle, dans les conditions qui leur ont permis d'exprimer le plein potentiel de leur talent à l'époque, serait un suicide financier pour un label.
Peace
Glob
L'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule, l'abeille coule....
Akadok
Je sais pas si d'autres le font, j'imagine quelque uns..
Vévé
Je me rappel d'une vidéo de Fab Dupont où il avait masqué les réglages des plugins utilisés pour qu'on écoute et qu'on ne soit pas tenté de regarder.. D'ailleurs il ne donne jamais de valeurs précises aux réglages qu'il utilise..
TC Hotrod
@ Vévé : et pou les autres qui tournent sur Mac :
Ctrl + Shift+ Eject = Black screen. C'est en effet très pratique même si j'oublie souvent de l'utiliser.
Anonyme
A chaque fois que je veux écouter mon projet, avant ou après un réglage, pour trouver un nouvel élément à ajouter, pour commencer à le structurer, ou quand je progresse dans le mix, je réduit la fenêtre de mon DAW, histoire de dissocier l'écoute pure du visuelle du séquenceur qui me ramene à l'aspect technique du truc.
Je sais pas si d'autres le font, j'imagine quelque uns..
Oui c'est un coup à prendre pour se concentrer à nouveau sur l'essentiel. Indispensable
Hors sujet mais...
L'expérience classique consiste à allumer une ampoule à gauche ou à droite du champ de vision d'un sujet, et d'émettre un son au même moment. Lorsqu'on demande au sujet d'où vient le son, il répond à 100% "de la gauche" ou "de la droite" selon l'endroit où la lumière s'allume.
Le haut-parleur unique est en fait placé juste en face du sujet.
Anonyme
[ Dernière édition du message le 22/10/2016 à 13:23:40 ]
kosmix
Citation de Riatto_Music :Ça c'était un peu comme l'automobile avant Michelin et l'invention du pneu, faut l'avouer
Ce n'est pas Michelin qui a inventé le pneu mais Dunlop
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
monsieurnormal
Et si on demande au sujet de se concentrer et qu'il doit cocher sur un papier "gauche-droite-milieu" le résultat sera de 100% d'erreur?
Et si on demande au sujet de se concentrer parce qu'on va tenter de l'enfumer niveau "gauche-droite-milieu" le résultat sera de 100% d'erreur?
jambesexy
jambesexy
kosmix
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
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