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Sujet Méthode prise de son court métrage

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Sujet de la discussion Méthode prise de son court métrage
Bonsoir a tous,

Voilà, je me retrouve un peu par hazard sur mon premier court métrage avec le matériel suivant: 1 ensemble micro + perche branché sur une mixette (SQN3) elle même branchée sur la caméra.

Ma question est la suivante concerne cette histoire de 1000Hz. normalement c pour calibrer le son au moment de l'acquisition (si c pas ça dites le moi), en fait je voudrai savoir a cb je dois rentrer (en dB) ds la cam ?

Ca amène aussi une nouvelle question, admettons que je suis (au niveau de la mixette) a 6 en volume. Si j'ai besoin de changer et de mettre a 2, ça fausse le calibrage ?

Merci de vos réponses, je débute comme vs le voyez et j'ai besoin de régler ses soucis techniques pour me concentrer sur le plus important, le perchage ;)
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C'est dommage ... mais je pense qu'un bon real tient compte des conseils de l'equipe son. perso je ne tourne plus avec des gens gens qui negligent la prise de son. trop galere. et pas de resultat (general)
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Citation : le ciné c'est du jeu d'acteurs et de l'image avant tout


Quand je dis ça, c'est sur le ton amer de la réalité, mais je la regrette beaucoup. Et même si finalement c'est vrai, heureusement que de plus en plus de réal prennent les contraintes son au niveau des contraintes images pour tourner.

Raphaël Raymond, Compositeur, Arrangeur, Guitariste : http://www.raphaelraymond.fr 

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C'est tout à fait vrai, malgrés ma courte expérience, j'ai déjà pu souvent remarquer l'absence d'interet pour le son.
Les raccords d'ambience ne sont pas toujours respectés et j'ai même eu droit à un "on l'effacera" après l'enregistrement d'un son indésirable.
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Le truc c'est qu'en post-prod son on peut rattrapper beaucoup de choses. Alors dans du court amateur, où la photo est fade et le jeu d'acteur moyen, oui, on peut refaire tout le son du film apres coup, ca sera coherent avec la qualité generale du film.
Maintenant si vous travaillez avec des professionnels, sur du telefilm, ou du long metrage, ca n'a rien a voir. Dix centimetres de decalage de la perche par rapport à la bouche de l'acteur ne sont pas tolérés, comme on ne tolere pas un eclairage pas placé exactement au bon endroit. Parce qu'on se doit d'etre perfectionniste pour servir au maximum le film, pour que tous les aspects techniques soient invisibles, pour que le spectacteur a aucun moment ne decroche de la trame narrative. Les realisateurs, aussi debutants soient-ils, s'ils n'ont pas compris cela, ne parviendront pas au niveau superieur.
Apres, c'est vrai qu'on fait ce qu'on peut, avec ce qu'on a. Et qu'il y a les exceptions qui confirment la regle... pour les génies.
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Ou comme F3 qui fait du doublage post prod pour leurs séries bidon... Si si c'est vrai :fou:

Raphaël Raymond, Compositeur, Arrangeur, Guitariste : http://www.raphaelraymond.fr 

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Honnetement c'est kif kif. Tout dépend de l'environnement sonore sur le plateau et du sounddesign.

Perso, je suis, évidement, pour un maximum de son direct. Mais lorsque le son est dégueulasse, on passe en post-synchro! J'ai été particulièrement choqué sur un film francais (l'Ivresse du pouvoir - surlequel j'ai bossé pour de l'audiodescription) de la qualité du son, quasiment que du direct. Pas beau, les bruits d'étoffes monstrueux, métaliques, machines tournantes, certes, noyées au fond du mix, mais bon... qualité AB production. Je plains le mixeur.

C'est un classique, mais LOTR : 95% de post-synchro.

Inversement, Amadeus, quasiment que du direct et c'était il y a 20 ans.
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Si tout se fait en postprod...
Pourquoi s'encombrer d'une équipe son sur les plateaux de tournage alors?! :lol:
J'ai pas choisi le bon métier :nawak:
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:lol:
On a besoin du son direct pour pouvoir post-synchroniser ;)
Nan, serieusement, pour moi le son direct c'est souvent ce qu'il y a de mieux, mais ce n'est pas une raison pour garder des sons de merdes. Pour moi le son ca se travail.
Le sound designer (au sens US) doit estimer dès le depart si le son direct devra etre chiader au tournage ou si c'est direct post-synchro.
Apres à l'ingé son de prendre le matos et le personnel necessaire en fonction des besoins, de ce que permet la production.